vendredi 30 avril 2021

Le seul problème est que ce soit immanquablement notre président :

 

Déconfinement : l’engagement annoncé par Macron « tenu », assure Attal

Le porte-parole du gouvernement était sur BFMTV au lendemain des annonces du chef de l’État. Il évoque un calendrier « prudent et pragmatique ».

 

La France est à l'arrêt depuis plusieurs mois, mais commence à entrevoir une sortie du tunnel. C'est ce qu'a annoncé Emmanuel Macron à la presse régionale, jeudi 29 avril, lorsqu'il a détaillé un calendrier de déconfinement et de réouverture du pays, en plusieurs étapes, et conditionné à quelques indicateurs. Cependant, du côté des professionnels de santé, on craint un calendrier trop rapide, qui ne permettrait pas de contrôler véritablement l'épidémie alors que les services de réanimation restent en forte tension. Ce que réfute le porte-parole du gouvernement.

Invité sur BFMTV, vendredi 30 avril, Gabriel Attal a défendu un calendrier « prudent, pragmatique et fait avec du bon sens ». Et assure que les délais sont respectés : « le président a annoncé un engagement tenu ». Une référence aux déclarations du chef de l'État fin mars, lorsqu'il avait notamment annoncé la restriction des déplacements sur le territoire national et une possible réouverture de certains établissements aux alentours de la mi-mai.

Ouvrir plus largement la vaccination

Selon le porte-parole de l'exécutif, le calendrier avancé par Emmanuel Macron auprès de la presse régionale, jeudi, reprend bien ces éléments évoqués il y a un mois.

Le calendrier du déconfinement est "prudent et pragmatique" selon Gabriel Attal (@GabrielAttal) pic.twitter.com/CGBFd2rI3y

Emmanuel Macron, les territoires d'abord

Gabriel Attal explique par ailleurs que ce calendrier « tient compte du fait que les Français ont envie de reprendre une vie de plus en plus normale. Et ça, il faut l'entendre ». Il dit également entendre l'impatience de certains concernant la campagne vaccinale, encore trop corrélée aux questions de l'âge, et évoque une évolution prochaine : « C'est une question de semaines pour qu'on puisse ouvrir plus largement, et on va y arriver. »

2022 : Emmanuel Macron déconfine… sa candidature

Et à celles et ceux qui doutent de la capacité du gouvernement à pouvoir réellement appliquer son calendrier si la situation sanitaire ne s'améliore pas plus rapidement, sur tout le territoire, le porte-parole préfère afficher un espoir résolu. « On peut être optimiste sur la possibilité d'ouvrir largement sur tout le territoire les terrasses et les lieux de culture à la mi-mai. »

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E.MACRON pseudo monarque qui décide de tout et se sert indirectement de ses annonces sur cette crise sanitaire fluctuante loin d'être terminée !

En mettant en avant les progrès modestes de baisse de celle-ci en nombre de contamination !

Jusqu’à (enfin élargir le nombre de français pouvant être vaccinés rapidement notamment ceux avant 55 ans) ce qui aurait dû être fait depuis longtemps comme dans d’autres grands pays ?!

Alors avec cet ersatz de déconfinement miracle selon des dates hypothétiques qui peuvent être revues, car le monde médical est nettement moins optimiste, dont on ne peut prévoir le résultat surtout avec la belle saison arrivante, mais ne lui sert indirectement qu’à assoir sa campagne électorale car l’échéance pour sa réélection approche plus vite que la fin de cette pandémie !

Car en France on a hélas le grand défaut de mélanger la basse politique avec tous les problèmes sérieux, comme cette pandémie mondiale !

Alors comme les français lambda et professionnels réclamaient des dates, il en donne car forcé de le faire, faute de faire monter trop, la température de la protestation de tous ces bons citoyens versatiles qui attendaient celles-ci, il lâche du lest un système déjà utilisé, mais tout cela appuyé sur de simples hypothèses de véritables baisses avérées !

Et de même, en accélérant la vaccination à tout va en nombre à tous, car étant comme d’habitude en retard sur d’autres grand pays connus un véritable scandale et ces pauvres gogos de français bouche bée assistés qui attendent ses paroles approximatives, c’est lamentable de devoir subir les décisions imprécises d’un seul homme notre président toujours dépassé par tous problèmes !

Seuls les médias divers qui soulent le peuple y retrouvent leurs comptes !

Jdeclef 30/04/2021 16h03


jeudi 29 avril 2021

Quand même une poignée d'ex officiers généraux à la retraite peuvent se permettre Permettre de critiquer, voire menacer le pouvoir en place, ce n'est pas neutre !


 

Quatre-étoiles et troisièmes couteaux : la lettre des généraux fait des vagues

Qui sont les « généraux » dont la tribune, reprise par Marine le Pen, agite jusqu’au ministère des Armées ? « Le Point » passe les troupes en revue.

La mayonnaise prend. La tribune d'anciens généraux – très proche des argumentaires du Rassemblement national – publiée mi-avril sur le site Place d'armes reçoit l'écho attendu. Comme dans un ballet bien huilé, la ministre des Armées Florence Parly « exige des sanctions », dont on peine à voir lesquelles. S'agissant de la liberté d'expression, le statut général des militaires stipule clairement que « les opinions ou croyances, notamment philosophiques, religieuses ou politiques, sont libres. Elles ne peuvent cependant être exprimées qu'en dehors du service et avec la réserve exigée par l'état militaire. »

Mais les personnes concernées ne sont pas des militaires d'active et elles ont le droit de penser et d'écrire ce qu'elles veulent. Sauf à dépasser les bornes prévues pour tous les citoyens français. Théoriquement, la vingtaine d'officiers généraux signataires du texte, généralement septuagénaires et retirés du service depuis quinze ou vingt ans, encourent la perte de quelques avantages fiscaux et pécuniaires. À supposer que cette voie soit suivie par le gouvernement, elle ne sera pas si facile à mettre en œuvre. Leur texte n'appelle pas à l'insurrection, bien qu'il dise craindre que le « laxisme » provoque « une explosion et l'intervention de nos camarades d'active dans une mission périlleuse de protection de nos valeurs civilisationnelles et de sauvegarde de nos compatriotes sur le territoire national ». Cette mission des armées est explicitement cadrée par l'état de siège prévu par l'article 36 de la Constitution Article 36 – Constitution du 4 octobre 1958 – Légifrance (legifrance.gouv.fr) de la Ve République.

Tribune d'anciens généraux : le piège de Marine Le Pen

Un promoteur sulfureux

La qualité et les états de service des signataires les plus gradés montrent bien que ces derniers ne sont pas de grosses pointures. Le catalyseur de ce mouvement, l'ancien gendarme Jean-Pierre Fabre-Bernadac, n'est pas vraiment un inconnu pour ceux qui ont de la mémoire. Officier de gendarmerie de 1990 à 1999, il est « entré capitaine dans l'institution, il l'a quittée au même grade », note sobrement L'Essor de la gendarmerie, qui relève une étape sulfureuse de sa carrière : de 1993 à 1994, il fut le responsable du Département protection sécurité (DPS), le service d'ordre du Front national. Au comportement suffisamment problématique pour que l'Assemblée nationale lui consacre une commission d'enquête en 1999. Il est un collaborateur régulier du site d'extrême droite Boulevard Voltaire et vient de publier un ouvrage, dont il continue la promotion.

