vendredi 31 août 2018

D.TRUMP ce président des USA est vraiment infréquentable par son :


OMC : la lourde menace de Donald Trump

Le président américain a menacé de retirer les États-Unis de l'Organisation mondiale du commerce (OMC) en cas d'absence de progrès dans les réformes.


Une fois encore, Donald Trump n'a pas manqué de faire une sortie qui pourrait avoir de lourdes conséquences. Il a déclaré être prêt à retirer les États-Unis de l'Organisation mondiale du commerce s'il n'y avait pas de progrès des reformes. Ses propos, tenus jeudi dans une interview à l'agence Bloomberg News, sont les derniers d'une série de critiques adressées aux institutions internationales, que les États-Unis ont contribué à mettre sur pied après la Seconde Guerre mondiale. « S'ils ne font pas de progrès, je me retirerai de l'OMC », a averti Trump en qualifiant l'accord portant création de l'organisation « du pire accord commercial jamais conclu ».

« Ils savaient que, si nous ne gagnions pas, je me retirerais »

Trump, qui s'en était déjà pris dans le passé aux organes de règlement des différends de l'OMC, les accusant d'être défavorables aux États-Unis, a souligné que Washington avait « rarement gagné un recours » auprès de cette organisation bien que les choses aient commencé à changer l'an dernier. « Au cours de l'année dernière, nous avons commencé à gagner beaucoup », a-t-il déclaré. « Vous savez pourquoi ? Parce qu'ils savaient que, si nous ne gagnions pas, je me retirerais », a-t-il poursuivi.
La Chine, engagée dans une guerre commerciale avec les États-Unis, a rejoint l'OMC en 2001, une adhésion qualifiée d'« erreur » par le représentant américain au Commerce Robert Lighthizer. La menace de Trump intervient alors que son administration fait face à des pressions au sein de l'OMC de la part de ses partenaires commerciaux qui ont saisi l'organisation pour contester les nouveaux droits de douane imposés par Washington sur leurs importations.
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Protectionnisme maladif et "empêcheur de tourner" en rond qui s'oppose à tout le monde systématiquement !

Il faudrait que la communauté mondiale et notamment l’Europe montre plus d'opposition à cet homme qui se comporte comme un capitaine d'industrie, mais pas comme un chef d'état avec qui on peut discuter, car ce prenant pour le maitre du monde !

Parallèlement ces menaces et chantages incessants sont insupportables et handicapent le monde économique (l'affaire avec l'IRAN en est un exemple, parmi d'autres !)

Il serait temps que les pays civilisés et dirigeants démocratiques occidentaux et autres lui montre qu'il n'est pas le seul à décider de l'avenir économique et même écologique du monde !

Jdeclef 31/08/2018 12h12

Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué spécialités de nos ministres et leurs administrations incompétentes qui font même douter le président?!


Mise en place du prélèvement à la source en 2019 : l'Élysée entretient le doute

Le président de la République veut encore vérifier, courant septembre, que rien ne viendra perturber le dispositif controversé. Bercy défend son bébé.


Le prélèvement à la source sera-t-il mis en place le 1er janvier 2019 comme prévu ? C'est ce qu'a martelé le ministre chargé du dossier, Gérald Darmanin, y compris ce mercredi matin sur Europe 1. Las. À l'Élysée, on entretient encore le doute, vu la complexité technique de ce chantier et le risque de voir les Français déroutés par le prélèvement de leur impôt directement sur leur salaire net, ce qui pourrait peser sur leur consommation déjà en berne. D'autant que, avec le report des deux tiers de la baisse des cotisations salariés de janvier à octobre 2019, les salariés n'auront que deux mois pour se rendre compte de leur véritable gain sur leur fiche de paie (en novembre et en décembre) avant de basculer dans le nouveau système de prélèvement de l'impôt sur le revenu.
« Notre objectif, c'est d'être en situation de le mettre en œuvre [le prélèvement à la source, NDLR] au 1er janvier 2019 comme prévu et annoncé. Mais c'est un sujet suffisamment important pour qu'on prenne toutes les précautions possibles et imaginables », a expliqué un porte-parole de l'Élysée au Point mercredi soir, en précisant que la décision définitive sera prise courant septembre.
Jeudi, le président a même exprimé ses réticences publiquement, depuis Helsinki où il est en déplacement : « J'ai plutôt l'intention de conduire cette réforme à son terme, mais j'ai demandé aux ministres compétents de répondre à toutes les questions qui se posent encore, avant de donner une directive finale ».

« La machine du prélèvement à la source est lancée, elle ne doit plus s'arrêter »

Après avoir travaillé d'arrache-pied à sa mise en place, Bercy n'est pas favorable à un report. « La machine du prélèvement à la source est lancée, elle ne doit plus s'arrêter », expliquait dès lundi le directeur général des Finances publiques (DGFIP), Bruno Parent, sur Franceinfo. La direction de Bercy s'est d'ailleurs permise de répondre indirectement au chef de l'Etat, jeudi, sur twitter après ses propos tenus depuis Helsinki.
Le ministre de l'Action et des comptes publics, Gérald Darmanin, lui, continue à faire des déplacements sur ce sujet et explique qu'il va répondre aux inquiétudes du chef de l'Etat.
Les agents des finances publiques ont beaucoup travaillé pour la mise en place de l’impôt à la source, et, grâce à eux, je travaille à répondre aux interrogations autour de cette grande réforme de simplification de l’impôt pour tous les Français. pic.twitter.com/WlPSDHz5GB
Le gouvernement s'est notamment engagé à verser 30 % du montant des crédits d'impôts de garde d'enfant ou salarié à domicile dès le mois de janvier et 30 % à l'été afin d'éviter que certains ménages ne se retrouvent avec une augmentation de leurs prélèvements, les crédits d'impôts n'étant pas pris en compte dans le calcul du taux de prélèvement à la source.
Déjà repoussée d'un an, de 2018 à 2019, cette réforme décidée sous François Hollande donne décidément des sueurs froides à Emmanuel Macron alors que la croissance ralentit.
Consultez notre dossier : Tout comprendre sur le prélèvement à la source
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Cela ferait sourire, si cela n’inquiétait pas tous les français (enfin ceux qui paient l’impôt sur le revenu) et aussi les entreprises !

