Tirs racistes à Beaune : les deux auteurs présumés mis
en examen et écroués
Dans la nuit du 30 juillet, les deux hommes avaient
attaqué un groupe de sept jeunes et blessé sérieusement deux d'entre eux avec
un fusil de calibre 12.
Les
deux hommes suspectés d'avoir blessé sept jeunes dans la nuit
du 29 au 30 juillet à Beaune en Côte-d'Or pour des motifs
racistes ont été mis en examen et écroués dimanche à Dijon, a-t-on appris auprès du
parquet. Âgés tous deux de 31 ans et déjà connus de la justice pour
des faits « de vols et de violences » les mis en cause avaient été
interpellés vendredi 10 août dans les Bouches-du-Rhône. Ils sont
poursuivis pour « tentative d'assassinat, violences aggravées par (...)
notamment la circonstance que les faits ont été commis en raison de
l'appartenance à une soi-disant race, religion ou ethnie, réelle ou supposée,
injures publiques à caractère racial, menaces de mort à caractère racial »,
a précisé à l'Agence France-Presse
Thierry Bas, le procureur de la République adjoint de Dijon.Originaires de Côte-d'Or, les deux suspects avaient été transférés samedi 11 août d'Avignon à Dijon, où leur garde à vue avait été prolongée, en vue de leur présentation devant un juge d'instruction, a ajouté le magistrat. Le premier d'entre eux avait été interpellé le vendredi par la brigade de recherche et d'intervention (BRI) de Marseille dans la commune de Saint-Andiol dans les Bouches-du-Rhône. Le second, resté au volant de son véhicule, s'était échappé en fonçant sur les policiers « blessant à la jambe un fonctionnaire de la BRI de Marseille » avant d'être interpellé en début de soirée dans la même commune. Dimanche, ce dernier a donc également été mis en examen pour « tentative d'homicide volontaire sur personne dépositaire de la force publique ».
Une
attaque au fusil de calibre 12
Le 30 juillet
vers 2 heures, une Renault
Clio avait foncé délibérément sur un groupe de jeunes sans les atteindre, dans
le quartier populaire de Saint-Jacques à Beaune. « À 4 h 20, les
deux auteurs revenaient à bord d'une Mercedes classe B (...) et
faisaient feu avec une arme longue sur les personnes présentes », avait
précisé le parquet vendredi 10 août dans un communiqué. Sept jeunes
âgés de 18 à environ 25 ans avaient été blessés dont deux
sérieusement par les « gerbes de plombs de calibre 12 », sans
toutefois que leurs jours n'aient été mis en danger.Un large dispositif de policiers et de gendarmes avait été rapidement installé pour retrouver les auteurs des tirs, dont la localisation s'était par la suite avérée difficile, en raison de leur grande mobilité. À l'appel de SOS Racisme, quelque 150 personnes s'étaient rassemblées vendredi 10 août sur les lieux des tirs en soutien aux victimes et à leurs familles.
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Ce ne sont que des arguties de langage pour faire plaisir aux bien-pensants hypocrites donneurs de leçons soi-disant promoteurs des droits de l'homme qui sont loin d’être respecté partout dans le monde !
Pour le reste de quoi s’agit-il d’un règlement de compte entre qui et qui ?!
L’article ne le dit pas se cachant derrière le politiquement correct insoutenable !
Ce que l’on peut voire une fois de plus, c’est une société qui ne se supporte plus, et qui règle ses comptes à coups d’armes diverses violemment en faisant sa loi et une justice et code pénal totalement dépassé pour sanctionner de tels faits criminels !
On dit des animaux quelque fois féroces, mais eux ils tuent pour se nourrir et survivre, nous êtres humains dit évolués nous tuons, pour rien, simplement quelque fois, par ce que l’on ne supporte pas les autres avec qui on vit, c’est lamentable !
Cela devient de plus en plus difficile de simplement vivre ensemble, quand on n’est différent semble-t-il, et le multiculturalisme passe de moins en moins bien !
Jdeclef 13/08/2018 12h32
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