« Racisme anti-blanc »

Autre tête de liste, Christian Piquemal est un général de corps d'armée (quatre étoiles) et tête de gondole de la liste. Saint-cyrien, ancien chef de corps du 3e régiment étranger d'infanterie, ancien membre des cabinets militaires des Premiers ministres Jacques Chirac et Michel Rocard, il n'a croisé la gloire qu'une seule fois dans sa vie : lorsqu'en 2016, il avait manifesté à Calais contre la présence des camps de réfugiés et la politique migratoire. Il avait alors lancé la polémique selon des termes que l'on retrouve dans le texte actuel : « Nous marchons allègrement vers un multiculturalisme imposé, menant à des communautarismes religieux fanatiques, encouragés par la plupart de nos élites et dirigeants et par des médias surinformants qui nous abrutissent de pensée unique. Nous sommes extrêmement inquiets en regard de l'invasion sourde, mais rapide, du radicalisme religieux et du racisme anti-blanc. » Ce coup de gueule lui avait alors valu d'être privé de son statut d'officier général et radié des cadres de l'armée par le Conseil supérieur de l'armée de terre.

Général Piquemal : itinéraire d'une dérive

Un profil atypique

Autre signataire : Emmanuel de Richoufftz de Manin, proche du Rassemblement national, ancien saint-cyrien, ancien aide de camp du Premier ministre Pierre Mauroy (entre 1981 et 1984). Il s'est distingué très tôt dans sa carrière en étant l'un des rares officiers d'active publiant des livres, quand ce n'était ni la mode ni une manière de se faire apprécier de ses petits camarades. En 1987, il publie Décembre 1997, les Russes arrivent (Albin Michel), suivi en 1992 de Encore une guerre de retard (Albin Michel) et, en 1998, d'une réflexion pertinente : Pour qui meurt-on ? (ADDIM). En 2005, alors adjoint territorial au gouverneur militaire de Paris, il visite en uniforme les banlieues de la région parisienne avec l'aide des réservistes de l'armée de terre. Il s'attribue le titre de « général des banlieues » et promeut, confie-t-il au Monde, un parcours de citoyenneté « fondé sur le volontariat, le travail et l'effort » et lance une initiative originale, l'opération « 105 permis pour 2005 ». Pour être retenus, les candidats doivent être de nationalité française, suivre une préparation militaire et la journée d'appel et de préparation à la défense (JAPD), tout en ayant un niveau scolaire minimal. Il n'appréciera pas l'absence de soutien gouvernemental ou des armées et en concevra une amertume certaine. Il quittera l'armée en 2006, pour rejoindre le groupe GDF-Suez.

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Ils sont retraités donc redevenus civils et âgés et donc peuvent s'exprimer comme tout un chacun !

(Les policiers eux aussi n’on pas le droit de protester car au service de l’état, ils ne le font pourtant pas assez souvent !)

Mais surtout cela dénote un malaise de faux push à cause de la mauvaise gouvernance exercée par nos dirigeants et surtout le premier d’entre eux en place gravure de mode petit bourgeois parvenu qui se prend pour un monarque de l’ancien régime à qui on a donné trop de pouvoir que l’on subi au gré de ses humeurs la gestion des crises sanitaires covid et économiques en étant la preuve de par leur mauvaise gestion !

Alors bien sur il y a M. LE PEN épouvantail RN qui saisi la balle au bon se croyant sur orbite pour 2022 et qui court après un pouvoir hypothétique qu’une majorité de français censés ne lui donneront pas (enfin ceux qui votent encore !)

Mais cet épisode militaro/politique de vieux soldats souligne néanmoins que le pays et les français vont mal, tant il y a de sujets mal traités ou pas du tout dans tous les domaines ou nos dirigeants ne sont pas à la hauteur et ne font que des discours ou ils s’écoutent parler pour ne rien dire d’utile !

Mais personne dans cette kyrielle de conseillers dont s’entoure le président ou même certains ministres peu courageux n’a de courage de dire ce qu’il pense en face sans faux fuyant à notre président il faut que ce soit de vieilles barbes galonnées à la retraite car les autres qui pourraient le faire préfèrent encore les avantages de leurs fonctions éphémères !

« Chacun pour soi » et tant pis pour les français lambda et la France qui n’a plus honte de rien, n’y d’amour propre et continue à glisser vers le fond ?!

Jdeclef 29/04/2021 11h40

mercredi 28 avril 2021

A force de ne pas vouloir voir ces problèmes de terrorismes islamiques et ce sentiment d’insécurité... Lois de plus à rallonge qui n'effraient plus ces illuminés ou autres anti chrétiens ou anti français devenus trop donneurs de leçons !

 

Lutte antiterrorisme : une nouvelle loi présentée en conseil des ministres

Cinq jours après l’attaque de Rambouillet, un nouveau texte est sur la table des ministres, mercredi, afin notamment de mieux repérer les personnes radicalisées.

 

 Traquer les terroristes, détecter les profils dangereux, prévenir les attentats. Le gouvernement durcit le ton en matière de lutte antiterroriste avec une nouvelle loi présentée mercredi 28 avril en conseil des ministres. Un texte qui prévoit de pérenniser la technique, pourtant décriée, des algorithmes et de l'étendre dans le but de détecter toute personne radicalisée et qui tend actuellement à rester invisible aux services de renseignements. Une loi surtout qui arrive sur la table de l'exécutif cinq jours après l'attentat dans un commissariat de Rambouillet et qui a fait une victime, une fonctionnaire de police de 49 ans.

« Il y a eu neuf attentats de suite que l'on ne pouvait pas détecter à moyens constants », a relevé mercredi sur France Inter Gérald Darmanin. « Nous continuons à être aveugles, à surveiller des lignes téléphoniques normales que plus personne n'utilise », a-t-il insisté. À l'appui de ses propos, le ministre de l'Intérieur a souligné que chacun des meurtriers de Samuel Paty et des paroissiens de la basilique de Nice, en octobre 2020, ne communiquaient avec ses interlocuteurs que par messageries cryptées, Facebook et Messenger et non par téléphone.

35 attentats déjoués depuis 2017

Il a insisté en outre sur le profil des auteurs des récents attentats, qui se sont radicalisés rapidement et n'étaient pas fichés par les services de renseignements. Pour détecter les menaces, le texte pérennise la technique de l'algorithme, qui permet le traitement automatisé des données de connexion, tout en l'étendant aux adresses web (URL). Gérald Darmanin a fait valoir que sur les 35 attentats déjoués depuis 2017 « deux » l'avaient été grâce aux traces numériques laissées par leurs auteurs.

Rougier : « Nous avons affaire à un nouveau type de violence djihadiste »

Le projet de loi porte à deux mois, contre un seul aujourd'hui, la durée autorisée pour recueillir des données informatiques. Au-delà, ces données sont considérées comme « mortes » mais pourront être conservées pendant cinq ans aux fins de recherches et développement et faire progresser l'intelligence artificielle des « boîtes noires » des services de renseignements. En termes de garantie des libertés individuelles, le ministre a expliqué qu'écouter une personne détectée par les algorithmes serait soumis à des « autorisations », en ajoutant qu'était prévu également un contrôle parlementaire.

Pas une réponse à l'attentat de Rambouillet

Il s'agit « d'appliquer à Internet ce que nous appliquons au téléphone » en matière de surveillance, a-t-il fait valoir. Le projet de loi – dont le vote définitif est prévu par le gouvernement « avant la fin du mois de juillet », selon Marc Fesneau (Relations avec le Parlement) – promet de vifs débats au Parlement et une nouvelle levée de boucliers des défenseurs des libertés publiques. Sa présentation avait été annoncée dès dimanche, deux jours après l'attentat de Rambouillet, où un ressortissant tunisien de 36 ans a mortellement poignardé une fonctionnaire du ministère de l'Intérieur.