En plus c'est un héritage de F.HOLLANDE cadeau empoisonné (pas prioritaire) que ce prélèvement à la source, encore une reforme de plus mal ficelée on peut le remercier ce président médiocre qui a jeter l'éponge avant la fin  ?!

Il aurait été plus simple de rendre le prélèvement mensuel obligatoire, car déjà 80 % des contribuables y adhère et cela marche très bien est souple que l'on peut plusieurs fois en courant d'année si vos revenus varient modifier les mensualités en fonction des événements de la vie quotidienne perte d'emploi, diminution de revenu etc.. !

Alors que E.MACRON doute, il a raison car beaucoup  d’écueils sont encore présents du fait de la complexité de notre fiscalité avec ces cas spéciaux niches fiscales multiples foyers fiscaux et bien sûr pas à l’abri de bugs avec de nouveaux logiciels  etc.. !

Sans compter le choc politique, car quoi que l’on dise, quand les français vont voir le montant de leurs fiches de payes diminués, cela va être un choc surtout s’il y a des erreurs... !

E.MACRON n’était pas obligé de faire cette réforme tout de suite en prenant la suite inachevée de son prédécesseur qui voulait regrouper la CSG avec les impôts sur le revenu qu’il a abandonné ensuite en mauvais gestionnaire indécis qu’on lui connaissait !

Avant tout ce qu’il faudrait faire c’est une réforme de fond sur la fiscalité filandreuse de la France, après il sera bien temps de faire, la retenue à la source !

A part cela, ceci en passant, ou est passé cette fameuse année blanche fantôme ?

Jdeclef 31/08/2018 10h42 LP

jeudi 30 août 2018

Toute vérité n'est pas bonne à dire, mais cela ne gêne pas le Chef MACRON ?!

Macron : les Français, « Gaulois réfractaires au changement »

Devant la communauté française au Danemark, Emmanuel Macron a comparé les Danois ouverts aux transformations aux « Gaulois réfractaires au changement ».

E.MACRON s'est amusé, mardi 28 août, à comparer les Danois, « peuple luthérien » ouvert aux transformations, et les Français, « Gaulois réfractaires au changement », revendiquant des identités à la fois nationale et européenne. Évoquant devant la communauté française au Danemark son admiration pour le modèle danois de « flexisécurité », il a admis que les différences culturelles entre Français et Danois ne permettaient pas de le répliquer à l'identique.
« Il ne s'agit pas d'être naïf, ce qui est possible est lié à une culture, un peuple marqué par son histoire. Ce peuple luthérien, qui a vécu les transformations de ces dernières années, n'est pas exactement le Gaulois réfractaire au changement ! Encore que ! Mais nous avons en commun cette part d'Européen qui nous unit », a-t-il plaisanté. Une sortie qui rappelle sa petite phrase de l'été 2017 sur les Français qui « détestent les réformes ».
Mais le président français estime avoir réussi depuis son élection à provoquer un « changement culturel » chez les Français qui « ont retrouvé le goût du risque », a-t-il déclaré devant le patronat danois. Les réformes en cours « ne sont pas techniques, mais constituent une transformation culturelle », a-t-il plaidé. « Vous verrez la France transformée par son peuple. Les gens changent d'état d'esprit, ils sont beaucoup plus ouverts au risque. »

« La France n'a jamais été elle-même en étant fermée au reste du monde »

Comme en réponse aux nationalistes qui, de la Hongrie à l'Italie, le désignent comme leur adversaire principal, Emmanuel Macron a aussi, tout au long de sa visite au Danemark, beaucoup parlé d'identité. Dans une sorte de « en même temps », il a défendu la place des identités nationales, mais dont il veut qu'elles soient combinées à un attachement à l'Europe. Il a approuvé le Danemark pour être à la fois « complètement ouvert au reste du monde et attaché à sa culture propre ». « La France aussi est profondément attachée à sa culture, à ses valeurs, cette identité profonde et complexe, qui s'est toujours pensée dans l'universalisme. Mais la France n'a jamais été elle-même en étant fermée au reste du monde », a-t-il plaidé.
Dans la même veine, il avait déjà lundi, lors de son discours devant les ambassadeurs, applaudi le « retour des identités des peuples ». « Ceux qui croyaient à l'avènement d'un peuple mondialisé se sont profondément trompés. Partout dans le monde, l'identité profonde des peuples est revenue. Et c'est au fond une bonne chose », avait-il déclaré. Mais il reste convaincu que l'identité est toujours faite d'interactions.
Lire aussi. Europe, l'aveu d'Emmanuel Macron
Interpellé mardi par une étudiante danoise sur l'avenir des identités en Europe, il lui avait répondu, provocateur : « Le vrai Danois n'existe pas, il est déjà européen. Même votre langue n'est pas seulement le danois, elle est une part de la langue européenne. » « C'est vrai aussi pour les Français », selon lui. « La famille royale danoise en est un cas magnifique, ce n'est pas qu'une histoire danoise », avait-il souri, allusion à la princesse Mary, née en Australie, et au défunt prince consort Henrik, né en France.







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Surtout quand c’est fait à l’étranger en plus !

Certains pensait qu'il s’essoufflerait après les avatars qu'ils vient de subir avec l’affaire BENALLA lamentable ou dernièrement la démission de N.HULOT (pourtant pas une surprise...)

