mercredi 31 janvier 2018

Il aurait mieux fait de dire la vérité ou tout au moins sur le déroulement de son acte criminel devenu sordide !

Jonathann Daval avoue avoir tué son épouse « par accident »

VIDÉOS. Pendant trois mois, il a pleuré sa mort. Il vient d'avouer avoir étranglé Alexia Daval dans un « accès de colère » et nie avoir brûlé son corps.


Jonathann Daval a avoué, mardi 30 janvier, le meurtre de son épouse Alexia, dont le corps avait été retrouvé fin octobre dans un bois de Haute-Saône, a-t-on appris mardi auprès de ses avocats. L'informaticien de 34 ans, placé en garde à vue depuis lundi, « a reconnu avoir tué son épouse, mais il a dit que c'était un accident, qu'il ne voulait pas, et il regrette », ont indiqué à l'AFP ses avocats Mes Ornella Spatafora et Randall Schwerdorffer.
Ce dernier, qui avait laissé entendre dans la matinée que les preuves contre son client étaient « accablantes », a défendu la version de Jonathann Daval, expliquant qu'il se battrait pour que les qualifications d'assassinat ou de meurtre ne soient pas retenues. « Il l'a étranglée », a-t-il détaillé, assurant que son client n'avait « pas été dans une logique criminelle » et « n'avait impliqué personne d'autre ». Il n'a pas non plus tenté, selon lui, de brûler le corps.

« Un accès de violence »

Dans un début de plaidoirie, il a expliqué « qu'ils avaient une relation de couple avec de très fortes tensions, qu'Alexia avait une personnalité écrasante, qu'il se sentait complètement écrasé, rabaissé, et qu'à un moment il y a eu des mots de trop, une crise de trop, qu'il n'a pas su gérer et ça a débordé », a relayé son avocat. « Il va payer pour trois secondes de sa vie », cédant à un « accès de violence » a-t-il argué, le qualifiant même « de type formidable, pas un méchant garçon ». Selon son avocat, « il a essayé d'être ce gendre parfait, il n'a pas réussi. C'est un garçon qui perd pied, un accident. Il l'a étranglée et après, il a été dépassé par tout. »
Jonathann Daval sera mis en examen dans la soirée. Il lui faudra expliquer pourquoi il a mis en scène la disparition de sa femme, pourquoi le corps a été retrouvé partiellement calciné et pourquoi il a attendu trois mois avant de passer aux aveux.

Les parents avaient « toute confiance »

À l'annonce de ces aveux, l'avocat des parents d'Alexia a rapidement réagi. « Ils sont abasourdis et consternés parce qu'ils n'avaient pas imaginé que Jonathann en qui ils avaient toute confiance puisse être le meurtrier ou l'assassin, c'est trop tôt pour le dire, de leur fille », a souligné Me Florand au micro de RTL. Et d'ajouter ensuite : « Je suis toujours prudent avec les aveux… Les aveux en soi, ça ne vaut pas grand-chose… si ce n'est pas corroboré par des éléments objectifs de culpabilité. J'ignore quels sont les éléments objectifs de culpabilité qui ont été présentés à M. Daval et qui l'ont amené à faire des aveux… Je crois qu'il faut aussi encore en cet instant précis être prudent. »
Me Jean-Marc Florand a également rappelé que les parents d'Alexia avaient « toute confiance en lui avant la mort de leur fille. Depuis trois mois, ils vivent beaucoup avec lui, ils n'avaient observé aucun changement, rien leur permettant de se mettre cette idée terrible dans la tête qu'il pouvait être pour quelque chose dans la mort affreuse de leur fille… »
Jonathann Daval avait participé aux hommages rendus à sa femme, où il apparaissait en larmes, entouré de ses beaux-parents. Lors de la marche blanche organisée le 5 novembre, devant 8 000 personnes, il prononçait ces mots la voix brisée : « La force de notre couple nous faisait nous dépasser, dans nos sorties et notre vie commune. Cette plénitude me manquera terriblement. »
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J’avais dit que dans ce type de crime « familial » c’est souvent le mari le responsable cela s’est vérifié !

Ce qui aggrave son cas c’est d’avoir voulu brûler le corps de sa femme ce qui va à l’encontre de ce qu’il avait dit comme étant un accident !

Il va passer à la case psychiatre pour peut-être minimiser son acte ?!

Arrêtons un peu les hypothèses fumeuses et les larmes de crocodiles de ce pauvre type qui s'est enferré dans ses mensonges au point de ne pouvoir s'en sortir ?!

Il a mis le temps avant d’avouer son crime, il a eu la chance d’avoir une justice pas très performante d’où sa lenteur de mise en examen !

Maintenant la seule chose à déterminer c’est le mobile du crime ?!

Drame de couple qui dérape comme on n’en voit trop dans notre société ?


Jdeclef 31/01/2018 12h16

Les signes extérieurs religieux sont la plaie des religions et de ceux qui la pratique !