Gilles Kepel : « Le Facebook du tueur de Rambouillet traduit bien son parcours »

Au ministère, on assure cependant que ce projet de loi n'est « pas une réponse » à cet attentat et qu'il était en préparation depuis longtemps. Il met à jour pour l'essentiel des mesures déjà expérimentées. Néanmoins, il arrive à point nommé pour le gouvernement qui voit son action en matière de sécurité et de lutte contre le terrorisme critiquée de toutes parts, un an avant la présidentielle. Fort de 19 articles, il vise principalement, selon le ministère, à « actualiser », voire renforcer, plusieurs dispositions de la loi renseignement de juillet 2015 et celle sur la sécurité intérieure et la lutte contre le terrorisme (Silt) d'octobre 2017.

Ce que contient le texte

Les « visites domiciliaires » – ex-perquisitions administratives –, intensifiées après la décapitation de Samuel Paty, pourront s'accompagner de la saisie du matériel informatique si un suspect refuse de donner l'accès à son contenu. Les mesures individuelles de contrôles (Micas) – ex-assignations à résidence – pourront être prolongées « jusqu'à deux ans » après la sortie de prison, contre un an aujourd'hui, pour les personnes condamnées à au moins cinq ans ferme pour terrorisme. Ces mêmes « sortants », s'ils présentent une « dangerosité particulièrement élevée » de récidive, pourront aussi faire l'objet de mesures judiciaires, telles qu'établir sa résidence en un lieu donné ou respecter une prise en charge sanitaire, jusqu'à cinq ans après avoir purgé leur peine.

Coignard – Immigration et terrorisme : débat impossible et nécessaire

« Ça concerne un peu moins d'une centaine de détenus qui ont été condamnés, qui vont sortir, et qui doivent impérativement être suivis et suivis de près », a expliqué le garde des Sceaux Éric Dupond-Moretti sur France 2 mercredi. Cette disposition est une réponse à la censure l'été dernier par le Conseil constitutionnel d'une proposition de loi LREM qui prévoyait des « mesures de sûreté » pour les détenus terroristes sortant de prison. Par ailleurs, le texte propose d'interdire à une personne tenue de résider dans un périmètre géographique déterminé de paraître dans un lieu où « se tient un événement soumis, par son ampleur ou sa nature, à un risque terroriste particulier », tel qu'une rencontre sportive ou un festival de musique.

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Ou mêmes violences et délinquances voire crimes divers ou certains veulent faire leurs lois dans notre république encore française semble-t-il !?

Cela revient dans la face de nos gouvernements et nos dirigeants de tous bords depuis des décennies, çà c’est un fait qui se vérifie, (mais aussi des français lambda !)

Car ce n’est pas en modifiant des lois diverses à la marge, qu’elle quelles soient qui devraient déjà être appliquées avec rigueur ce qui n’est pas toujours le cas loin de là à l’exemple entre autres de notre justice laxiste la plus lente que l’on puisse trouver :

Car des lois, on en a en magasin de quoi remplir bien plus que nos anciens annuaires téléphoniques et avec cela nos dirigeants qui ne font que de la mauvaise politique politicienne pour essayer de plaire à tout le monde à chaque incident ou drame en pondent de nouvelles totalement inefficaces que l’on oublie après, surtout quand les drames sont passés !

Ces messieurs bienpensant hypocrites grands discoureurs donneurs de leçons qu’ils n’appliquent pas avec rigueur ne servent à rien à part verser des larmes de crocodiles ou agrafer des médailles sur les coussins des cercueils des victimes !

Alors désolé de le dire, mais nous français nous devrions avoir honte, car si notre pays est si mal géré ou mal protégé, c’est de notre faute, car nous pratiquons le fameux « chacun pour soi » et oublions et passons à autre chose rapidement, il n’y a pas de quoi être fier, car nos autorités que nous avons élues ne sont pas à la hauteur dans bien trop de domaines !

Il serait pourtant utile de se réveiller autrement que de penser à la belle saison ou au bronzing sur nos plages (petit exemple en passant avec nos crises sanitaires et économiques Covid et autres) car notre pays et ses habitants vont mal (mais pas assez semble-t-il ?!)

Mais il est vrai que dire ce que l’on pense et appeler « un chat un chat » est mal vu dans notre France de bien-pensant ?!)

jdeclef 28/04/2021 16h56


mardi 27 avril 2021

L'immigration est un problème de plus de 40 ans que l’on n’a jamais réussi à régulariser sous tous les gouvernements de tous bords depuis les années 1970 !

 

Coignard – Immigration et terrorisme : débat impossible et nécessaire

CHRONIQUE. Refuser d’analyser le lien entre ces deux phénomènes revient à offrir un monopole de la parole à l’extrême droite. Une dérobade irresponsable.

Et ne s'améliorera pas à cause de bien pensants donneurs de leçons hypocrites partisans du politiquement correct !

 

Hier lundi, l'hommage émouvant rendu à Stéphanie M., la fonctionnaire de police assassinée par un islamiste à Rambouillet, n'a pas fait taire la polémique. Le parcours du meurtrier, Jamel Gorchene, immigré illégal pendant dix ans avant de bénéficier, en 2019, d'un titre de séjour exceptionnel, relance le débat sur le lien entre immigration et terrorisme islamiste. Marine Le Pen et l'extrême droite ont longtemps eu le monopole du discours sur ce sujet, à grands coups de « y a qu'à » et de « faut qu'on ».

De peur d'être accusé de pratiquer un amalgame démagogique, le reste de la classe politique se bouchait le nez et se cousait la bouche. Cette période est révolue. La présidente d'Île-de-France, Valérie Pécresse, que l'on peut difficilement taxer d'extrémisme, a évoqué sans détour le lien entre immigration et terrorisme ce dimanche sur Europe 1.

Attaque de Rambouillet : Stéphanie M., une héroïne du quotidien

Du côté du gouvernement, les éléments de langage sont calibrés. Son porte-parole, Gabriel Attal, admet finalement qu'« une part du terrorisme peut être liée à l'immigration » mais refuse de « tirer un trait » entre les deux. Bruno Le Maire reconnaît que les attentats les plus récents « ont été perpétrés par des personnes immigrées », mais ajoute que, « pour autant, il serait injuste et faux d'établir une équivalence entre immigration et terrorisme ».

Des faits et des statistiques

Ce qui ravive la polémique, c'est que les quatre derniers attentats islamistes commis en France l'ont été par des étrangers. Avant l'horrible assassinat de Rambouillet, un Pakistanais de 25 ans, en France depuis trois ans, avait blessé deux personnes à coups de hachoir, fin septembre 2020, devant les anciens locaux de Charlie Hebdo pour « venger le prophète ». Le 16 octobre, un Tchétchène de 18 ans, dont les parents avaient bénéficié de l'asile politique, assassinait Samuel Paty à Conflans-Sainte-Honorine. Treize jours plus tard, un Tunisien de 21 ans, présent dans nos frontières depuis moins de quarante-huit heures, exécutait trois personnes à Nice.

Pour remettre en perspective cette accumulation, l'ancien ministre et coordinateur du renseignement Laurent Nuñez expliquait ce lundi au micro de France Inter que, depuis 2015, 80 % des auteurs d'attentats terroristes sur le territoire national sont des ressortissants français. Cette statistique ne suffira toutefois pas à clore le débat.

