Périgueux : le jeune qui avait blessé quatre personnes,
condamné
L'homme de 19 ans qui avait attaqué au couteau
quatre personnes lundi en Dordogne a été condamné pour « violences
aggravées ».
Ce lundi, un jeune demandeur d'asile afghan avait agressé quatre personnes au couteau à Périgueux. Ce vendredi, il vient d'être condamné à quatre ans de prison, dont un an avec sursis. Le jeune homme, jugé en comparution immédiate à Périgueux où il avait été placé en détention provisoire, est également interdit de séjour en Dordogne pour une période de cinq ans.
Il devrait être prochainement transféré dans un autre établissement pour effectuer sa peine en France, a précisé samedi le parquet de Périgueux à un correspondant de l'Agence France-Presse. Dès le début de l'enquête, la piste terroriste avait été « très rapidement » écartée, selon le parquet.
Il
souffre de troubles psychologiques
Ce
demandeur d'asile, âgé de 19 ans, qui dit être arrivé en France en
2016, n'a pas d'antécédent judiciaire, mais souffre de troubles psychologiques,
selon France Bleu
Périgord. Il était ivre au moment des faits après avoir bu dans l'après-midi,
et a assuré ne pas se souvenir de l'agression.Présenté mardi en fin de journée devant un magistrat, il avait été mis en examen pour « violence aggravée avec ITT (incapacité totale de travail de travail) supérieure à huit jours », avec circonstances aggravantes de préméditation, de présence d'une arme, et d'état d'ivresse.
...
et était ivre
Le
jeune homme, hébergé chez un cousin lui aussi demandeur d'asile, s'en était
pris à un groupe de jeunes filles qui passaient devant son domicile, selon la
police. Deux ambulanciers, témoins de la scène, avaient tenté de le calmer. Il
était alors rentré chez lui pour chercher un couteau de cuisine et avait blessé
les deux hommes de 55 et 38 ans, à la tête et à la nuque.Il s'en est ensuite pris à ses voisins, deux frères de 64 et 68 ans, qui ont reçu des coups de couteau, l'un au poumon, l'autre au dos. Alors que ce dernier se défendait, il est tombé au sol avec son agresseur, jusqu'à ce qu'un jeune homme intervienne et l'aide à maîtriser et désarmer l'individu.
La police avait dû attendre le dégrisement du demandeur d'asile avant de pouvoir l'entendre. Au tribunal, l'agresseur a reconnu avoir bu une bouteille de whisky avec son cousin l'après-midi précédant les faits.
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Que nos gouvernants de bien-pensant ne disent pas que l'insécurité diminue, elle se porte bien, quelques exemples :
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