Sarcelles : un écolier portant la kippa agressé en pleine rue

Les deux agresseurs, des adolescents d'une quinzaine d'années, ont pris la fuite. Le parquet de Pontoise privilégie la piste de l'antisémitisme.


Selon RTL qui révèle l'information, un enfant de 8 ans qui portait une kippa a été agressé lundi en pleine rue à Sarcelles, dans le Val-d'Oise, par deux adolescents d'une quinzaine d'années, qui sont parvenus à prendre la fuite.
Le parquet de Pontoise a confirmé l'information et ouvert une enquête de flagrance, confiée à la sûreté départementale. « Les auteurs n'ont rien verbalisé durant l'agression et n'ont dérobé aucun objet appartenant à la victime, dont la kippa était visible », a détaillé le parquet, pour qui « le mobile antisémite est donc retenu pour le moment ».
Gérard Collomb a condamné dans un communiqué « avec la plus grande fermeté (cette) lâche agression » qui est « contraire à nos valeurs les plus fondamentales ». En 2016, selon le ministère de l'Intérieur, 335 actes antisémites ont été enregistrés. Ils étaient plus de 800 en 2015.

« On devient craintifs et vigilants »

Sarcelles abrite une importante communauté juive, d'environ 15 000 personnes. En 2016, le rabbin de Sarcelles se confiait dans Le Parisien, jugeant que c'était « la ville où il est le plus facile de vivre son judaïsme en France » et estimant qu'un certain nombre d'agressions visant des juifs n'étaient pas forcément antisémites. Il appelait toutefois à la vigilance : « De manière générale, le port de la kippa et vivre son judaïsme au quotidien sont de moins en moins évidents. [...] On pensait l'amitié entre les différentes composantes de la ville invincible. Mais après le traumatisme du 20 juillet 2014 [où une manifestation propalestinienne a tourné à l'émeute prenant les juifs et la synagogue pour cible, NDLR], on devient craintifs et vigilants. »
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C'est d'autant plus déplorable, quand ce sont des enfants qui subissent ces actes lâches !

Mais depuis plus de 2000 ans c'est ainsi et cela ne s'améliore pas!

Car les principales religions ne s'entendent pas entre elles depuis des lustres et essaient d’imposer leurs dogmes aux autres !

Il faudrait déjà supprimer ces signes religieux dans tous les domaines publics car liés à des croyances que d'autres ne partagent pas car cela en fait des cibles pour les malfaisants !

Car il y a trop d’extrémistes qui pratiquent cette discrimination !

Le peuple juif subit depuis la nuit des temps ces rejets inqualifiables de la part d'autres connus qui veulent se débarrasser d'eux car minoritaires dans nos citées d'IDF et en province aussi !

Certains ne se cachent pas de vouloir les faire partir vers ISRAËL !

Mais n’allons pas si loin regardons ce qui se passe en Irlande du nord entre chrétiens protestant et catholique depuis des dizaines d’années et qui explosent périodiquement !

Ou les chrétiens d’orient persécutés au Moyen-Orient ?!

Résumons un fait évident : les religions n’arrivent pas à s’entendre entre elles c’est tout !

Et en plus nous avons une justice laxiste pas assez sévère pour punir rigoureusement de tels actes trop nombreux !

Mais hélas avec la kyrielle de bien-pensant hypocrite au plus haut de l’état rien ne changera çà fait déjà assez longtemps que ça dure, cet incident passera et on l’oubliera !

Le président n’a-t-il pas parlé de sécurité au quotidien et bien çà c’est quoi ?!

(Exemple vécu : je suis vieux et quand j’étais ados j’allais au lycée dans le 4eme arrondissement de PARIS en plein quartier juif près du mémorial de la Shoa et bien dans ma classe la moitié des jeunes étaient juifs dont les parents avaient des commerces restaurants célèbres et autres et bien quand ils venaient en cours ils ne portaient pas la Kippa tout en étant croyant et pratiquant leurs fêtes religieuses)


Jdeclef 31/01/2018 11h00

mardi 30 janvier 2018

Il n'y a pas que les personnels soignants qui souffrent de ces dégradations de travail !

Ehpad : la colère du personnel soignant

Le personnel des maisons de retraite, appelé à la grève ce mardi, dénonce des conditions de travail éprouvantes et l'accueil indigne des personnes âgées.


En 2017, 120 mouvements de grève ont touché les  établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad), selon la CGT. La mobilisation la plus médiatisée, à Foucherans (Jura), a duré cent dix-sept jours. En ce début 2018, le mouvement prend une ampleur inédite et l'ensemble du personnel, dont les directeurs d'établissement, est appelé à faire grève ce mardi pour protester contre le manque de personnel et de moyens nécessaires à un accueil décent des personnes âgées dépendantes. Lancé en début de semaine dernière, le hashtag #Balancetonhosto, avec lequel le personnel soignant témoigne de conditions de travail intenables, a été utilisé plus de 5 000 fois en quelques jours.
Alors que la colère gronde depuis déjà plusieurs années, la proposition de la ministre de la Santé, Agnès Buzyn, d'allouer 50 millions d'euros supplémentaires aux Ehpad n'a pas calmé la colère du personnel soignant, qui estime que cette mesure n'est que le reflet d'une ignorance totale des conditions de travail dans ces établissements.

