vendredi 31 août 2018

Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué spécialités de nos ministres et leurs administrations incompétentes qui font même douter le président?!


Mise en place du prélèvement à la source en 2019 : l'Élysée entretient le doute

Le président de la République veut encore vérifier, courant septembre, que rien ne viendra perturber le dispositif controversé. Bercy défend son bébé.


Le prélèvement à la source sera-t-il mis en place le 1er janvier 2019 comme prévu ? C'est ce qu'a martelé le ministre chargé du dossier, Gérald Darmanin, y compris ce mercredi matin sur Europe 1. Las. À l'Élysée, on entretient encore le doute, vu la complexité technique de ce chantier et le risque de voir les Français déroutés par le prélèvement de leur impôt directement sur leur salaire net, ce qui pourrait peser sur leur consommation déjà en berne. D'autant que, avec le report des deux tiers de la baisse des cotisations salariés de janvier à octobre 2019, les salariés n'auront que deux mois pour se rendre compte de leur véritable gain sur leur fiche de paie (en novembre et en décembre) avant de basculer dans le nouveau système de prélèvement de l'impôt sur le revenu.
« Notre objectif, c'est d'être en situation de le mettre en œuvre [le prélèvement à la source, NDLR] au 1er janvier 2019 comme prévu et annoncé. Mais c'est un sujet suffisamment important pour qu'on prenne toutes les précautions possibles et imaginables », a expliqué un porte-parole de l'Élysée au Point mercredi soir, en précisant que la décision définitive sera prise courant septembre.
Jeudi, le président a même exprimé ses réticences publiquement, depuis Helsinki où il est en déplacement : « J'ai plutôt l'intention de conduire cette réforme à son terme, mais j'ai demandé aux ministres compétents de répondre à toutes les questions qui se posent encore, avant de donner une directive finale ».

« La machine du prélèvement à la source est lancée, elle ne doit plus s'arrêter »

Après avoir travaillé d'arrache-pied à sa mise en place, Bercy n'est pas favorable à un report. « La machine du prélèvement à la source est lancée, elle ne doit plus s'arrêter », expliquait dès lundi le directeur général des Finances publiques (DGFIP), Bruno Parent, sur Franceinfo. La direction de Bercy s'est d'ailleurs permise de répondre indirectement au chef de l'Etat, jeudi, sur twitter après ses propos tenus depuis Helsinki.
Le ministre de l'Action et des comptes publics, Gérald Darmanin, lui, continue à faire des déplacements sur ce sujet et explique qu'il va répondre aux inquiétudes du chef de l'Etat.
Les agents des finances publiques ont beaucoup travaillé pour la mise en place de l’impôt à la source, et, grâce à eux, je travaille à répondre aux interrogations autour de cette grande réforme de simplification de l’impôt pour tous les Français. pic.twitter.com/WlPSDHz5GB
Le gouvernement s'est notamment engagé à verser 30 % du montant des crédits d'impôts de garde d'enfant ou salarié à domicile dès le mois de janvier et 30 % à l'été afin d'éviter que certains ménages ne se retrouvent avec une augmentation de leurs prélèvements, les crédits d'impôts n'étant pas pris en compte dans le calcul du taux de prélèvement à la source.
Déjà repoussée d'un an, de 2018 à 2019, cette réforme décidée sous François Hollande donne décidément des sueurs froides à Emmanuel Macron alors que la croissance ralentit.
Consultez notre dossier : Tout comprendre sur le prélèvement à la source
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Cela ferait sourire, si cela n’inquiétait pas tous les français (enfin ceux qui paient l’impôt sur le revenu) et aussi les entreprises !

En plus c'est un héritage de F.HOLLANDE cadeau empoisonné (pas prioritaire) que ce prélèvement à la source, encore une reforme de plus mal ficelée on peut le remercier ce président médiocre qui a jeter l'éponge avant la fin  ?!

Il aurait été plus simple de rendre le prélèvement mensuel obligatoire, car déjà 80 % des contribuables y adhère et cela marche très bien est souple que l'on peut plusieurs fois en courant d'année si vos revenus varient modifier les mensualités en fonction des événements de la vie quotidienne perte d'emploi, diminution de revenu etc.. !

Alors que E.MACRON doute, il a raison car beaucoup  d’écueils sont encore présents du fait de la complexité de notre fiscalité avec ces cas spéciaux niches fiscales multiples foyers fiscaux et bien sûr pas à l’abri de bugs avec de nouveaux logiciels  etc.. !

Sans compter le choc politique, car quoi que l’on dise, quand les français vont voir le montant de leurs fiches de payes diminués, cela va être un choc surtout s’il y a des erreurs... !

E.MACRON n’était pas obligé de faire cette réforme tout de suite en prenant la suite inachevée de son prédécesseur qui voulait regrouper la CSG avec les impôts sur le revenu qu’il a abandonné ensuite en mauvais gestionnaire indécis qu’on lui connaissait !

Avant tout ce qu’il faudrait faire c’est une réforme de fond sur la fiscalité filandreuse de la France, après il sera bien temps de faire, la retenue à la source !

A part cela, ceci en passant, ou est passé cette fameuse année blanche fantôme ?

Jdeclef 31/08/2018 10h42 LP

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