mardi 7 juillet 2020

Ouf ! Le coup passa si près que le chapeau tomba pour une fois le président a réfléchi çà c'est un progrès...


Remaniement : Ségolène Royal finalement trop « disruptive » pour Emmanuel Macron

Selon « L'Obs », Ségolène Royal a bien été contactée pour entrer au gouvernement. Le chef de l'État a même envisagé de la nommer numéro deux, avant de renoncer.

Ségolène ROYAL serait passée tout près d'occuper une place de choix dans le nouveau gouvernement conduit par Jean Castex. L'ancienne candidate à la présidentielle de 2007 avait affirmé, il y a quelques jours, avoir été contactée par un proche du président pour intégrer la nouvelle équipe gouvernementale. Selon les informations de L'Obs, non seulement l'ancienne ministre a bien été approchée, mais pas pour un petit portefeuille : Emmanuel Macron aurait sérieusement envisagé de faire d'elle la nouvelle numéro deux du gouvernement. Finalement, le chef de l'État a choisi Barbara Pompili pour le portefeuille de la Transition écologique.
L'hebdomadaire rapporte que, le week-end dernier, alors que les tractations allaient bon train pour composer le nouvel exécutif, Jean-Yves Le Drian a, sur demande du président de la République, passé un coup de téléphone à Ségolène Royal pour la sonder. Auprès de L''Obs, un proche du chef de l'État explique : « Ségolène est encore populaire auprès d'un certain électorat. Et puis c'est un secret de Polichinelle qu'elle a l'intention de se présenter à l'élection présidentielle de 2022. (…) Elle devenait dangereuse. »

Emmanuel Macron a préféré une personnalité moins « disruptive »

Intégrer Ségolène Royal à la nouvelle équipe gouvernementale aurait ainsi permis de la neutraliser. L'ancienne ministre s'est dite prête à rejoindre la nouvelle équipe, mais à condition d'en devenir la numéro deux. Au final, les tractations n'auront pas duré longtemps.
Jugeant qu'elle était trop « disruptive », « difficile à gérer », Emmanuel Macron a finalement préféré Barbara Pompili pour prendre la tête du ministère de la Transition écologique. Dans l'entourage de Ségolène Royal, on évoque également une opposition de Jean Castex à sa nomination, et une « belle occasion » ratée pour Emmanuel Macron d'« inventer
Coignard – Ségolène, Manuel et les autres : opération résurrection
« Le coup aurait été génial. Ségolène était vraiment décidée à sauter le pas », confie à l'hebdomadaire un proche de l'ex-ambassadrice des pôles, alors que celle-ci a été critique de l'action de l'exécutif ces derniers mois. « Elle était prête à jouer le jeu de l'unité nationale, devant le tsunami social qui s'annonce. Mais Macron n'aime pas les personnalités trop indépendantes et trop fortes médiatiquement. »

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Mais c'est surtout la langue trop bien pendue de cette ex ministre qui a sévit sous plusieurs gouvernements qui lui a coûté cette nouvelle nomination !

Surtout qu'elle n'avait pas caché son désir de candidater à la présidence de la république en 2022 ?!

Car la prendre dans son gouvernement E.MACRON ce mettait une bombe à retardement incontrôlable à domicile !

Cela aura soulagé pas mal de français qui n'auraient pas manqué de lui reprocher, ce choix encore mauvais en 2022 !

On peut remercier J.Y.LE DRIAN un des rares ministres qui a les pieds sur terre qui a du conseiller le président de ne pas la prendre, après son entretien téléphonique avec elle !

On voit encore la fragilité des choix de ce jeune président pas sûr de lui qui navigue à l’aveuglette et se soûle de belles paroles ou beaux discours creux qui ne suffisent pas !

Car quand on voit son choix de DUPOND-MORETTI çà c’est l’exemple de la façon dont il s’est fait éblouir par la plaidoirie personnelle de ce juriste pour entrer au gouvernement, de ce théâtreux de justice !

Jdeclef 07/07/2020 10h16LP

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