Coupes budgétaires

En 2015, une étude de la Drees (Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques) comptabilise environ 728 000 résidents en Ehpad. Des résidents de plus en plus nombreux (35 000 de plus qu'en 2011) et de plus en plus âgés (86 ans en moyenne en 2011, contre 87 ans en 2015). Et, malgré une augmentation sensible du nombre de places en Ehpad depuis la fin des années 1990, « le nombre de personnes accueillies a augmenté plus rapidement que le nombre de places », et ce, sans que cela s'accompagne d'une hausse des effectifs du personnel soignant. 
Le témoignage de Lisa*, aujourd'hui infirmière dans un centre hospitalier universitaire (CHU), est édifiant. En 2010, elle a été aide-soignante remplaçante pendant un mois dans un Ehpad du Bas-Rhin, un mois pendant lequel elle a été confrontée aux pires situations dues au manque de personnel. Elle était l'unique aide-soignante pour un étage, c'est-à-dire pour 19 résidents. Parmi eux, deux étaient autonomes, dix avaient besoin d'une « aide à la toilette » et sept nécessitaient une « toilette complète ». Entre 6 h 45 et 11 h 30, il fallait les laver, les aider à se lever, ranger leurs chambres, les aider à se déplacer et les faire manger. Une personne pour 19 résidents.
Aujourd'hui, la législation impose un taux d'encadrement des résidents en Ehpad de six agents pour dix résidents. Alors que les syndicats réclament de faire grimper ce taux à huit, afin d'améliorer les conditions d'accueil des personnes âgées, d'autres se contentent de demander une limitation des coupes budgétaires. C'est le cas de Cécile Bromeux, directrice d'un Ehpad à Pantin, en grève ce mardi. Non pour dénoncer les conditions de travail dans son établissement, qui « demeurent malgré tout assez favorables par rapport à d'autres », mais pour « dénoncer ce vers quoi on va, dénoncer les conditions de travail imposées par ces coupes budgétaires ». Son budget alloué aux personnes dépendantes (nécessitant un soin et une attention constante dans la toilette, la prise de repas, etc.) a été amputé de 1 million d'euros sur 7. Si elle s'estime plutôt bien lotie avec 25 aides-soignants pour 100 résidents, les coupes budgétaires successives l'ont contrainte à fortement limiter les remplacements. Mais ce qu'elle redoute le plus, c'est de finir par devoir faire un tri à l'entrée des établissements. « Aujourd'hui, je ne fais aucune sélection financière à l'entrée. Mais, à terme, je ne sais pas comment maintenir cette politique si notre budget est entamé », explique Cécile Bromeux, en poste depuis 2014.

Maltraitance

Mais les principales revendications de cette mobilisation concernent bien le manque de moyens et le manque de personnel. Lisa s'emporte : « On traite l'humain, bon sang ! Demander aux soignants de préférer la rentabilité aux soins, c'est assassiner le service public ! » Un constat partagé par Cécile Bromeux, qui pointe la nécessité de maintenir un service public fort dans l'encadrement et l'accueil des personnes âgées : « Le tout-domicile n'est pas une solution, il annihile tout lien social. L'institutionnalisation de cet accueil doit absolument se maintenir, et dans les meilleures conditions. Mais les pouvoirs publics ignorent totalement les réalités du terrain. » Selon les témoignages, le manque de personnel associé à des conditions de travail éprouvantes conduit à une forme de maltraitance dans certains établissements.
« On condamne nos aînés à la maltraitance », explique Lisa, qui pointe également le taux de suicide parmi les aides-soignants dans les maisons de retraite. Et, lorsqu'elle doit parler des problèmes auxquels elle a été confrontée, cette infirmière de 38 ans ne semble plus pouvoir s'arrêter : « Changer la couche d'une personne grabataire seulement cinq fois par jour parce que ça coûte trop cher », « faire un calendrier des douches et entendre vous avez déjà eu votre douche il y a une semaine, il faut attendre dix jours pour la prochaine, Madame », « gaver un résident à la cuillère au risque de lui faire faire une fausse route parce qu'on est pressés », « leur faire mal involontairement parce qu'on n'a pas le temps ».
Pour frapper un grand coup et interpeller les pouvoirs publics, le #Balancetonhosto a souvent relayé des messages très crus et violents.