Mais ce nouveau président a été élu semble-t-il pour le changement et les réformes à tout va !?

Alors bien sûr, ses méthodes à l’emporte-pièce et marche forcée ne peut plaire aux français habitués aux tergiversations ou atermoiements de ses prédécesseurs qui faisaient multiples promesses sans les tenir !

Mais, il n’était pas utile d’employer ses expressions, qu’il a l’habitude de faire pour vexer les français lambda !

De plus, comme on n’y était habitué lors des précédents gouvernements et leurs dirigeants, il fait peser le poids de ses futures réformes toujours sur les mêmes classes moyennes et faibles en n’oubliant pas les retraités qui ne peuvent que subir, car n’ayant aucuns moyens de pressions pour réagir !

Et ces multiples réformes diverses ne peuvent faire d’effet rapidement sans compter qu’elles sont trop nombreuses, dont certaines ne sont pas la priorité !

Mais il est vrai que le partage des efforts demandés aux français devrait être mieux répartis plus équitablement entre les riches et ceux qui le sont moins !

Notre président se comporte comme un « pseudo autocrate » qui a trop de pouvoir malgré que nous soyons en démocratie car cette V eme république lui en donne trop !

Mais une fois pour toute, les français doivent comprendre qu’ils élisent un président de la république pour 5 ans avec un mauvais système à 2 tours pernicieux car piégeux qui en mettent certains au pouvoir par défaut comme en 2017 du fait du résultat du 1er tour et qu’il faut le subir, donc qu’ils apprennent à mieux voter sans se laisser influencer par les médias ou partis ringards et politiciens médiocres !

En insistant pour une reforme constitutionnelle utile en changeant de république et ses institutions qui sont dépassées dans ce monde en pleine évolution !

Jdeclef 30/08/2018 09h16LP

mercredi 29 août 2018

Qu'il soit élu, qu'est-ce que ça change, il a créé un accident de la route inexcusable !


Val-de-Marne : alcoolisé, un maire renverse un scootériste

Sous l'emprise de l'alcool au volant de sa voiture, un élu a grillé un feu rouge avant de percuter un scooter. L'homme, blessé, est à l'hôpital.

Jean-Claude Kennedy, le maire de Vitry-sur-Seine (Val-de-Marne), a été placé en garde à vue mardi soir après avoir grillé un feu rouge et percuté un scooter avec sa voiture alors qu'il était alcoolisé, a-t-on appris mercredi de sources concordantes. L'élu communiste de 66 ans a été interpellé vers 19 heures « après avoir franchi un feu rouge et percuté un scooter » à Maisons-Alfort, en proche banlieue parisienne, a expliqué une source policière.
L'édile présentait « des signes d'ivresse », avec un taux de 0,45 mg d'alcool par litre d'air expiré, soit presque le double de la limite légale (0,25 mg), a-t-elle ajouté. Jean-Claude Kennedy, maire de Vitry-sur-Seine depuis 2015, a passé la nuit en garde à vue et s'y trouvait toujours mercredi matin, a fait savoir le parquet de Créteil.
Le conducteur du scooter, un homme de 62 ans, a été transporté à l'hôpital pour examen, mais ses jours n'étaient pas en danger. Il a « peut-être une fracture de la hanche », a précisé une autre source policière. Une enquête pour blessures involontaires a été ouverte et confiée au commissariat de Maisons-Alfort.
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En grillant un feu et percutant un homme à scooter du presque même âge que lui !

Il était en état d’hybridité, donc un homme qui avait trop bu, qu'il soit maire d’une ville n’empêche rien à son irresponsabilité !

L'alcool au volant fait partie des causes d'accidents de la route et certains s'en fiche, il faut punir plus sévèrement ces fautes qui peuvent causer des drames !

Il y a des individus incurables, mêmes chez des hommes ayant des fonctions publiques d'élus qui devraient donner l'exemple surtout que ce personnage n'était pas jeune, on n'a qu'à lui supprimer son permis !

En ce qui concerne ces administrés, ils jugeront de le conserver ou non comme maire de cette grande ville de banlieue de la couronne de Paris 92 531 habitants en 2015 !

Jdeclef 29/08/2018 13h12 LP

C'est ce bon G. COLLOMB qui doit être content :


Trappes : Confirmation du profil psychologique « perturbé » de l'auteur

L'enquête des forces de l'ordre a permis de confirmer que l'auteur d'une attaque au couteau jeudi à Trappes avait un « profil psychologique perturbé ».


Après l'attaque au couteau jeudi dernier à Trappes dans les Yvelines, l'enquête permet désormais d'en savoir un peu plus sur l'auteur. Il avait ainsi un « profil psychologique perturbé ». Une des victimes est toujours entre la vie et la mort selon le parquet.
Kamel S. a tué sa mère, 71 ans, ainsi que sa sœur, 49 ans, et blessé très grièvement une passante dans cette commune populaire à l'ouest de Paris. Si les faits ont été rapidement revendiqués par le groupe État Islamique, la justice a jusqu'ici estimé que le caractère terroriste de l'attaque n'était pas établi : le parquet antiterroriste n'a pas été saisi et une enquête a été ouverte au parquet de Versailles notamment pour « assassinat et tentative d'assassinat ».

Le pronostic vital de la troisième personne est engagé

« Les premières auditions de l'entourage [de Kamel S.] font état d'un profil psychologique, voire psychiatrique, perturbé », a déclaré mardi une source au parquet, précisant que les « investigations techniques » sur le matériel informatique et la téléphonie se poursuivaient.
Le pronostic vital de la troisième victime, âgée de 66 ans, était « toujours engagé » mardi matin, « malgré une évolution favorable », a ajouté cette source. Alertées par le voisinage, les forces de l'ordre avaient retrouvé l'homme de 36 ans retranché dans le pavillon familial, criant de l'intérieur : « Allah Akbar, si vous rentrez, je vous fume ! » Ressortant de la maison, il avait ensuite « refusé d'obtempérer » aux sommations des policiers qui ont fait feu.