Gilles Kepel : « Le Facebook du tueur de Rambouillet traduit bien son parcours »

Emmanuel Macron le sait, puisqu'il disait déjà en novembre dernier : « Je pense qu'il est faux de dire que le problème du terrorisme est réductible au problème de l'immigration. Mais nous serions inefficaces à dire qu'il n'y a pas une part du terrorisme qui peut être liée à une forme d'immigration. » Cette formulation prudente est aujourd'hui dépassée. L'exécutif doit non seulement fournir des éléments chiffrés et un diagnostic clair, mais aussi proposer des solutions concrètes pour que les frontières ne soient pas considérées comme des passoires et les régularisations d'immigrés illégaux, comme de simples formalités. Il y va de sa crédibilité.

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Maintenant depuis plus de quinze ans, il s’est greffé à ce problème le terrorisme islamique jusqu’à aujourd’hui et qui est lié à une religion à réminiscence extrémiste avec ces dogmes extrémistes, puisque que les auteurs sont d’origine d’autres pays ou issu des guerres moyen orientales qui ont fait les guerres pas éteintes totalement  notamment avec l’émergence de cet état islamique  en 2013 se recommandant de cette religion de son prophète et ses dogmes obscurantistes moyenâgeux  et aussi des français convertis à cette religion, voire radicalisés que l’on connait maintenant trop en France et qui s’implante dans notre pays malgré notre culture ancestrale judéo chrétienne !

Il ne faut plus accepter cette immigration galopante ciblée régulière et surtout irrégulière avec beaucoup plus d’extrême rigueur !

Les derniers attentats que l’on a subi dans notre pays sont tous liés à des illuminés dangereux qui frappent à l’aveugle, car détestant ceux qui ne croient pas à leurs dogmes moyenâgeux, alors il ne faut plus en laisser entrer d’autres le trop c’est trop !

On en a déjà accepté trop qui profite de notre république française laïque avec ses avantages, mais qu’il faut gérer (En 2019, l'Observatoire de la laïcité estime le nombre de musulmans en France à 4,1 millions (soit environ 6 % de la population totale) et nous devons être d’une extrême fermeté en cas de dérapages dû à des problèmes religieux d’un autre âge !

C’est une simple question de sécurité pour tous les français, il faut cesser de pleurer après chaque drame et agir pour que cela cesse, sans chercher de circonstances atténuantes et créer de nouvelles lois qu’ils ne respectent pas à ces criminels lâches et ne pas accorder la nationalité française qui se mérite trop facilement !

Mais là ce n’est plus de la politique, mais de la religion alors c’est insupportable !

jdeclef  27/4/2021 17h43

Comme, si c'était nouveau dans cette ville de TRAPPES ou d'autres bien Connues listées de non droit ou les incidents divers d'insécurités avérées depuis des décennies !?

 

À Trappes, le commissariat à nouveau ciblé par des tirs de mortier d’artifice

Une quinzaine de projectiles auraient été lancés contre le bâtiment, relate « Le Parisien ». L’incident n’aurait pas fait de blessés.

 

Nouvelle soirée agitée à Trappes, dans les Yvelines. Le commissariat de la commune francilienne a été visé par une quinzaine de tirs de mortier d'artifice dans la nuit du lundi au mardi 27 avril 2021, comme le rapportent ce mardi nos confrères du Parisien, qui citent des sources policières. Fort heureusement, aucun blessé ne serait à déplorer et la façade du bâtiment serait indemne. Les villes de Maurepas et Plaisir, également sises dans les Yvelines, auraient également été le théâtre d'affrontements nocturnes.

Ce n'est pas la première fois que l'hôtel de police, situé place des Merisiers, en plein centre de Trappes, fait les frais de violences urbaines. Le quotidien régional rappelle en effet que le bâtiment a déjà été visé il y a à peine quatre jours par près de quarante individus.

Les violences urbaines se multiplient

Tourcoing, Grenoble, Bourgoin-Jallieu, Évreux, Blois… Les faits de violences urbaines, avec leurs lots de tirs de mortier d'artifice et de feux de poubelles, tendent à se multiplier ces derniers mois. Si bien que la classe politique s'est emparée du sujet. La loi sur la « sécurité globale préservant les libertés », votée définitivement par le Parlement le 14 avril, prévoit notamment de sanctionner pénalement l'achat, la détention, l'utilisation et la vente d'articles pyrotechniques à d'autres personnes que des professionnels.

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L'état régalien « oh le beau mot régalien » que certains utilisent à tout va, vide de sens, car creux !

Car rien n'a changé depuis les derniers quinquennats et même avant, car en fait cela fait 40 ans que cela se dégrade !?

Et donc cela va empirer touchant même de petites villes calmes avant gangrenées par ces voyoucraties et délinquances diverses teintes de violences inqualifiables !

Etant donné nos dirigeants de tous bords qui laissent pourrir de tels lieux de plus en plus nombreux jusqu’en de moyennes et petites villes de province,  car nos beaux messieurs enfermés dans leurs pleutrerie et bien pensante hypocrite bien qu’ayant un pouvoir comme cette justice laxiste et ce code pénal inadapté mais  qu’ils n’utilisent pas ou mal car ont peur de faire avec rigueur le ménage et de botter le cul à ces trublions vandales qui ne respectent plus rien vivants en plus de trafics divers et réglant leurs comptes à coups d’armes divers !

Notre pays prend le chemin de deux sociétés, celle des bienpensant nantis protégés dans leurs tours d’ivoire ou zones protégées et les gueux qui veulent faire leurs lois trafics violences dans les quartiers de leurs villes qu’ils s’approprient !

Avec « la cerise sur le gâteau empoisonné » une couche de terrorisme islamique qui n’a jamais disparu comme on l’a vu dernièrement et on s’étonne !?

Mais tout va bien, il y a E.MACRON, notre pseudo monarque sans couronne mais qui commence a ce faire du soucis pour sa réélection, car le sentiment d’insécurité devient une réalité, mais comme il a déjà tout raté, cela ne peut changer, il serait temps d’ouvrir les yeux, car il n’y a pas que la Covid qui soit un des problèmes de la France avec le printemps et l’été qui arrive car tous ces trublions dangereux se défouleront !

Jdeclef 27/04/2021 15h01


lundi 26 avril 2021

MACRON pour être réélu promettrait tout et son contraire en fonction de la versatilité des français gogos qui s'y laisseront prendre !?


 

Michel Richard – Quand Macron se met à trahir Macron

CHRONIQUE. Sur un sujet sécuritaire, le président renie sa singularité et bafoue sa parole. Le mauvais prix d’un mauvais calcul électoral.

 

Pour autant qu'on le sache, mais à croire ce qu'il dit vouloir être, le macronisme est une approche des réalités ouverte, sans œillères, ni tabou, ni déni. Un regard débarrassé de tout préjugé d'où découlent des solutions pragmatiques, éventuellement novatrices.

À cette aune, Emmanuel Macron vient de bafouer le macronisme de spectaculaire façon. Ce qu'il dit dans Le Figaro du 19 avril de sa politique contre la drogue est à l'exact opposé de ce qu'il préconise comme mode de gouvernement.

Le président ne nie certes pas que la France a un grave problème : « La France est devenue un pays de consommation. » Mais il en tire une drôle de leçon : « Il faut briser ce tabou, lancer un grand débat national sur la consommation de drogue et ses effets délétères. » On ne savait pas que le 1er rang européen de la France dans la consommation de drogue était un tabou ayant besoin d'un débat national pour être levé, ni on ignorait que la drogue avait des effets délétères.

Résultats accablants

Ce qui mériterait un grand débat national, en revanche, c'est comment lutter contre la drogue et ses trafiquants de manière efficace, c'est s'interroger sur les résultats de la politique de prohibition menée en France depuis 1970 avec les résultats accablants que le président reconnaît.

