vendredi 24 juillet 2020

Ces hommes courageux qui s'engagent pour combattre des fantômes djihadistes illuminés dans ce désert sahélien immense que les africains des pays limitrophes n'arrivent pas à contrôler ?!


Mali : un soldat français tué dans des combats contre des groupes armés

Emmanuel Macron a fait part de sa « très grande tristesse » après « la mort du hussard parachutiste de 1re classe Tojohasina Razafintsalama ».


Un soldat du 1er régiment de hussards parachutistes de Tarbes a été tué jeudi matin au Mali, « lors de combats contre les groupes armés terroristes », a annoncé l'Élysée. « Le président de la République a appris avec une très grande tristesse la mort du hussard parachutiste de 1re classe Tojohasina Razafintsalama », a indiqué la présidence dans un communiqué.
Le soldat du 1er régiment de hussards parachutistes de Tarbes Tojohasina Razafintsalama a trouvé la mort lorsque « son engin blindé a sauté au contact d'un véhicule suicide chargé d'explosifs », a précisé la ministre des Armées, Florence Parly, dans un communiqué. Lors de l'explosion, deux autres soldats constituant l'équipage du véhicule blindé léger, qui était en mission de reconnaissance, ont également été blessés et évacués dans un état grave vers l'hôpital militaire de Gao, avant d'être rapatriés dans la soirée, a indiqué l'état-major à l'Agence France-Presse. L'accrochage s'est déroulé dans la région de Gossi, à 150 kilomètres à l'ouest de Gao.

Après l'attaque, « l'unité au contact a immédiatement engagé le combat. Dans le même temps, deux hélicoptères Tigre, puis un drone Reaper ont été déployés afin d'appuyer les éléments au sol », a indiqué l'état-major des armées. Le président Emmanuel Macron « s'incline avec un profond respect devant le sacrifice de ce militaire, mort dans l'accomplissement de sa mission au service de la France », a indiqué l'Élysée. « Il salue l'engagement, le courage et la détermination de nos militaires déployés au Sahel, et leur renouvelle son entière confiance pour le succès de leur mission ».
Sahel : les civils, premières victimes collatérales

Barkhane au Sahel, une force de quelque 5 000 soldats

Tojohasina Razafintsalama était né le 20 octobre 1994 à Mahazarivo, à Madagascar. Ce célibataire sans enfant s'était engagé avec le 1er régiment de hussards parachutistes de Tarbes en 2018 et avait été déployé au Mali le 14 juillet dernier. Son décès porte à 43 le nombre de soldats français morts au combat dans les opérations Serval (2013) et Barkhane (depuis 2014), selon l'état-major. Il intervient après celui, début mai, de deux légionnaires de la force française Barkhane au Sahel, qui compte quelque 5 000 soldats. En novembre 2019, la France avait perdu 13 soldats dans un accident entre deux hélicoptères en opération au Mali.
Ces derniers mois, l'armée française et celles des pays du G5 Sahel ont multiplié les offensives au Sahel, en particulier dans la zone dite des « trois frontières » entre Mali, Niger et Burkina Faso. Elles ont revendiqué la « neutralisation » de plusieurs dizaines de djihadistes au total, dont l'émir d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), l'Algérien Abdelmalek Droukdal, en juin.
« On a un ennemi qui est sur le reculoir, qui est aux abois et qui est affaibli, mais on n'est jamais à l'abri. Il est encore capable de porter des coups. Le combat continue », a indiqué à l'Agence France-Presse le colonel Frédéric Barbry, porte-parole de l'état-major. Les dirigeants du G5 Sahel et Emmanuel Macron avaient réaffirmé leur détermination à poursuivre le combat lors d'un sommet à Nouakchott le 30 juin, qui faisait suite à celui organisé à Pau en janvier.
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Là, ils profitent de la protection de l'armée française sans quoi ils seraient sous le joug de ses islamistes qui leur mènerait la vie dure !

Néanmoins certains autres maliens émigrés déjà nombreux en France sèment la zizanie lors de manifestations contre les forces de l’ordre de notre pays qui les a accueilli en criant au racisme bien que certains d'entre eux ont déjà versés dans la délinquance et violence !

La France pays des droits de l'homme et du droit d'asile subit les deux cotés pervers de cette Afrique !

Alors n'oublions pas nos 5000 soldats qui risquent leurs vies pour eux merci à eux !

Car on ne sait pas quand nous nous dégagerons de ce boulet africain que l'on traîne depuis plus de 50 ans début de l'indépendance de ces pays des ex EOF-AEF !

Jdeclef 24/07/2020 11h59CLP

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