Fiché pour radicalisation islamiste

Chauffeur de bus, Kamel S. avait été licencié en octobre 2016 pour avoir violé l'obligation de neutralité liée à sa fonction. Fiché pour radicalisation islamiste, une procédure pour apologie du terrorisme avait été engagée, mais finalement classée sans suite. Kamel S. avait une seule condamnation à son casier pour une désertion dans l'armée en 2003.
Séparé de sa compagne et de ses trois enfants, il vivait chez sa mère à Trappes. Mais la famille connaissait des tensions autour de l'héritage paternel: Kamel S. avait déposé une plainte pour abus de confiance contre ses deux sœurs, classée sans suite en 2017, selon une source proche de l'enquête.
Le ministre de l'Intérieur Gérard Collomb, qui s'était rendu jeudi sur place, avait déjà parlé d'un profil de « déséquilibré » davantage que d'un « engagé » pouvant répondre aux « ordres et consignes » d'une organisation jihadiste telle que l'État islamique.
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Lui que se satisfait des déséquilibrés qui crient « Allah Akbar » en passant à l’acte, mais qui tuent comme ceux qualifiés de terroristes islamistes avérés !?

Là, on voit la logique des bien-pensants donneurs de leçons hypocrites car ce personnage a quand même tué une innocente qui passait par là !

Il avait surement une arrière-pensée religieuse extrémiste pas nette qui a d'ailleurs été soulignée par la propagande de DAESH qui fait « feu de tout bois » !

Désolant ministre de l’intérieur partisan du politiquement correct...

Jdeclef 25/08/2018 11h14

Le président MACRON et son 1er ministre qui est aux ordres de celui-ci comme il se doit :


Et nos voisins, comment vont-ils ?

Au Royaume-Uni comme en Allemagne, c'est le plein emploi. En France, la croissance est de nouveau en berne et on attend toujours les réformes.

Pendant que les mauvaises nouvelles en France tombent régulièrement du ciel comme des averses de grêle dévastatrices – recul de la croissance et du niveau de vie, chômage très élevé, dépenses publiques et dette toujours en hausse, pression fiscale en augmentation… –, nos chers voisins battent record sur record.
Ainsi du chômage. De l'autre côté de la Manche, au Royaume-Uni, le chômage n'a jamais été aussi bas depuis 43 ans, selon l'Office national des statistiques (ONS) : il est tombé à 4 % au second trimestre, contre 4,2 % le trimestre précédent. Autre bonne nouvelle : le chômage des jeunes de 16 à 24 ans est tombé, lui, à 492 000 demandeurs d'emploi, « le chiffre le plus bas » depuis que l'ONS dispose de séries statistiques, c'est-à-dire depuis 1992. Résultat général : 800 000 postes vacants, un autre record !

Plein emploi en Allemagne

Quant à l'Allemagne qui est déjà sous les 4 % depuis quelque temps, c'est bien simple, elle est au plein emploi avec 3,4 % de chômage en juin 2018, selon Eurostat, et vient de battre également son précédent record du taux d'emploi avec 44,8 millions de personnes au travail au 30 juin de cette année. Sur ce critère du taux d'emploi chez les trois poids lourds européens, un taux basé sur la population au travail, hommes et femmes âgés de 15 à 64 ans, l'Allemagne est à 73,8 %, le Royaume-Uni à 71,9 % et la France loin derrière, à 64 %.
Quant à la croissance de l'autre côté du Rhin, elle vient d'être annoncée en hausse par l'Office fédéral allemand de statistiques, Destatis : une progression de 0,5 % au second trimestre après 0,4 % au premier, portant ainsi à 2,3 % la croissance du pays sur un an. En France, selon l'Insee, la hausse du PIB n'aura été que de 0,2 % au second trimestre comme au premier, ce qui nous situe à 1,7 % de croissance sur un an. Conséquence : le gouvernement va devoir réajuster toutes ses prévisions budgétaires pour l'année 2019.

Une économie libérale, ouverte sur le monde

En Allemagne, en matière d'embellie, ce n'est pas tout. Grâce à la progression de son PIB de 0,5 % au deuxième trimestre, on y affiche aujourd'hui un excédent budgétaire record de 48,1 milliards d'euros pendant les six premiers mois de l'année, ce qui représente 2,9 % de son PIB. Autrement dit, lorsque les Français doivent se battre comme des forcenés pour ne pas dépasser les 3 % de déficit, leurs voisins d'outre-Rhin arrivent à produire un excédent du même ordre. La conséquence en est que plus aucune comparaison économique n'est possible avec notre puissante voisine qui touche, année après année, les dividendes de ses grandes réformes de structure et de son intelligence économique.
Son PIB est maintenant supérieur de 1 000 milliards d'euros à celui de la France : 3 260 milliards en 2017 contre 2 290 ! C'est l'écrasante victoire d'une économie libérale, ouverte sur le monde, face à une économie repliée sur elle-même, suradministrée par un État hypertrophié et surchargée d'impôts, de taxes et de charges sociales. Le ratio français des dépenses publiques avec un pourcentage de 56,5 % du PIB en 2017 nous a permis de conserver haut la main non seulement notre record mondial des dépenses publiques mais également celui des prélèvements obligatoires. Tels sont les records de la France !

