dimanche 11 avril 2021

L'Algérie depuis la fin de de cette guerre en 1962 et de leur l'indépendance :


 

Algérie : slogans antifrançais et appels à l’unité dans la marche du hirak

TENSION. En dépit de la situation sanitaire, le hirak reprend progressivement son rituel du vendredi pour faire passer ses messages.

 

Des slogans antifrançais ont réapparu vendredi dans le cortège des manifestants antirégime du hirak lors de leur marche hebdomadaire à Alger, au lendemain de l'annulation inopinée de la visite du Premier ministre français, Jean Castex, prévue dimanche dans la capitale, a constaté l'AFP. « La France est de retour, jeunes levez-vous ! » ont crié des protestataires, tandis que des pancartes étaient barrées des slogans : « Là où arrive la France, c'est la destruction », « Macron dégage, vous n'êtes pas le bienvenu dans le pays des Martyrs ». Un dessin montrait un coq, symbole de la France, picorant une carte du pays maghrébin avec la mention « L'Algérie n'est pas à vendre ». Ces mots d'ordre sont récurrents lors des défilés du hirak, les opposants accusant Paris d'avoir ouvertement pris le parti du président Abdelmadjid Tebboune. La visite de M. Castex a été annulée jeudi soir à la demande d'Alger, mécontent, semble-t-il, de la taille de la délégation ministérielle française.

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Appels à l'unité…

Les manifestants ont par ailleurs appelé à l'unité, ont constaté des journalistes de l'AFP, après que le pouvoir a mis en garde le mouvement prodémocratie contre des « dérapages extrémistes ». « C'est une initiative pour rassembler tous les Algériens et pour dire que nous sommes devant un hirak multiple et divers mais uni, car l'union des Algériens est leur force », a déclaré le sociologue Nacer Djabi, un leader du hirak. « Peuple uni ! » ont scandé les manifestants en réaffirmant leur opposition aux élections législatives organisées par « le gang » au pouvoir, le 12 juin. M. Tebboune a dénoncé cette semaine les « activités non innocentes » qui « tentent d'entraver le processus démocratique en Algérie », et promis qu'à l'avenir l'État serait « intransigeant ». Le Haut Conseil de sécurité a examiné « les actes subversifs et les graves dérapages émanant de milieux séparatistes et de mouvances illégales proches du terrorisme, qui exploitent les marches » du hirak, a-t-il dit.

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… face à une certaine répression

Les manifestants – dont le nombre est difficile à évaluer en l'absence de chiffres officiels – ont réitéré leur demande d'« une justice indépendante », de la libération des détenus d'opinion et fustigé la répression et « la criminalisation des rassemblements ». Selon le Comité national pour la libération des détenus (CNLD), une association de soutien, une soixantaine de personnes liées au hirak sont aujourd'hui derrière les barreaux, dont une trentaine écrouées depuis les marches du week-end dernier. D'après le CNLD, deux manifestants ont été arrêtés à Alger, où la marche s'est dispersée dans le calme.

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Le hirak au milieu du gué

Des manifestations ont également eu lieu ailleurs dans le pays, notamment à Constantine, Annaba, Bouira, Tizi Ouzou, Béjaïa, Annaba (nord-est) et Mostaganem (nord-ouest), selon des images diffusées sur les réseaux sociaux. Né en février 2019 du rejet massif d'un cinquième mandat du président Abdelaziz Bouteflika, le hirak réclame un changement radical du « système » politique en place depuis l'indépendance en 1962. Il est aujourd'hui accusé par le pouvoir d'être infiltré par des activistes islamistes, héritiers du Front islamique de salut (dissous en mars 1992), qui chercheraient à entraîner le hirak dans la confrontation violente. Ce mouvement populaire inédit en Algérie est pluriel, des laïcs aux religieux, et sans véritable leadership ni structure politique. Ce qui l'expose à des risques de divisions et lui vaut des critiques pour son manque d'unité et de propositions politiques.

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Donc théoriquement est un pays souverain, mais surtout un furoncle que les algériens et les français n'arrivent pas à percer à cause de leurs gouvernements respectifs et antagonismes !

Il est impératif que ce pays soit traité comme n'importe quel autre pays étranger !

On a su terminer deux guerres mondiales et l'antagonisme de celles-ci entre la France et l'Allemagne pour enfin devenir des alliés dans l'U.E. mais issu du même continent !

L'ALGERIE est un pays d'Afrique, hors U.E. ex colonie française étant donné les problèmes trop fréquents de ce pays qui perdure doivent couper les ponts définitivement entre nos deux pays pour le bien de ses habitants et leur histoire ancienne coloniale, ce qui est impératif !

Car tous ces problèmes qui perdurent depuis 1962 entre la France et l’Algérie ne sont qu’hypocrisies, il faut que cela cesse définitivement que chacun reste chez soi sans s’occuper de l’autre et que les algériens rentre dans leurs pays, car ils sont déjà trop nombreux chez nous !

Ils ont su rejeter les français d’Algérie en 1962, alors il faut qu’ils reprennent leurs ressortissants, car ils ont un pays, car en plus ils n’aiment pas les français et ont trop de rancœur qu’ils trainent depuis l’indépendance de leurs pays envers les français, il faut faire cesser cette hypocrisie !)

Jdeclef 11/04/2021 11h18

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