Un personnel soignant à bout

Si tous les Ehpad ne sont pas maltraitants, la situation est devenue intenable pour le personnel soignant, qui parfois perd ses nerfs : « J'ai vu des soignants tellement à bout de nerfs qu'ils devenaient violents verbalement envers les résidents, puis partaient pleurer à l'extérieur parce qu'ils culpabilisaient », confie Lisa. « Depuis que je travaille, les conditions d'accueil et de soins se sont lourdement dégradées », pense-t-elle. Désormais infirmière en CHU, elle a pu constater les mêmes problèmes dans les services gériatriques : « La gériatrie est le parent pauvre de la médecine. (…) Je suis profondément dégoûtée », lâche-t-elle. Aujourd'hui, 5 millions de Français ont plus de 75 ans. Ils seront 8 millions en 2030. Face au vieillissement de la population, il semble que nos voisins allemands soient bien plus alertes que nous, avec une moyenne de 1,2 agent par résident, contre 0,6 en France.
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Il y a surtout les résidents personnes âgées voire très âgées a qui ont n’oublie pas de prendre la totalité de leur retraite, avant tout, c’est le cas pour ma mère et ces 2350 €uros et cela ne suffisait pas comme frais de séjour, somme que je devais compléter pour un service lamentable dans un EPAD !

Ma sœur rend visite chaque jour à notre mère de 95 ans pour l’aider, la laver, la changer en fait palier au manque de soins du fait du manque de personnel etc…

Alors dans un pays moderne et riche comme le nôtre, c’est une honte ou on jette par les fenêtres des sommes pharaoniques comme par exemple pour ce scandale depuis 50 ans de cet aéroport de NNDL à fonds perdus et il n’y a pas que ça on peut en citer d’autres de même ordre !

Alors que Mr le président de la république MACRON est la décence de ne pas donner de leçon, et rejeter çà sur ces prédécesseurs, car cela ne date pas d’hier !

Quand en France on n’est plus capable de s’occuper correctement et décemment de nos anciens qui oui vivent plus vieux que dans le passé car l’espérance de vie s’est allongée et mettent plus de temps à mourir, doivent-ils s’en excuser et dont a diminué en passant les retraites qui n’arrivent même pas à compenser leur frais de séjour dans des mouroirs !?

Et bien sûr, on peut comprendre le personnel qui ne peut plus fournir par la diminution de leurs effectifs un service correct !

Mais çà nos autorités de gouvernants de bien-pensant hypocrites donneurs de leçons cela ne les empêche pas de dormir et de bien vivre, car ils sont loin du peuple lambda sauf pour les pressurer depuis des décennies !

On régresse en France et on revient à notre système monarchique ou bourgeoisie du début du 19 eme siècle et comme nous vivons dans un système ou le chacun pour soi fait loi, je sais que moi qui ait 71 ans je n’attendrais pas d’être à la charge de ma famille pour quitter ce monde, car j’en ai honte !


Jdeclef 30/01/2018 14h19 LP

De toute façon ce président hors norme plait aux américains, car il parle un langage qu’ils comprennent !

Consigny - Donald Trump sera peut-être un grand président

Chez nous, le président américain a mauvaise presse. Sa politique est aux antipodes de celle prônée par les bonnes consciences européennes.

Avec son mauvais goût, ses tours marquées de son nom en lettres d'or, son format de catcheur, sa tendance à l'injure et à la goujaterie, sa désinvolture, ses plaisanteries douteuses, ses réussites et ses échecs professionnels, éclatantes et retentissants, avec ses cheveux teints et son verbe déchaîné, Donald Trump incarne un mode d'existence que nous, tristes Européens, avons comme oublié, que nous dédaignons, que nous nous interdisons : la liberté.
Alors qu'il met l'accent sur l'économie qu'il entend doper par des baisses d'impôts et une déréglementation massives en espérant que cela fera baisser le chômage, la presse progressiste ne parle que de la « grossièreté » du personnage, de sa « misogynie » ou d'un supposé « racisme » qui reste à démontrer. Elle s'émeut de le voir traiter avec une souveraine indifférence les passions du moment, comme les « inégalités », les « valeurs » ou « l'égalité hommes-femmes », thèmes dont Le Monde du 27 janvier 2018 nous apprend qu'ils ont été « largement évoqués à Davos » et dont l'absence a été « frappante » dans le discours que le président américain a prononcé au Forum économique mondial. Le nom de ce forum indique pourtant son objet. Mais, là-bas aussi, il a fallu subir des discours mièvres comme celui d'Angela Merkel mettant en garde contre le « repli sur soi » et le danger du « populisme de droite ». Chacun pourra pourtant constater que Trump, avec tous ses défauts et ses outrances, n'a pour l'instant pas outrepassé les limites qui séparent la démocratie de la dictature. Il se contente de suivre son instinct et le mandat que lui ont confié les électeurs américains. Il se moque des modes de son temps et ne croit pas, contrairement à nous, que l'État doive mettre son nez partout et vampiriser l'ensemble des richesses créées par les citoyens. Comme il était éloquent de voir les ministres européens s'inquiéter par écrit, dans une lettre adressée au Trésor américain en décembre dernier, des effets de la réforme fiscale trumpienne ! Baisser les impôts, mais quelle horreur !