Or, ce débat-là, Macron lui ferme la porte au nez. Il ne jure que par la répression, la traque policière, le harcèlement des trafiquants et des dealers, la poursuite, autrement dit la politique qui a obstinément échoué.

Il ne veut rien entendre d'autre. Ni le travail de parlementaires de tous bords, LR inclus, qui n'excluent pas la légalisation du cannabis ni les prises de position d'un nombre croissant d'élus, de policiers, de médecins qui ne se résignent pas aux dégâts économiques, sécuritaires et sanitaires que perpétue une prohibition impuissante.

Pire, tous ceux-là, le président les expédie d'une même chiquenaude désinvolte : « À l'inverse de ceux qui prônent la dépénalisation, je pense que les stups ont besoin d'un coup de frein, pas d'un coup de publicité. » En effet, mais pas non plus d'un coup de com présidentielle, aurait-on envie d'ajouter. Et il poursuit : « Dire que le haschisch est innocent est plus qu'un mensonge. » Mais qui dit cela ? Faire passer les partisans de la légalisation pour les meilleurs amis de la drogue et les zélateurs de ses bienfaits, ce n'est pas honnête quand, au contraire, par réalisme et non par plaisir, ils ne souhaitent ainsi qu'assécher le trafic, amplifier la prévention auprès de publics jeunes et contrôler la qualité des produits alors que le marché est inondé de substances frelatées et toxiques.

Gaspard Koenig sur la route du cannabis

Objectif faussement ambitieux

Comme ses prédécesseurs et comme tous les ministres de l'Intérieur, Emmanuel Macron joue de rodomontades dans cette lutte pour éradiquer « par tous les moyens » les trafics. À preuve, sa comptabilité apparemment implacable : « Sur les 4 000 points de deal répertoriés récemment, plus de 1 000 opérations coup de poing ont été réalisées ces dernières semaines. Et, chaque jour, nous fermons un point de deal », se vante-t-il. Diable ! Et il faudrait croire que ça marche ? Que ce qui n'a jamais marché se met à marcher sur injonction présidentielle et coup de sifflet policier, qu'aucun point de deal fermé un jour n'ouvrira le lendemain ou quelques mètres plus loin quand la police aura le dos tourné ? Qu'un petit commerce à 50 000 euros par jour de recette comme il en existe baissera, sans résistance, le rideau ?

Sans parler de l'objectif faussement ambitieux fixé par le président : car, s'il y a 4 000 points de deal, et à raison d'une fermeture par jour, il faudra attendre près de 11 ans avant que le dernier ne soit fermé. Les trafiquants ont le temps de voir venir, y compris les successeurs de Macron.

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Et il a raison, car malgré son quinquennat déplorable, il s'enferre dans ses certitudes quitte à changer d'attitude, si cela devenait nécessaire d’ci 2022 !

Ce n'est un petit bonhomme politicien se prenant pour un monarque sans couronne à qui on a donné trop de pouvoir !

Défaut inhérent à nos présidents passés surtout ceux des derniers quinquennats !

Mais le pire étant que c’est les français eux-mêmes qui les élisent et doivent subirent leurs incompétences et égos démesurés !

Le reste étant du verbiage de mauvaises politiques politiciennes basiques et nos partis médiocres qui vont avec que l’on traine depuis plus de trente ans !

Et les français qui n’arrivent pas à changer cela depuis des décennies, car incurables ce qui fait le bonheur de notre classe politique de tous bords !

Ce qui souligne la faiblesse des français lambda gogo qui avalent tout et ne peuvent rien changer malgré leurs protestations qui s’évaporent, car ce sont des assistés incapables de se prendre en charge ou le dernier qui a parlé plus fort que les autres fait ce qu’il veut, (on n’est pas en démocrature) mais en ersatz de fausse démocratie qui ne sert qu’à nos dirigeants aux pouvoir) !

Car les français ne préfèrent qu’une seule chose « le chacun pour soi » (d’ailleurs la pandémie inégalitaire à souligné indirectement ce défaut avec par exemple la vaccination ?)

Alors Mr MACRON fait sa propagande électorale en toute logique, il n’a rien à perdre avec ces français, si facile à manœuvrer, malgré ses erreurs que l’on ne compte plus en fait en France, il suffit d’être élu, c’est ça, le plus dur, après tout va bien pendant 5 ans, voir plus les français (enfin ceux qui votent si mal, n’ont que ce qu’ils méritent) il ne faut pas venir râler après....

Jdeclef 26/04/2021 13h29

C'est évident, des lois qui s'empilent, pas assez sévères et une justice laxiste et un code pénal inadapté depuis des décennies dans notre pays de donneurs de leçons !

 

Rambouillet : « On oublie très vite désormais les attentats de ce type »

Selon Jérôme Fourquet, auteur de « L’Archipel français », il y a une « colère rentrée » chez les Français, qui apprennent à vivre avec le terrorisme islamiste.

 

Directeur du département opinion de l'Ifop, Jérôme Fourquet est l'auteur de L'Archipel français (éditions du Seuil), le livre qu'il faut lire pour comprendre les fractures françaises. À un an de la prochaine élection présidentielle, le politologue analyse pour Le Point l'état de l'opinion dans notre pays. L'attentat islamiste de Rambouillet, dans les Yvelines, qui a causé la mort d'une femme fonctionnaire de police a suscité moins d'émotion que celle du professeur Samuel Paty il y a six mois. Les Français s'habitueraient-ils au terrorisme ? Comment la police est-elle perçue ? Cet événement peut-il influencer les prochaines échéances électorales ? Quels effets ces six années d'attentats ont-elles eus sur la psychologie du pays ? Entretien.

Le Point : L'attentat visant la policière de Rambouillet, qui s'inscrit dans une longue liste d'actes islamistes, peut-il avoir un écho particulier dans l'opinion ?

Jérôme Fourquet : Cet acte est d'autant plus marquant qu'il vise une femme, mère de famille, exerçant un métier administratif (ce qui explique pourquoi elle n'était pas armée). Elle s'appelait Stéphanie, prénom très commun, ce qui fait que beaucoup de nos concitoyens peuvent s'identifier à elle. Le mode opératoire de l'assassin, une attaque au couteau, ajoute à l'effroi.

Plus globalement, la tragédie de Rambouillet s'insère dans une double série d'événements visant les forces de l'ordre qui témoignent d'un déferlement de la violence dans le pays.

Il y a tout d'abord la litanie macabre des attentats islamistes : 17 attentats visant les forces de l'ordre depuis Mohammed Merah en 2012. On se souvient de ce couple de policiers tué à son domicile à Magnanville, ville des Yvelines située à 50 kilomètres de Rambouillet. Un policier fut abattu sur les Champs-Élysées durant la précédente présidentielle ; on peut aussi citer la policière de Montrouge tuée par Coulibaly ou bien encore, en octobre 2019, l'attaque de la préfecture de police à Paris.

Mais, ces dernières années, les forces de l'ordre n'ont pas seulement été visées par le terrorisme. Elles sont également attaquées en permanence par des voyous, qui n'ont plus peur d'aller « au contact ». Les Français assistent à la « désanctuarisation » de leurs policiers censés les protéger. Dans une cité de Villetaneuse, on a placardé des portraits de policiers d'Épinay avec le message suivant : « Dernier avertissement ! »

La mort d'une fonctionnaire de police peut-elle avoir le même effet sur l'opinion que celle d'un professeur de collège ?

