Mali :
un soldat français tué dans des combats contre des groupes armés
Emmanuel
Macron a fait part de sa « très grande tristesse » après « la
mort du hussard parachutiste de 1re classe Tojohasina
Razafintsalama ».
Le soldat du 1er régiment de hussards parachutistes de Tarbes Tojohasina Razafintsalama a trouvé la mort lorsque « son engin blindé a sauté au contact d'un véhicule suicide chargé d'explosifs », a précisé la ministre des Armées, Florence Parly, dans un communiqué. Lors de l'explosion, deux autres soldats constituant l'équipage du véhicule blindé léger, qui était en mission de reconnaissance, ont également été blessés et évacués dans un état grave vers l'hôpital militaire de Gao, avant d'être rapatriés dans la soirée, a indiqué l'état-major à l'Agence France-Presse. L'accrochage s'est déroulé dans la région de Gossi, à 150 kilomètres à l'ouest de Gao.
Après l'attaque, « l'unité au contact a immédiatement engagé le combat. Dans le même temps, deux hélicoptères Tigre, puis un drone Reaper ont été déployés afin d'appuyer les éléments au sol », a indiqué l'état-major des armées. Le président Emmanuel Macron « s'incline avec un profond respect devant le sacrifice de ce militaire, mort dans l'accomplissement de sa mission au service de la France », a indiqué l'Élysée. « Il salue l'engagement, le courage et la détermination de nos militaires déployés au Sahel, et leur renouvelle son entière confiance pour le succès de leur mission ».
Sahel : les civils, premières victimes collatérales
Barkhane
au Sahel, une force de quelque 5 000 soldats
Tojohasina Razafintsalama était né le
20 octobre 1994 à Mahazarivo, à Madagascar. Ce célibataire sans
enfant s'était engagé avec le 1er régiment de hussards parachutistes
de Tarbes en 2018 et avait été déployé au Mali le 14 juillet
dernier. Son décès porte à 43 le nombre de soldats français
morts au combat dans les opérations Serval (2013) et Barkhane (depuis 2014), selon
l'état-major. Il intervient après celui, début mai, de deux légionnaires de la
force française Barkhane au Sahel, qui compte quelque 5 000 soldats. En
novembre 2019, la France avait perdu 13 soldats dans un accident
entre deux hélicoptères en opération au Mali.Ces derniers mois, l'armée française et celles des pays du G5 Sahel ont multiplié les offensives au Sahel, en particulier dans la zone dite des « trois frontières » entre Mali, Niger et Burkina Faso. Elles ont revendiqué la « neutralisation » de plusieurs dizaines de djihadistes au total, dont l'émir d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), l'Algérien Abdelmalek Droukdal, en juin.
« On a un ennemi qui est sur le reculoir, qui est aux abois et qui est affaibli, mais on n'est jamais à l'abri. Il est encore capable de porter des coups. Le combat continue », a indiqué à l'Agence France-Presse le colonel Frédéric Barbry, porte-parole de l'état-major. Les dirigeants du G5 Sahel et Emmanuel Macron avaient réaffirmé leur détermination à poursuivre le combat lors d'un sommet à Nouakchott le 30 juin, qui faisait suite à celui organisé à Pau en janvier.
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Là, ils
profitent de la protection de l'armée française sans quoi ils seraient sous le
joug de ses islamistes qui leur mènerait la vie dure !
Néanmoins
certains autres maliens émigrés déjà nombreux en France sèment la zizanie lors
de manifestations contre les forces de l’ordre de notre pays qui les a accueilli
en criant au racisme bien que certains d'entre eux ont déjà versés dans la
délinquance et violence !
La France
pays des droits de l'homme et du droit d'asile subit les deux cotés pervers de
cette Afrique !
Alors
n'oublions pas nos 5000 soldats qui risquent leurs vies pour eux merci à eux !
Car on ne
sait pas quand nous nous dégagerons de ce boulet africain que l'on traîne depuis plus de 50 ans début de l'indépendance de ces pays des ex EOF-AEF !
Jdeclef
24/07/2020 11h59CLP
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