Un autre chemin est-il encore possible ?

Les élites européennes voudraient que le président des États-Unis soit européen lui aussi. Elles voudraient un leader progressiste comme les autres, comme était Obama. Elles voudraient un citoyen du monde, cycliste, quinoavore, intéressé par la théorie du genre, connaissant sa PMA et sa GPA sur le bout des doigts, impatient de se rendre à son prochain concert solidaire et de pouvoir y boire de l'alcool fabriqué dans des coopératives, ces entreprises modernes, sans patron, où tout le monde est chef et ouvrier en même temps. On lui servirait sa boisson dans une écocup, ce verre en carton qu'il s'agit de garder avec soi toute la soirée pour économiser l'eau du lave-vaisselle. On voudrait ça pour la présidence des États-Unis, ce pays qui a toujours marché à la démesure et qui est ainsi devenu la première puissance planétaire, bouleversant nos vies en faisant radicalement progresser les technologies, notamment l'informatique et la médecine. Doit-on vraiment mettre toute notre énergie à guetter le prochain « porc » ? Souhaite-t-on vraiment donner la moitié, ou davantage, de nos revenus à la collectivité ? Ou bien un autre chemin est-il encore possible ?
Les mêmes qui n'ont que l'accueil de l'autre à la bouche se parent de toutes les vertus et de toutes les élégances pour refuser par principe d'entendre le message porté par ce président insoumis qui fait fi des pudeurs de son temps et réhabilite une certaine Amérique, clinquante et vivante. Ce qui rend Trump vulgaire aux yeux de beaucoup, c'est qu'il ne s'interdit rien. Ce qui nous a faits si tristes, c'est que nous nous interdisons tout. Peut-être avons-nous quelque chose à apprendre de notre extrême inverse.
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Du style de l'acteur JOHN WAYNE brut de décoffrage va-t’en guerre appelant "un chat un chat" sans fioriture en disant ce qu’il veut pour les américains lambda !

A la différence de nos dirigeants bien-pensants bobos hypocrites qui tergiversent sans cesse dans des palabres qui n’aboutissent à rien de probant !

Bien sûr, il est quelquefois obligé de revenir sur ces diatribes trop extrémistes et mettre de « l’eau dans son vin, » mais ce qui est dit est dit au final !

Et la puissance des USA est à ce prix-là, et ce personnage excessif aime surement son pays et le dit haut et fort peut être pas avec les formes, souvent irrespectueux des autres, car pour lui, c’est les américains avant tout !

Il exagère surement, mais cela change de nos donneurs de leçons faux jetons bien polis que l’on doit supporter à longueur d’année !

Il est surement mal élevé et manque peut être de bonne éducation, mais il n’y a pas que lui et à comparer avec les dictateurs connus toujours en place nettement plus malfaisants que l’on ne veut pas éliminer, et plus dangereux !

Car lui est le dirigeant d’un grand pays libre et démocratique avec une administration qui le tient en laisse s’il venait à déraper !


Jdeclef 30/01/2018 LP

lundi 29 janvier 2018

On comprend difficilement dans cette affaire sordide comment la justice de notre pays fonctionne ?!

Affaire Fiona : un nouveau procès s'ouvre sous tension

Une première audience du procès en appel avait tourné court. La défense avait quitté le palais de justice, estimant que sa « probité » avait été « mise en cause ».


À l'automne, une première audience d'appel avait tourné au fiasco. L'affaire Fiona revient lundi devant les assises de Haute-Loire avec l'espoir de percer le mystère de la fillette disparue en 2013, et le risque d'une nouvelle querelle entre avocats. Cécile Bourgeon, la mère, condamnée à cinq ans de prison en première instance pour avoir menti pendant des mois en parlant d'un enlèvement de l'enfant, et Berkane Makhlouf, son ex-compagnon condamné à vingt ans de réclusion pour avoir porté des coups fatals à Fiona, comparaissent de nouveau au Puy-en-Velay. Toujours en l'absence du corps de la victime, que les accusés disent avoir enterré dans une forêt autour de Clermont-Ferrand, mais qui n'a jamais été retrouvé. Et toujours avec un grand flou sur les faits – les deux anciens toxicomanes se rejettent la faute ou avancent l'hypothèse d'un accident.
En appel, les débats avaient avorté le 13 octobre dernier quand la défense avait quitté le palais de justice avec fracas, au motif que sa « probité » aurait été « mise en cause » par l'avocate d'une association de protection de l'enfance, partie civile. Lors du témoignage d'une connaissance du couple, Me Marie Grimaud avait relevé qu'elle avait été assistée en garde à vue, au début de l'affaire, par Me Mohamed Khanifar – aujourd'hui l'avocat de Berkane Makhlouf – et suggéré une connivence entre ce dernier et le conseil de Cécile Bourgeon, Me Renaud Portejoie. Cette passe d'armes, incompréhensible pour le quidam, avait provoqué le renvoi de l'affaire et une procédure disciplinaire à l'encontre de Me Grimaud, initiée par la défense. Quelques jours plus tard, c'était au tour du père de Fiona, Nicolas Chafoulais, de dénoncer devant la presse des « arrangements entre amis » – il est poursuivi pour diffamation depuis.