Selon la dernière étude que nous avons réalisée à l'Ifop, plus des deux tiers des Français éprouvent de la sympathie pour la police et lui font confiance. Ils se sentent majoritairement solidaires de leurs policiers. Néanmoins, une part de la population va considérer que cela fait partie des « risques du métier » et il n'y aura probablement pas la même mobilisation que pour Samuel Paty. Cela n'enlève rien à l'émotion, mais l'impact dans l'opinion sera sans doute moins fort.

La figure du « radicalisé » a rejoint celle du rôdeur violant une joggeuse isolée ou du pédophile enlevant un enfant.

Quelques heures à peine après les faits, l'attentat de Rambouillet ne faisait plus l'ouverture des journaux sur certaines radios publiques… Le terrorisme islamiste se banaliserait-il ?

À l'Ifop, nous avons créé un baromètre mesurant les sentiments des Français vis-à-vis du terrorisme islamiste. Depuis l'été 2017, nous avons observé une décrue de la menace terroriste dans la perception des Français. Ils ont appris à vivre avec cette menace de la même manière qu'ils s'habituent à vivre avec le Covid. Nous assistons à une «  faitdiversation » du terrorisme islamiste. Celui-ci se banalise. Dans l'inconscient collectif, un attentat comme celui de Rambouillet, commis à l'arme blanche, faisant une seule victime, s'apparente désormais presque à un meurtre sordide. La figure du « radicalisé » a rejoint celle du rôdeur violant une joggeuse isolée ou du pédophile enlevant un enfant. On oublie très vite désormais les attentats de ce type. Comme si le corps social s'était mithridatisé à force d'être confronté à ces actes depuis plusieurs années. Le fait que ces attentats soient perpétrés par des individus solitaires et non plus par des commandos organisés renforce ce sentiment de fatalité. On n'est pas à l'abri d'une mauvaise rencontre, se dit-on…

Est-ce la peur qui explique cette attitude ?

Cette attitude peut être analysée de différentes manières. Certains y verront une apathie collective. D'autres, au contraire, souligneront la maturité civique du peuple français, qui ne panique pas. Nous n'avons pas assisté à des actes de représailles à la suite de tous ces attentats. Quelques mosquées ont été taguées ou attaquées, mais on n'a pas vu de milices d'autodéfense se constituer. Je crois qu'il y a une colère rentrée chez les Français. Pour le moment, le corps social tient et encaisse en serrant les dents.

Dans la géographie des attentats islamistes, que représente la ville de Rambouillet ?

Tout d'abord, le fait qu'un attentat islamiste puisse se produire dans cette petite ville cossue et paisible à 60 kilomètres de Paris renforce cette impression de «  faitdiversation » du terrorisme. Cela peut arriver n'importe où ! Et pas seulement dans le cœur des grandes métropoles, dans les banlieues difficiles ou dans les sites touristiques mondialement connus comme la promenade des Anglais ou le marché de Noël de Strasbourg, qui avaient été frappés. C'est la France de Houellebecq qui est touchée désormais par le terrorisme islamiste. Le lotissement pavillonnaire de Magnanville, la zone logistique de Saint-Quentin-Fallavier, le Super U de Trèbes, l'église de Saint-Étienne-du-Rouvray, le collège de Samuel Paty constituent un kaléidoscope de la France moyenne contemporaine, celle dans laquelle vit une majorité de nos concitoyens… Cela renforce l'inquiétude et l'effroi des Français.

. La France, le grand bouleversement

Le dernier attentat, dans la basilique Notre-Dame-De L'Assomption-de-Nice, remonte à six mois… La menace n'était-elle pas sortie des radars de l'opinion ?

Auparavant, moins de trois mois s'écoulaient environ entre chaque attentat. Le fait que six mois nous séparent de la dernière attaque avait sans doute contribué à faire un peu baisser le sentiment de menace. Pour autant, les Français, du fait du nombre élevé d'attaques déjà subies, ont plus ou moins consciemment intégré des repères chronologiques et calendaires. Beaucoup d'attentats ont été perpétrés un vendredi, comme celui de Rambouillet : Samuel Paty, le deuxième attentat de Charlie, les attentats du 13 novembre 2015, l'attaque de Trèbes… Les Français savent désormais que ce jour-là, jour de la grande prière, il y a un risque plus élevé d'attentat. Surtout si c'est en période de ramadan, comme nous le sommes aujourd'hui.

Le samedi soir est, lui, désormais associé dans l'imaginaire collectif aux attaques de mortier contre les forces de l'ordre qui se produisent chaque semaine dans un ou plusieurs quartiers de France. Et les vacances scolaires, on le sait aussi, sont propices aux violences urbaines, tout comme le sont la nuit de la Saint-Sylvestre et, depuis plusieurs années, celle d'Halloween ou bien encore les soirs de matchs de l'équipe de football d'Algérie. Tous ces repères sont désormais inscrits dans le paysage mental des Français et dans le calendrier du ministère de l'Intérieur, qui diffuse pour l'occasion des consignes de vigilance particulière à ses troupes. C'est la triste réalité.

À Rambouillet, l'émotion après l'horreur

Face aux attentats, y a-t-il un réflexe légitimiste ?

Ce temps-là est révolu. Le ralliement au drapeau, c'est terminé. François Hollande fut probablement le dernier à en bénéficier après les attentats de Charlie Hebdo et du Bataclan. Désormais, les critiques contre l'exécutif fusent immédiatement après une attaque. Macron et son équipe, de surcroît, souffrent depuis le début du quinquennat d'une défiance sur les sujets régaliens, défiance qui s'est accentuée ces derniers mois. Les jours précédant l'attentat de Rambouillet, le président avait certes durci son discours, mais les Français ont en tête d'autres phrases de lui, notamment sur les violences policières ou les attentats de 2015, qui nourrissent l'idée d'une insuffisante fermeté.

L'itinéraire du terroriste de Rambouillet pose de nouveau la question du contrôle de l'immigration…

Pour résumer son itinéraire, on peut dire qu'il est entré clandestinement en France sous Sarkozy, qu'il n'a pas été expulsé sous Hollande et qu'il a été régularisé sous Macron. Les parcours des terroristes de Nice, de Conflans-Sainte-Honorine, de la seconde attaque contre les anciens locaux de Charlie ou bien de l'agresseur du photographe de L'Union à Reims posent également la question du contrôle de l'immigration. Les Français se demandent s'il y a une volonté réelle de leurs dirigeants de surveiller les frontières et de maîtriser l'accès au territoire national. Ou bien si on a décidé de baisser les bras, comme dans le cas du variant brésilien du Covid, où l'on met plusieurs jours à interrompre les vols depuis le Brésil sous prétexte que « on ne peut rien faire ». Les Français sont inquiets car ils savent que de nombreux profils comme celui de ces terroristes circulent en liberté sur leur territoire. « Que peut-on faire concrètement ? » se demandent-ils. Cette question leur importe davantage que celle qui consiste à se demander si cela fait le jeu ou non de Marine Le Pen.

Le débat, à gauche, n’est plus entre collectivistes et réformistes, mais entre « islamo-gauchistes » ou « islamo-naïfs » et républicains.

Quel est l'effet des attaques terroristes sur le vote Le Pen ?