Un rapport de plus enterré

Pas une seule vraie réforme structurelle n'a été engagée à ce jour dans notre pays, et l'annonce par Édouard Philippe dans le dernier JDD de seulement 4 500 suppressions de postes de fonctionnaires en 2019, contrebalancées d'ailleurs par 3 300 nouveaux postes, a créé la stupeur chez certains observateurs : le Premier ministre est-il conscient de l'état de son pays ? Devant le mur du chômage, de la dette et des dépenses publiques, n'a-t-il rien d'autre à nous dire ?
Pire encore, le rapport sur les 22 mesures vitales proposées par le Comité Action publique 2022, mis en place par l'Élysée et Matignon, est pour l'instant enterré par le gouvernement au grand dam des 42 prestigieux sages et experts qui ont planché pendant de nombreux mois sur les moyens de redresser enfin notre pays. Exactement comme l'avait fait Nicolas Sarkozy il y a dix ans, en 2008, quand il a oublié en route les principales recommandations de la Commission pour la libération de la croissance française, dite « Commission Attali », dont le rapporteur général adjoint, un jeune et brillant inspecteur des finances, s'appelait alors Emmanuel Macron… Triste rentrée !
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Ne sont pas meilleurs que leurs prédécesseurs quel que soit leur bords politiques !
Car ils ne font que de la politique politicienne à outrance stérile et ne travaillent que pour eux, mais pas pour le peuple qui les a élus !

Ils ont beau pour certains sortir de l’ENA cette boite à politiciens bornés à des années-lumière de ce qu’il faudrait faire pour le peuple qui travaille aux bénéfices du pays, mais surtout pour ceux sortant de prestigieuses écoles !

Mais pas au fait des préoccupations de la vie courante de nos concitoyens « au ras des pâquerettes » en bobo bien-pensants donneurs de leçons hypocrites !

Ils n’ont pas à être fier, car cela dure depuis que cette V eme république existe avec ses relents monarchiques d’un autre âge !

Mais surtout, cela s’est amplifié depuis les trente dernières années et nous a mis à la dernière place des pays de l’Union européenne, malgré l’arrogance de nos dirigeants que nous avons élus en leur faisant hélas confiance !

Alors maintenant notre pays est surendetté par cette mauvaise gestion qui perdure et dont ces élus politiciens de tous bords et bien sur nos dirigeants sont dans l’incapacité d’éponger cette dette et déficit chronique, car pharaonique qui empêche d’avancer !

Il faudrait vraiment changer cette V eme république et remettre tout à plat dans nos institutions, car cela ne marche plus dans notre monde moderne en pleine évolution !

C’est aux français à se remuer et ne plus se laisser influencer par ces politiciens médiocres et leurs partis ringards en continuant plus fermement cette ébauche de changement issu de la dernière présidentielle de 2017, car cela ne suffit plus !

Jdeclef 29/08/2018 09h58

mardi 28 août 2018

Que pouvait dire de plus le président rien, si ce n'est que s'être fait piéger par N.HULOT qui avait été piégé par lui avant en mai et qui lui a coupé l'herbe sous le pied c'est de bonne guerre politicienne !


EN DIRECT. Démission de Hulot - Macron : « Je respecte sa liberté  »

VIDÉOS. Le chef de l'État, qui refuse en principe de s'exprimer sur des sujets nationaux depuis l'étranger, a réagi au départ de Nicolas Hulot.

Coup de tonnerre politique. Nicolas Hulot jette l'éponge. Après avoir maintes fois menacé de le faire, le ministre de la Transition écologique a décidé de partir du gouvernement d'Édouard Philippe. «  Je prends la décision de quitter le gouvernement  », a déclaré Nicolas Hulot, lors d'une interview en direct sur France Inter, après avoir confié qu'il se sentait «  tout seul à la manœuvre  » sur les enjeux environnementaux au sein du gouvernement. «  Nous faisons des petits pas, et la France en fait beaucoup plus que d'autres pays, mais est-ce que les petits pas suffisent... la réponse est non  », a-t-il considéré. Le gouvernement, qui sera remanié mais pas dans l'immédiat selon l'Élysée, perd un de ses ministres les plus populaires. Cette décision semblait devenue inévitable : pratiquement dès sa nomination, des écologistes avaient critiqué la présence de Nicolas Hulot au gouvernement vu la politique nucléaire.
Parmi les premières réactions de responsables politiques, le président des Républicains (LR) Laurent Wauquiez a dit «  comprendre qu'il se sente trahi comme aujourd'hui pas mal de Français par des promesses fortes qui avaient été faites, et le sentiment à l'arrivée que ce n'est pas très tenu  ». Pour Jean-Luc Mélenchon, ce départ sonne «  comme un vote de censure contre Macron  », et «  la macronie commence sa décomposition  ».

15 h 19 - Emmanuel Macron évoque le "choix d'un homme"
Emmanuel Macron, qui se trouve actuellement au Danemark, a commenté le départ de Nicolas Hulot en saluant "le choix d'un homme". Il a précisé "respecter la décision personnelle" que Nicolas Hulot a prise ce matin. "Si j'ai choisi Nicolas Hulot il y a 15 mois, c'est parce qu'il est un homme libre", a-t-il précisé.
Il a ensuite précisé qu'il "souhaitait pouvoir toujours compter sur celui-ci sous une autre forme". L'occasion aussi pour Emmanuel Macron de défendre le bilan de Nicolas Hulot et le sien. "En 15 mois, ce gouvernement a fait plus qu'aucun autre."   

14 h 48 - "Un coup de tête d'un enfant gâté" pour Joël Giraud

      Joël Giraud, le député LREM des Hautes-Alpes et rapporteur général du budget à l'Assemblée nationale n'a pas mâché ses mots dans une interview au journal  Le Dauphiné .

"Ça sent la décision prise sous le coup de l'émotion. Mais quand on est ministre, il faut garder la tête froide et se concentrer sur les grands objectifs de politique publique que l'on porte. Les enjeux de politique environnementale sont trop importants pour se livrer à ce genre de démission coup de tête. Nicolas Hulot et le gouvernement ont enregistré des succès très concrets sur un grand nombre de sujets (...) Je trouve donc que ne pas prendre ce bilan en considération car on est vexé d'un arbitrage sur la chasse relève de l'itinéraire d'un enfant gâté."