« Le renvoi, c'était une mascarade »

Tous se retrouveront à 14 heures dans une ambiance tendue. « Le renvoi, c'était une mascarade, on était au théâtre. On ne parle plus des faits, on n'est plus là pour l'assassinat de ma fille, mais pour voir des avocats se tirer dans les pattes », peste encore Nicolas Chafoulais, qui aurait aimé que le procès soit « dépaysé ». « Maintenant, il faut que la justice prouve qu'elle est compétente. Il va falloir recentrer le procès sur les faits », insiste celui qui s'est fait tatouer dans le cou le prénom de sa fille. « On n'avait aucun intérêt procédural pour ce renvoi, d'ailleurs on n'a pas fait de demande de remise en liberté [pour Cécile Bourgeon, NDLR], souligne Me Portejoie. Mais on a estimé qu'on était déconsidéré auprès des jurés. Aujourd'hui, nous souhaitons que la justice passe sereinement, comme en première instance. Nous n'avons aucune agressivité et nous espérons que les uns et les autres sont dans ce même état d'esprit. »
Acquittée des faits criminels par la cour d'assises du Puy-de-Dôme en 2016, la mère de Fiona, détenue depuis 2013 comme Berkane Makhlouf, pourrait sortir de prison en février en cas de verdict similaire en appel – il est attendu le 9 février. Mais l'audience promet d'être encore agitée avec trois nouveaux témoins cités par Me Grimaud. « Il y a un certain nombre de détails qui avaient échappé à l'attention des uns et des autres et qui me semblent être la clé de ce qu'a vécu Fiona. Je compte bien les exploiter pour obtenir la vérité », prévient l'avocate. Sans compter que deux nouveaux avocats ont rejoint le banc des parties civiles, dont Me Jean-François Canis, qui avait défendu un homme condamné pour avoir violé Cécile Bourgeon en 2012. Ce procès avait lui aussi été renvoyé après un incident d'audience entre ce ténor clermontois et les avocats de la mère de Fiona.
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Où l’on voit des querelles puériles de déplorables avocats de ces deux individus que ne devraient même déjà ne plus avoir le titre de parents, tant ils ont fait souffrir cette fillette innocente !

Cette justice qui perd son temps avec de tels individus l’homme et la femme qui ne méritent aucune compassion, qu’ils n’ont pas eu pour leur fille et qui en plus se rejettent la faute d’une extrême lâcheté !

Il faut les condamner à la peine maximum prévu par la loi pour tant de lâcheté envers un être innocent sans défense, il faut cesser ces arguties juridiques pour de tels crimes sordides !


Jdeclef 29/01/2018 15h16LP

Hélas dans ce type d'affaire criminelle glauque la suite logique se repend sur les proches …

Pourquoi les enquêteurs suspectent Jonathan Daval, le mari de la joggeuse assassinée

Selon nos informations, un témoignage indique que le jeune homme a menti sur ce qu'il a fait la veille de la disparition de son épouse. Explications.


Selon la procureur de Besançon, le mari d'Alexia Daval a été interpellé ce lundi matin et une perquisition est en cours à son domicile. Jonathan Daval est un technicien en informatique de 33 ans. Après dix ans en couple, Alexia et Jonathan s'étaient mariés en 2015 à Gray, en Haute-Saône. Ils vivaient toujours à Gray, dans le pavillon qui avait appartenu aux grands-parents d'Alexia. Ils y avaient fait de grands travaux, et notamment construire une piscine dans le jardin.
Le matin de sa disparition, le 28 octobre 2017, elle aurait annoncé à son conjoint, qui a donné l'alerte, qu'elle profiterait de sa sortie matinale pour faire un crochet dans la famille et embrasser sa sœur et son petit-neveu. Le même message est parvenu à sa sœur Stéphanie.
Le juge d'instruction, en charge de ce dossier, a décidé du placement en garde à vue du conjoint de la victime après avoir recueilli un certain nombre d'éléments venant contredire la version livrée jusqu'alors par Jonathan Daval. Celui-ci avait assuré être rentré avec son épouse d'un repas chez ses beaux-parents, le 27 octobre au soir, puis n'avoir plus quitté son domicile.

Qu'a fait Jonathan Daval le soir du 27 octobre ?