La colère rentrée des Français s'exprime en partie dans les urnes. Les dernières élections régionales se sont déroulées juste après les attentats du 13 novembre. Nous avions évalué à trois points l'impact de ces événements sur le vote lepéniste. Je ne pense pas que l'attentat de Rambouillet puisse être un point de bascule ou « la goutte d'eau qui va faire déborder le vase ». Mais celui-ci va probablement conforter et consolider la solide assise du RN. Les effets de ces événements continueront à se faire sentir souterrainement. Ils ont déjà provoqué un déplacement vers la droite du centre de gravité des débats politiques sur les sujets régaliens. Même à gauche. De ce point de vue, la mort de Samuel Paty a constitué un tournant. C'est comme si un membre de la grande famille de gauche était mort. Il y a du sang sur la table. Le débat, à gauche, n'est plus entre collectivistes et réformistes, mais entre « islamo-gauchistes » ou « islamo-naïfs » et républicains. Et le débat est d'une violence inouïe.

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Que l'on fait semblant de modifier à la base pour calmer le peuple choqué par de tels agissements criminels !

En France il faut qualifier au plus haut dans l’échelle des crimes divers par ce type d’attentat ou actes criminels et les sanctionner avec une extrême sévérité par une justice d’exception car ces criminels illuminés n’ont aucun respect de la simple vie humaine et ce depuis 20 ans !

Alors bien sûr ils ont évolués, ils ont changé de méthode, ils frappent à l’aveugle souvent seul donc moins détectables et puis une pauvre victime qui était là au mauvais endroit au mauvais moment !

 Ce qui a mis une famille dans le malheur (cela touche moins que les 100000 victimes du covid...) et puis on l’oubliera comme d’habitude cette pauvre femme et ses enfants comme pour un simple accident de la route par exemple...

Et on laissera passer le temps comme d’habitude et ce type de crimes recommencera car on se pose bien plus de questions sur les criminels que sur les victimes qui on eut le malheur de croiser leur route !

Il est impératif que tout ce qui touche à ce terrorisme islamique et ses dérivés soit décrété cause nationale prioritaire (comme cette insécurité exponentielle ou tout le monde veut faire sa loi !

Et soit sanctionné par des lourdes peines exemplaires en mettant dans la tête de ses criminels, la même peur qu’ils essaient de distiller en France (sous soi-disant prétexte de religions obscurantistes moyenâgeuses !)

Car le reste de la part de nos dirigeants et politiciens de tous bords depuis 40 ans n’est que des discours qui ne sont que du politiquement correct et qui s’écoutent parler pour ne rien dire en larmoyant sur les victimes !

Nos politiciens eux ne font que de la mauvaise politique et rien d’autre en ne servant à rien ces pleutres élus par nous, il faut impérativement que cela change dans notre Veme république usée obsolète, car tout va mal dans tous les domaines et notamment dans notre justice médiocre !

Jdeclef 26/04/2021 10h51LP


dimanche 25 avril 2021

Si notre justice ne veut pas être d'exception et ne veut pas être qualifiée D'extrême pour le fait de terrorisme islamique ou à consonance de ceux-ci quelque ils soient !? (Un honte de plus pour nos dirigeants ...)

 

(Quand on voit sa photo on lui aurait donné le bon dieu sans confession à ce personnage illuminé...)

Kepel : « La page Facebook du tueur traduit bien son parcours »

ENTRETIEN. Le profil de Jamel Gorchene est inquiétant, comme le démontre le spécialiste de l’islam Gilles Kepel, qui a pu étudier son compte Facebook.

 

Dans son dernier livre paru en février, Le Prophète et la Pandémie (éd. Gallimard), l'éminent spécialiste de l'islam Gilles Kepel analysait l'année 2020 dans les zones méditerranéennes et du Moyen-Orient sur le plan géopolitique. Il évoquait, bien sûr, cette Tunisie d'où est originaire le meurtrier qui a tué une policière à Rambouillet le vendredi 23 avril, avant d'être neutralisé par la police. L'occasion de revenir sur l'expérience démocratique vécue par ce pays – la seule au cours du Printemps arabe – qui traverse actuellement de graves difficultés. Mais aussi sur les filières de clandestins qui remontent depuis Lampedusa, les Pouilles, jusqu'à Vintimille et la France… Mais le profil de Jamel Gorchene est bien différent de celui de Brahim Issaoui, l'assassin de la basilique de Nice, comme le révèle au Point Gilles Kepel qui a eu le temps de dépouiller et d'analyser son très riche compte Facebook avant qu'il ne soit supprimé. Une analyse détaillée qui traduit un profil nouveau dans la galerie des tueurs qui crient « Allah akbar ».

Le Point : Si l'on analyse le mode opératoire du Tunisien Jamel Gorchene à Rambouillet, quelles comparaisons établiriez-vous avec les précédents attentats ?

Gilles Kepel : On commence à s'inscrire dans une triste tradition, celle de l'attaque contre un commissariat ou des fonctionnaires de police. Comme à Joué-lès-Tours en décembre 2014, comme à Magnanville en juin 2016, comme Mickaël Harpon en octobre 2019 à l'intérieur de la préfecture de police. Mais c'est le calendrier qui frappe. Jamel Gorchene a agi le vendredi, au onzième jour du ramadan. On sait que toute action brutale qui vise à donner la mort à des ennemis d'Allah entraîne une rétribution supplémentaire dans l'au-delà pour le chahid (martyr), si elle est commise durant cette période. Les mois de ramadan, lors de la guerre civile en Algérie entre 1992 et 1997, ont toujours correspondu aux moments les plus sanglants. Mais c'est aussi le vendredi qui suit le dixième jour, qui est particulier, puisqu'il marque, dans l'histoire sainte, le début de la reconquête de La Mecque lancée par le Prophète depuis Médine. Ce que les Israéliens nomment la guerre du Kippour, déclenchée par les Égyptiens et les Syriens en 1973, est appelée par les musulmans, la guerre du Ramadan. Ce nom de « 10 de Ramadan » a même été donné à une ville-satellite du Caire. On retrouvait cette surdétermination du calendrier lors de l'attentat dans la basilique de Nice où le Tunisien Brahim Issaoui a frappé le jour du Mouloud, l'anniversaire du Prophète, qui tombait le 29 octobre cette année-là.

Le ramadan l'an dernier, en plein premier confinement, avait pourtant été très calme…

Les craintes de trouble avaient été grandes, mais il semble que la peur ait prédominé. Dans les mosquées salafistes, on interprétait la pandémie comme une punition divine, un fléau, dont seule la prière pouvait sauver. Par ailleurs, les décès pour raisons sanitaires et la désorganisation ont probablement joué un rôle dans cette faible incidence de la violence.

« L'attentat de Rambouillet concerne la France et la Tunisie »

Comment analyseriez-vous le profil et l'itinéraire de ce Tunisien ?

Sa page Facebook traduit bien son parcours. Arrivé illégalement en 2009, il suit d'abord avec intérêt le Printemps arabe dans son pays, où il soutient le Parti islamiste conservateur Ennahdha qui l'emporte en 2011. En 2013, il relaie une vidéo d'opérations du front al-Nosra d'idéologie djihadiste en Syrie, avant de basculer plus récemment vers le parti Al Karama, le plus radical des partis islamistes. Karama est un parti représenté au Parlement, qui revendique la charia, mais n'incite pas à commettre des actes terroristes. À la différence du jeune Tchétchène Anzorov [l'assassin de Samuel Paty, NDLR], entraîné à tuer, socialisé dans un milieu ultraviolent qui prône le passage à l'acte, Gorchene ne fait qu'une référence passagère au djihadisme, au moment où celui-ci est « à la mode » contre le régime d'Assad. Mais il ne relaie rien de Daech. Sa représentation du monde passe par un islam politique. Assez tôt après son arrivée dans l'Hexagone, il est venu au Louvre pour se faire photographier devant des mannequins figurant des combattants musulmans en casque et cotte de mailles, cimeterre en main, ou bien au département des Antiquités égyptiennes devant des momies de pharaons. Le pharaon, mortel « arrogant » (moustakbir) qui se prend pour Dieu, est le symbole du mauvais gouvernant impie.

