vendredi 10 juillet 2020

Ce n'est pas une 1ere dame, c'est la femme du président, elle a droit de dire ce qui lui plait comme tout un chacun en France, car notre pays est encore libre !


Statues déboulonnées : « Il ne faut pas tuer le passé », pour Brigitte Macron

La première dame rejette, comme son époux, toute réécriture historique. « Le passé, c'est constitutif de ce que nous sommes », dit-elle à France Info.


À l'heure où des militants antiracistes sont prompts à faire tomber des statues liées à l'histoire coloniale française, Brigitte Macron préfère ne pas renier l'Histoire. Dans un entretien accordé à France Info, publié vendredi 10 juillet, la première dame de France s'exprime dans le sillage de son époux sur cette polémique mémorielle. « Le passé est là. Il ne faut surtout pas le réécrire ou le tuer comme on est en train de le faire avec les statues. Le passé, c'est constitutif de ce que nous sommes », argue-t-elle.
Selon la femme du chef de l'État, il est primordial « de ne pas renier l'Histoire », « de ne pas renier notre culture », car cela « dit quelque chose de nous, même si c'est quelque chose qui ne nous plaît pas ». « Moi je vis résolument dans le présent. Je pense qu'il n'y a que ça qui existe […] L'avenir, c'est toute cette incertitude, tout ce qui peut arriver », confie-t-elle, en exprimant par ailleurs son incompréhension au sujet de la violence qui s'exprime sur les réseaux sociaux, et dont les Macron sont parfois la cible. « Pourquoi est-ce que systématiquement on a recours à cette violence ? […] Je pense que les gens qui insultent sont profondément malheureux. »

Arthur Chevallier – « Déboulonneurs » de statues, pas si vite !

« La République n'effacera aucun nom ou aucune trace de son histoire »

La mort de l'Américain George Floyd fin mai dernier a créé une onde de choc, et entraîné des manifestations antiracistes à travers le monde, ainsi que l'expansion du mouvement Black Lives Matter. En France, les monuments et statues en lien avec l'histoire coloniale et la traite esclavagiste font l'objet de polémique. Lors de son allocution du 14 juin dernier, Emmanuel Macron avait affirmé sa volonté de ne pas tourner le dos à l'Histoire. « La République n'effacera aucun nom ou aucune trace de son histoire […] La France ne déboulonnera pas de statues », avait-il déclaré.

Fin juin dernier, la statue, située devant l'Assemblée nationale, de Colbert, ministre de Louis XIV et considéré comme à l'initiative du Code noir visant à légiférer sur l'esclavage dans les colonies françaises, avait été vandalisée. À Lille, le piédestal de la statue du général Faidherbe avait également été tagué des mots « colon » et « assassin » inscrits en rouge, au lendemain d'une manifestation visant à réclamer son retrait de l'espace public.
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Mais, cela devient énervant, il n'y a pas à lui demander son avis, comme le font certains médias abusivement sous prétexte qu’elle vit en tant qu’épouse avec le président !

Ceci étant sa réflexion est censée et réfléchie, elle a raison sur le fond et c’est normal de la part d'une universitaire qui a enseignée donc qui doit avoir une culture historique qui manque tellement chez beaucoup de français lambda car gommée dans un enseignement qui s'est appauvri pour de simple considération de basse politique qui pollue notre société française, en essayant d’effacer notre histoire qui est notre culture avec ses défauts et qualité du peuple de France depuis plus de 2000 ans !

Jdeclef 10/07/2020 13H17LP

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