Mais un témoignage, considéré comme déterminant par les enquêteurs de la section de recherches (SR) de Besançon en charge des investigations, aurait permis d'apprendre qu'une voiture, mise à disposition de Jonathan Daval par son employeur, a été utilisée dans la nuit du 27 au 28 octobre dernier. Selon nos informations, ce véhicule aurait quitté le domicile familial vers 1 h 30 du matin. C'est un voisin du couple, interrogé par les militaires, qui a confié avoir entendu « une voiture rouler sur une plaque métallique » en quittant le domicile des époux Daval. L'homme est assez précis sur l'horaire, car il aurait regardé son réveil au même moment. Les constatations des gendarmes auraient permis d'établir la présence d'une plaque métallique devant l'entrée du domicile du couple.
Ce véhicule, propriété de l'employeur du mari aujourd'hui suspecté, a été saisi par les spécialistes de l'Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale (IRCGN), basé à Pontoise dans le Val-d'Oise, avant d'y être décortiqué. Or, toujours selon nos informations, l'exploitation d'« éléments électroniques » contenus dans cette voiture aurait confirmé qu'elle aurait bien été utilisée dans la nuit du 27 au 28 octobre, vers 1 h 30 du matin.
Par ailleurs, des empreintes de pneus auraient également été découvertes à proximité du lieu où le corps de la joggeuse, en partie dénudé et calciné, avait été découvert, le 30 octobre. Des moulages de ces traces ont été réalisés puis comparés avec les pneus du véhicule professionnel de Jonathan Daval. Des similitudes auraient été relevées.

Altercation

L'une des hypothèses avancées comme mobile au meurtre de Alexia Daval, qui a succombé après avoir été étranglée, est celle d'une « dispute conjugale » qui aurait dégénéré. « Le couple, qui avait des difficultés à avoir un enfant, connaissait en effet de vives tensions », ont indiqué plusieurs sources concordantes. D'autres sources ont également évoqué une « relation dominant-dominé » entre la victime et son conjoint. Lors de sa première audition, en tant que simple témoin, Jonathan Daval avait d'ailleurs évoqué une dispute avec sa compagne la veille de sa disparition. Cette altercation expliquait, selon lui, les marques de griffures, voire de morsures, visibles sur ses mains.
Les enquêteurs cherchent donc à savoir si le couple ne battait pas sérieusement de l'aile. En cas de séparation, Jonathan Daval aurait tout perdu.

Les parents d'Alexia « confiants »

Après la découverte du corps en partie calciné de sa femme le 30 octobre, Jonathan Daval avait semblé très affecté. Le 4 novembre, il avait participé à une course de 10 kilomètres à Gray (Haute-Saône) en hommage à Alexia. Dimanche 5 novembre, il était en larmes auprès des parents de la jeune femme lors de la marche blanche en son hommage, qui avait réuni entre 8 000 et 10 000 personnes. « Elle était ma première supportrice, mon oxygène. La force de notre couple nous faisait nous dépasser, dans nos sorties et dans notre vie commune. Cette plénitude me manquera terriblement », avait-il confié après la marche.
L'avocat de Jonathan Daval, qui n'a pas encore rencontré son client depuis son interpellation lundi matin, a déclaré n'être « pas du tout surpris du placement en garde à vue » de son client. « Il s'attendait à cette épreuve et il était toujours très serein », a-t-il confié à l'AFP. « La dernière fois que je l'ai vu, il m'a confirmé qu'en aucun cas il n'était lié d'une façon ou d'une autre au décès de son épouse. »
De son côté, l'avocat des parents et de la sœur d'Alexia Daval, Me Jean-Marc Florand, a insisté sur le fait qu'il fallait « être très prudent dans ce dossier et attendre l'issue de la garde à vue ». « Il ne faut pas oublier que M. Daval, jusqu'à aujourd'hui, est victime, partie civile, et bénéficie pour le moment de la présomption d'innocence », a déclaré Me Florand à l'AFP. Selon lui, les parents d'Alexia Daval sont « confiants » dans la non-implication de leur gendre dans l'assassinat de leur fille.
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Donc le mari, la seule chose en sa faveur, c’est que cela lui permettra de se défendre !

Mais espérons que la justice et les enquêteurs seront moins nuls que d’habitude dans ce type de crimes !

Il faut espérer que les médias et la vox populi ne le déclare pas coupable avant que cela soit avéré !

Car les erreurs judiciaires avec notre justice peu fiable sont hélas quelque fois nombreuses sans preuves évidentes !

Dans ce type d’affaire la présomption d’innocence doit être de règle surtout quand elle n’est pas étayée d’éléments concordants montrant l’implication de l’époux de la victime dans ce meurtre !

Et faisons taire les médias souvent trop loquaces et pressées de faire du scoop !


Jdeclef 29/01/2018 13h18

MARSEILLE fait encore la une dans l'escalade de la voyoucratie dangereuse !

Marseille : des grenades antichars saisies chez des dealers

INFO LE POINT. C'est une découverte pour le moins inquiétante que viennent de faire des policiers en démantelant un réseau de trafiquants de drogue.