Jamel Gorchene est relativement bien intégré dans la société française. Il a obtenu une autorisation exceptionnelle de séjour salarié. Retrouve-t-on des échos de la politique française chez lui ?

Il a été régularisé au bout de dix ans en effet, ce qui ne manquera pas d'être débattu. Mais pour répondre à votre question, oui, et c'est la singularité de cet individu, qui a une vision hybride du monde. Un islam politique qui fait référence en 2013 au djihadisme, avant Daech, lorsque les jeunes qui partaient d'Europe se battre contre Assad bénéficiaient de la mansuétude des autorités. En revanche, il partageait souvent des captures d'écran concernant l'islamo-gauchisme français. Que ce soit sa mouvance islamiste, avec des citations ou des retweets d'Idriss Sihamedi, le patron de Barakacity, l'ONG musulmane récemment dissoute par le ministère de l'Intérieur, ou de Marwan Muhammad, l'ancien chef du CCIF (Collectif contre l'islamophobie en France) également dissous, ainsi que de Tarik Ramadan. Mais il se fait également le relais du gauchisme philo-islamiste, sans commenter, car il ne semble pas en avoir les moyens intellectuels. Il partage largement les posts Facebook de Jean-Luc Mélenchon ainsi que les images de la grande manif contre l'islamophobie de novembre 2019. Il est dans la défense victimaire de l'islam harcelé. Erdogan, nouvelle figure de commandeur des croyants pourfendeur d'Emmanuel Macron, est aussi présent, ainsi que des prédicateurs égyptiens et tunisiens rigoristes.

 

Avez-vous pu étudier les divers changements de ses photos de profil Facebook ?

La dernière image en date est une image neutre reproduisant le verset du Trône (Ayât al koursi) appelant à la protection divine. De nombreuses personnes croyantes le portent en pendentif, il sert d'amulette en quelque sorte. Derrière se devine la photo de ses parents partant en pèlerinage à la Mecque. Son profil précédent est très intéressant aussi : autour d'un cercle comprenant sa photo, il affiche un commandement en arabe qui signifie « Tout sauf l'Envoyé d'Allah » (Illa Rassoul Allah). C'est-à-dire : le Prophète Mahomet est intouchable. Cette phrase avait été mise en ligne au moment du procès des attentats contre Charlie Hebdo à l'automne 2020, pour signifier l'opposition absolue à tout blasphème. À partir du 17 avril, six jours avant de passer à l'acte, il cesse de publier, comme Anzarov, peut-être pour ne pas se faire repérer. Ce qui laisserait supposer que l'acte a été prémédité depuis plusieurs jours. Entre le 13 avril, début du ramadan, dont il fait état en affichant la date fixée par le recteur de la Mosquée de Paris, et le 17, il publie quotidiennement des sourates de piété, ce qui dénote une exacerbation, une recherche accrue de rémission des péchés, une montée en intensité de la foi.

Ce type de profil correspond donc bien à ce que vous avez appelé dans votre dernier livre, Le Prophète et la Pandémie, le djihadisme d'atmosphère…

En effet. Il ne se réfère pas à des messages djihadistes comme Anzarov, l'assassin de Samuel Paty. Il n'agit pas comme le Pakistanais un peu paumé qui a voulu tuer avec une feuille de boucher des membres de la rédaction de Charlie Hebdo pendant le procès, en réaction à des vidéos pakistanaises de protestation vues sur son smartphone, pour finalement se tromper de cible. Jamel Gorchene baigne à la fois dans un islam politique et une admiration pour les principaux représentants en France de l'islamo-gauchisme. Dans ce djihadisme d'atmosphère, le passage à l'acte est l'aboutissement d'un processus long et intense qui mène à une forme de séparatisme. Mais on n'a pas, à ce stade, les clefs qui expliquent le basculement. C'est très préoccupant, car ce genre d'individus, il en existe des milliers en France. On avait commencé à découvrir ce profil avec Mickaël Harpon, informaticien à la préfecture de police qui avait tué ses collègues le 3 octobre 2019. Comme ce dernier, il est socialement plutôt inséré dans les plis de la société.

« L'attentat de Rambouillet concerne la France et la Tunisie »

Qu'il soit tunisien, comme le meurtrier de Nice, est-il le signe que la Tunisie est un vivier de terroristes ?

Bien sûr que non, c'est même le seul pays où le Printemps arabe a abouti à la mise en place d'institutions démocratiques ! Mais il faut rappeler que la Tunisie a fourni un contingent important à Daech (près de 6 000 hommes), qu'elle fut le premier pays dont les geôles ont été ouvertes, dès janvier 2012, après la chute de Ben Ali. Nombre de ces anciens prisonniers sont arrivés en France, notamment dans les Alpes-Maritimes. Nice est une ville majoritairement « tunisienne  » dans son immigration. D'ailleurs, on peut assez facilement répartir les présences des ressortissants du Maghreb en France en procédant à une projection Mercator par-delà la Méditerranée. À l'extrême sud-est de la France, on trouve une majorité de Tunisiens. Dans les Bouches-du-Rhône, au centre, essentiellement des Algériens. Dans le Sud-Ouest, au-delà d'une ligne constituée par le petit Rhône, des Marocains, que l'on retrouve de Montpellier à Bordeaux en passant par Toulouse. Il est frappant de voir que Gorchene, qui porte un nom berbère, est originaire de M'saken, près de Sousse, sur le littoral, comme Mohammed Lahouaiej Bouhlel, le tueur de la promenade des Anglais le 14 juillet 2016. M'saken est la capitale de la contrebande des pièces détachées qui arrivent de la vallée du Var. On compte aussi de nombreux trafiquants dans ce milieu-là. Certains imams de cette ville préconisent un islam politique qui doit servir aux futurs émigrants à se séparer culturellement et mentalement de la société française.

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Cela continuera il faut que ces individus illuminés ou autres par n'importe quelle idéologie religieuse dont ils se recommandent soient sanctionnés avec une extrême séverité !

Bien plus qu’elle n’est actuellement avec de très longues peines incompressives, ni  remises de peines  !

En oubliant pas ceux que l'on accueille entrés irrégulièrement dans notre pays que l’on régularise des années après que l’on oublie et qui commettent de tels actes imprévisibles lâches !

Ces individus n’aiment pas la France, ni les français malgré qu’ils vivent parmi eux profitant des bienfaits de notre république !

Il faut établir une tolérance zéro et revoir drastiquement le code pénal en matière de terrorisme islamique et si nos bienpensants donneurs de leçons hypocrites qui nous gouvernent ne sont pas capables de mettre cela en place avec rigueur, ils ne méritent pas les postes d’élus qu’ils occupent jusqu’au plus haut de l’état, car depuis des décennies que nous subissons ces attentats, ils ne font que discourir et s’écouter parler !

Une fois de plus, le trop c’est trop il faut savoir appeler « un chat un chat », car cela va continuer, la preuve étant ces crimes lâches qui sont toujours là et perdurent, depuis des décennies, et en fait en matière de justice qui devrait faire peur à ces criminels, mais qui en fait par sa lenteur et inefficacité et que l’on passe à autre chose, après quand le mal est fait, car on n’agit pas assez vite pour mettre la peur dans le tète de ces criminels fanatiques qu’il faut traiter autrement que comme des faits de droits communs, ce qu’ils ne sont pas  !

Jdeclef 25/04/2021 16h41LP