14 h 43 - Le réseau "Sortir du nucléaire" pointe la lucidité de Hulot

      Charlotte Mijeon, la porte-parole du réseau "Sortir du nucléaire" considère sur Franceinfo que c'est à cause d'un recul du gouvernement sur le nucléaire que Nicolas Hulot est parti.
"L'impression qu'on a eue, c'est qu'il assistait au recul du gouvernement sur le nucléaire sans avoir de moyens de s'y opposer. Il lui aura fallu pas mal de temps pour se rendre compte de la vraie nature de ce gouvernement, mais c'est bien qu'il le fasse, c'est un acte de lucidité."
14 h 25 - Le Parti socialiste insiste sur une décision prise "courageusement"

      Olivier Faure, le premier secrétaire du PS, a commenté la décision de Nicolas Hulot dans un communiqué.

"Ne plus mentir, ne plus se mentir. La démission de Nicolas Hulot nous parle d'une trahison. Celle d'un pouvoir qui a abandonné toute référence au progressisme et à l'écologie. L'alerte de Nicolas Hulot doit être entendue. L'urgence écologique exige un autre modèle de développement : priorité à l'économie circulaire, décarbonée, au développement des énergies renouvelables, à la lutte contre le réchauffement climatique, à une approche liant enjeux environnementaux et enjeux sanitaires. C'est une vraie révolution des modes de production qu'il faut atteindre."

14 h 06 - Christophe Castaner défend le bilan écologique du gouvernement et de la majorité

      Ainsi, selon le chef de file de La République en marche, "avec Hulot nous avons obtenu de grandes avancées".
"Grâce à son travail, notre gouvernement peut être fier d'avoir un bilan écologique à la hauteur des enjeux. La politique se mesure sur le long terme : ses effets ne sont pas toujours immédiats. Mais rien n'arrêtera notre exigence pour l'environnement."
Sa façon de partir serait même logique. Ainsi, Hulot "part à sa manière, libre. C'est pour cette liberté que le président lui avait demandé de s'engager avec nous", relaie Le Monde.       

13 h 46 - "Pas la plus mauvaise nouvelle de la semaine" pour les chasseurs

      Willy Schraen, le président de la Fédération nationale des chasseurs, a réagi au départ de Nicolas Hulot sur Franceinfo. "Il a passé trente ans à taper sur le monde rural. En ce qui me concerne, très honnêtement, ça n'est pas la plus mauvaise nouvelle de la semaine."

12 h 45 - Depuis le Danemark, Emmanuel Macron prendra la parole à 14 heures

      Emmanuel Macron est arrivé à Copenhague pour une visite d'État de trois jours au Danemark et en Finlande. Après avoir appris la nouvelle en direct sur France Inter mardi matin, le président s'est entretenu avec son Premier ministre, Édouard Philippe, mais n'a eu aucun contact avec Nicolas Hulot, a indiqué l'Élysée. Le chef de l'État a fait savoir qu'il accepterait de répondre à des questions sur le départ du ministre lors d'une conférence de presse conjointe avec le chef du gouvernement danois Lars Lokke Rasmussen vers 14 heures, alors qu'en principe il refuse de s'exprimer sur des sujets nationaux depuis l'étranger.      

12 h 42 - Greenpeace évoque un "gâchis"

      L'humeur est morose chez les défenseurs de l'environnement qui s'interrogent également sur la capacité d'un autre à faire mieux que Nicolas Hulot. Greenpeace a dénoncé un "gâchis", tandis que le président de la Ligue de protection des oiseaux (LPO), Allain Bougrain-Dubourg, a dit se sentir "orphelin". Audrey Pulvar, qui a remplacé Nicolas Hulot à la tête de la Fondation pour la nature et l'homme qu'il a créée, a de son côté estimé que le vivant perdait son "seul défenseur".

12 h 38 - Un "constat d'échec" qui "envoie un signal inquiétant"

      Malgré les désaccords entre Nicolas Hulot et Brigitte Bardot, la fondation de cette dernière a réagit à la suite de la démission du ministre en qualifiant de "terrible gâchis" son départ prématuré du gouvernement. Par la même occasion, l'ONG met en cause la politique de l'État "aux bottes des lobbies pro chasse, pro agrochimie et contre toute forme d'évolution positive de la condition animale en France". Dans un autre tweet, la fondation de l'ancienne comédienne critique le bilan de Nicolas Hulot : "Il a réussi à faire moins pour les animaux que Ségolène Royal... C'est dire !

12 h 28 - Édouard Philippe remplacera Hulot "dans les prochains jours"

      "J'aurai l'occasion, au cours des jours qui viennent, de faire des propositions au président de la République (...) s'agissant de la composition du gouvernement", a déclaré le Premier ministre avant d'intervenir devant la conférence des ambassadeurs à Paris, remerciant au passage Nicolas Hulot pour son "travail important" au gouvernement.      

12 h 11 - Chenu (RN) : "Hulot refuse de continuer à jouer les plantes vertes"

      Interrogé par "Le Point", Sébastien Chenu, porte-parole du Rassemblement national dirigé par Marine Le Pen confie : "Nicolas Hulot refuse de continuer à jouer les plantes vertes. Sa démission est logique. Il défend un autre modèle. Il s'est retrouvé à contre emploi. On peut tenir un an avec de la com. Mais si on ne tire pas dans le même sens ça ne peut pas marcher. Ce gouvernement n'a aucune considération pour la question écolo. Il est soumis à des lobbies. Les députés En marche ! refusent de voter des mesures en faveur de la protection animale car ils protègent les intérêts des lobbies. Cette démission est emblématique de la politique de Macron : des annonces sans arrêt sans jamais de résultat. La faiblesse de Hulot c'est qu'il n'a jamais fait de réseau à l'assemblée. C'était un ministre pas politique dans un ministère éminemment politique."    
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Ce personnage vedette de la télé spectacle par ses documentaires et actions spectaculaires qui plaisaient tant aux français lambda qui l'ont bien enrichi sous couvert de pseudo écologie a fait long feu n'était pas à sa place comme ministre !

Le défaut peut être pour E.MACRON qui l'avait recruté pour racoler les écologistes, c'est que ce n'était pas un politicien et que sa méthode, ses reformes ou propositions étaient pour bien de celles-ci utopiques voire irréalistes à terme...

Alors cet apprenti écologiste politique a vite compris que ce qu'il voulait faire n'irait pas loin, il a tenu 14 mois en rongeant son frein, comme bien des « empêcheurs de tourner en rond » d'écologistes politiques qui d'ailleurs n'arrivaient pas à s'entendre déjà entre eux !

De toute façon, il n'était pas sous contrat avec E.MACRON et n'avait même pas de préavis à faire pour démissionner, donc celui-ci lui a rendu sa liberté, il ne pouvait l'en empêcher, sauf pour ce qu'il voulait faire quand il était ministre !

Les ministres de l’écologie sous les divers gouvernements n'ont été que des faire-valoir pour l'écologie et médiocres, voire ridicule pour certains !

La question en fait qui se pose : faut-il un ministre de l'écologie fantoche avec un ministère avec, car cela coûte cher pour peu de résultat ?

Jdeclef 28/08/2018 16h08

Le Pape est un vieil homme qui dirige une vielle église et une vieille religion !


Propos du pape sur l'homosexualité : la « bourde » qui « fait scandale »

Si le Vatican a corrigé depuis le verbatim du pape, les quotidiens de ce mardi estiment que « le pape s'est pris les pieds dans la soutane ».


En recommandant le recours à la psychiatrie pour les enfants ayant des tendances homosexuelles, le pape François a « fait scandale » et commis une « bourde », estime ce mardi la presse, qui voit dans ces propos une menace de « disgrâce » pour le souverain pontife.
Dans l'avion qui le ramenait d'Irlande après une visite dominée par les abus de pédophilie dans le clergé, le pape François a semé le trouble en déclarant à propos des orientations homosexuelles : « Quand cela se manifeste dès l'enfance, il y a beaucoup de choses à faire par la psychiatrie, pour voir comment sont les choses. ». La déclaration faite dimanche devant la presse a été corrigée lundi par le Vatican, qui a retiré de son verbatim officiel la référence à la « psychiatrie » en affirmant que le souverain pontife ne voulait pas assimiler l'homosexualité à « une maladie psychiatrique ».

 « Les mots qui fâchent du pape »

« Sur l'homosexualité, le pape fait scandale », écrit Libération, qui titre en une sur « Les mots qui fâchent du pape ». Pour Sébastien Lacroix de L'Union, « le pape s'est pris les pieds dans la soutane ». Le Parisien a fait sa une sur « Le chemin de croix du pape François ». Il le juge « trop tolérant avec les prédateurs sexuels, trop fragile face aux traditionalistes qui verrouillent les rouages du pouvoir catholique ». « Le pape est aujourd'hui menacé par la disgrâce », estime Frédéric Vezard.
 « Les paroles du pape sur l'homosexualité font tache », estime Christophe Bonnefoy dans Le Journal de la Haute-Marne. Et si le Vatican a tenu à corriger lundi les propos incriminés, c'est que « la bourde, appelons-la comme ça, est de taille », selon lui.

« Ce mot semble avoir été lâché par réflexe »

« Ce mot [psychiatrie], associé à l'homosexualité, semble avoir été lâché par réflexe. D'un souffle. Presque inconsciemment, comme une sorte de réflexe pavlovien », analyse Olivier Pirot dans La Nouvelle République du Centre-Ouest. C'est « comme si, finalement, le haut clergé n'avait jamais renoncé à penser que l'homosexualité était une maladie », se désole-t-il.
Le pape est « complètement à côté de la plaque », avec un propos « déplacé », dénonce Xavier Brouet dans Le Républicain Lorrain. Le quotidien catholique La Croix n'est pas en reste, en confessant que « le mot psychiatrie était une erreur ». Même si le propos a été retiré de la transcription officielle du Vatican, « l'incident n'en est pas moins regrettable », estime Guillaume Goubert, qui observe qu'aujourd'hui « il y a trop de choses graves à traiter dans l'Église pour perdre ainsi du temps et de l'énergie ».
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Donc décortiquer ce que dit cet homme Pape chrétien par des médias toujours à l’affût de propos mal compris est bien facile !

En lui glissant une peau de banane sur laquelle il a glissé…

De toute façon, il est le chef d'une église qui n'a aucun pouvoir juridique sur les états ou la religion catholique est pratiquée et c'est bien ainsi, car dans notre histoire passée, quand cette religion ou une autre avait trop de pouvoir le sectaire a fait beaucoup de mal et donc il faut conserver notre laïcité absolument !

Par contre ce qu'on peut vraiment reprocher au Pape, c'est les faits de pédophilie de la part de certains prêtres de l'église catholique qu'il ne sanctionne pas assez en tant que chef de celle-ci !

On aurait tendance à dire qu'il parle trop sans assez réfléchir à ses propos et leurs interprétations !

Les religions divisent les hommes par leurs dogmes quelque fois moyenâgeux on en a l'exemple dans le monde et la preuve sur les esprits faibles dans un siècle qui se veut progressiste, mais qui traîne ces boulets religieux d'un autre âge !

Jdeclef 28/08/2018 14h05LP

Ce n'est pas une surprise on s'y attendait, ce n'est pas une grosse perte, car il avait cru au père Noël, en bon illuminé écologiste utopique !


Départ de Nicolas Hulot du gouvernement : les réactions politiques

Pour le chef de file des Insoumis Jean-Luc Mélenchon, ce départ sonne « comme un vote de censure contre Macron », et « la macronie commence sa décomposition ».


Coup de tonnerre politique. Nicolas Hulot jette l'éponge. Après avoir maintes fois menacé de le faire, le ministre de la Transition écologique a décidé de partir du gouvernement d'Édouard Philippe. «  Je prends la décision de quitter le gouvernement  », a déclaré Nicolas Hulot, lors d'une interview en direct sur France Inter, après avoir confié qu'il se sentait «  tout seul à la manœuvre  » sur les enjeux environnementaux au sein du gouvernement. «  Nous faisons des petits pas, et la France en fait beaucoup plus que d'autres pays, mais est-ce que les petits pas suffisent... la réponse est non  », a-t-il considéré. Cette décision semblait devenue inévitable : pratiquement dès sa nomination, des écologistes avaient critiqué la présence de Nicolas Hulot au gouvernement vu la politique du gouvernement, notamment en ce qui concerne le nucléaire.
Parmi les premières réactions de responsables politiques, le président des Républicains (LR) Laurent Wauquiez a dit «  comprendre qu'il se sente trahi comme aujourd'hui pas mal de Français par des promesses fortes qui avaient été faites, et le sentiment à l'arrivée que ce n'est pas très tenu  ». Pour Jean-Luc Mélenchon, ce départ sonne «  comme un vote de censure contre Macron  », et «  la macronie commence sa décomposition  ».

09 h 56 - Quand Nicolas Hulot s'épanchait...

      Le ministre de la Transition écologique s'était confié au Point en novembre 2017. Il se plaignait de n'avoir pas de relais pour faire avancer sa cause.
>> À LIRE : Quand Nicolas Hulot s'épanchait       

09 h 45 - Jadot salue le "courage" de Nicolas Hulot

      Yannick Jadot, tête de liste EELV pour les élections européennes, écrit sur Twitter : "Nicolas Hulot a eu du courage d'essayer de faire changer les choses à l'intérieur de ce gouvernent anti-écolo, c'est la fin d'une illusion et du bal des Tartuffes (...) Emmanuel Macron a manipulé Nicolas Hulot comme il l'a fait avec Jean-Louis Borloo, il utilise et piétine les engagements sincères mais reste le meilleur ami des lobbies." 

09 h 39 - Mélenchon : "La décomposition du régime Macron est commencée"

      Jean-Luc Mélenchon voit dans la démission de Nicolas Hulot "un vote de censure contre Macron", écrit-il sur son compte Twitter. Sur le site de son parti, La France insoumise, on peut lire : "La décomposition du régime Macron est commencée. Notre diagnostic et celui de tous les écologistes est confirmé. Vivement que le peuple ait la parole."

09 h 37 - Wauquiez "peut comprendre" que Hulot "se sente trahi" par Macron

      "Nicolas Hulot, je ne partage pas nécessairement ses opinions, mais je peux comprendre qu'il se sente trahi, comme aujourd'hui pas mal de Français, par des promesses fortes qui avaient été faites, et le sentiment à l'arrivée que ce n'est pas très tenu", a réagi Laurent Wauquiez, président des Républicains, sur RTL. "Ce que je constate surtout, c'est qu'au fond, cette démission est le reflet des conséquences des ambiguïtés des politiques de Macron. Il cherche à tout concilier, sans jamais trancher."      

09 h 32 - Benjamin Griveaux regrette un "manque de courtoisie" envers Emmanuel Macron

      Le porte-parole du gouvernement, Benjamin Griveaux, a dit "regrette(r)" le départ surprise du ministre de la Transition écologique Nicolas Hulot, mais aussi un manque de "courtoisie" envers Emmanuel Macron et Edouard Philippe, qui n'étaient pas prévenus. Sur BFM TV, il a ensuite ajouté : "Je veux rendre hommage au travail qui a été accompli depuis plus d'une année par Nicolas Hulot."

09 h 27 - Nicolas Hulot démissionne du gouvernement

  
"J'ai un peu d'influence, pas de pouvoir. C'est une accumulation de déceptions", a expliqué le ministre de la Transition écologique à France Inter ce matin. Il a décidé de démissionner de ses fonctions sans avoir prévenu ni le président ni le gouvernement.

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Il a été vexé et donc a claqué la porte en évitant d’en parler au président pour éviter encore d’être encore influencé par celui-ci, s’il avait essayé de le retenir !

Il s’était fait piéger par le président qui l’a recruté en profitant de sa notoriété télévisuelle qui plaisait tant aux français en pseudo écologiste star qui a fait sa richesse avec ces documentaires à grand spectacles, ceci en passant !

Tous les présidents passés ont fait de même pour récupérer des voix des écologistes avec d’autres !

En ce qui concerne N.HULOT, il croyait pouvoir influencer le président avec ces réformes ou propositions souvent utopiques irréalisables !

Ce n’est qu’un « empêcheur de tourner en rond », comme l’était tous ses prédécesseurs écologistes politiques qui se sont succédés sous tous les gouvernements passés tout comme lui, inutiles ministres qui se sont engraissés au frais de l’état et donc des contribuables !

En résumé, on n’en arrive à se demander depuis ces années passées, si un ministre de l’écologie sert à quelque chose et même un ministère de la transition écologique en FRANCE ?!

Mais c’est tout de même un échec politique pour E.MACRON, car ce n’est pas lui qui l’a démis de ses fonctions !

Jdeclef 28/08/2018 10h55 LP