Les policiers de l'antenne de l'Office central pour la répression du trafic illicite des stupéfiants (OCRTIS) de Marseille cherchent toujours à comprendre comment et pour quelles raisons des trafiquants d'une cité du 13e arrondissement de la ville se sont procuré des armes de guerre d'une redoutable puissance.
En investissant un immeuble de la cité du Petit Séminaire, implantée dans les quartiers nord de la ville, le 15 janvier dernier, 150 policiers, mobilisés pour cette vaste opération, ont interpellé 13 personnes soupçonnées de se livrer à un intense trafic de résine et d'herbe de cannabis capable de fournir entre 300 et 400 clients par jour. Deux autres complices ont été arrêtés, ce mercredi 24 janvier. Neuf suspects ont finalement été placés en détention provisoire.
En fouillant plusieurs appartements squattés et servant de lieu de stockage pour la drogue, les enquêteurs de l'OCRTIS ont saisi près de 10 kilos de résine, 150 grammes de marijuana, un fusil d'assaut kalachnikov, un fusil 22 Long-Rifle, un pistolet automatique, plus de 600 munitions et près de 4 000 euros en argent liquide.
Une plantation « en appartement » d'herbe de cannabis en cours de pousse a également été découverte dans un logement.

Armes de guerre

Mais les policiers de l'OCRTIS ont surtout mis la main sur cinq grenades antichars et sept grenades antipersonnel, dissimulées dans un simple sac. Des armes de guerre d'une rare puissance destructrice...
« C'est la première fois que, dans une affaire de stups, on saisit ce genre d'armes à Marseille, confie une source proche de l'affaire. Nous avons établi qu'elles provenaient d'ex-Yougoslavie et qu'elles pouvaient être utilisées avec un fusil d'assaut kalachnikov, équipé d'un adaptateur. En revanche, on ne sait pas ce que les trafiquants envisageaient de faire avec ces grenades. Si vous tirez sur une voiture ou sur quelqu'un, il n'en restera plus que des confettis. Même sur un fourgon blindé, les dégâts seraient considérables. »
En 2016 déjà, la police avait démantelé un premier réseau de trafiquants dans cette cité très délabrée et principalement occupée par des familles de gitans sédentarisés. À l'époque, les enquêteurs avaient saisi un fusil d'assaut kalachnikov et un Famas, fusil d'assaut utilisé par l'armée française.
« Ce plan stups de la cité du Petit Séminaire pouvait rapporter entre 10 000 et 15 000 euros de chiffre d'affaires par jour, estime un enquêteur. Le démantèlement de ce réseau nous a aussi permis de constater que l'herbe de cannabis est de plus en plus consommée et pourrait, à terme, supplanter la résine. »
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Que se passera-t-il quand ces roquettes anti char seront utilisées contre des blindés de la police ou forces de l’ordre diverses !?

Il ne se passe une semaine ou un fait divers (criminel) n’est lieu dans cette ville sclérosée !

Car l'état régalien de notre république a perdu la main dans cette capitale de trafic divers !

Avec un clientélisme avéré de la part de la mairie et de son maire un poussa repu !
Et ce n’est pas aujourd’hui, que l’on laisse faire depuis des décennies sous tous les gouvernements !

Mais le pire, c’est peut être les habitants de la 2eme ville de France qui s’accommodent très bien de cet état de fait (ce qui laisserait supposer que ça devient une tradition presque culturelle ?)

Car l’état ne veut pas faire un grand ménage de la cave au plafond dans ces citées connues (oh bien sûr, il n’y a pas qu’à Marseille, mais là c’est une crise qui perdure depuis plus de 40 ans au moins !!!)

Et puis, il y a moins de problème de terrorisme islamique qu’ailleurs peut-être à cause de cette mafia qui protège ses territoires pour ne pas gêner leurs trafics divers ?!

En fait appelons « un chat un chat » les autorités laisse faire, car ce n’est pas quelque règlements de comptes en malfrats qui s’entretuent qui gêne, alors on surveille et on enquête, mais de loin sans taper dans la fourmilière !

Mr MACRON va mettre sa police de proximité en place « un cautère sur une jambe de bois » dans cette grande ville ou tout le monde fait sa loi, (sauf la police !)


Jdeclef 29/01/2018 10h09LP

dimanche 28 janvier 2018

ONPC une émission poubelle ou était invité tout et n’importe qui, qui venait pour se faire voir !

Patrick Besson - Pour en finir avec Laurent Ruquier

Le présentateur d'« On n'est pas couché » – ce « florilège de banalités qui dure trois heures » – ne fait plus rire notre chroniqueur.


C'est non sans mélancolie que je me décide à mettre un terme au bavardage insolent de Laurent Ruquier. Je me souviens d'avoir participé comme chroniqueur à ses émissions du matin sur France Inter au siècle dernier. Grâce entre autres à Guy Carlier et à Jean-Claude Carrière, il y régnait une atmosphère d'érudition joyeuse que gâchaient un peu les nasillements du psy bien-pensant Gérard Miller. Le seul psychanalyste à condamner en public les déviances individuelles qu'il ne soignait pas en privé. C'était la conscience gauche du studio. L'une des rares choses à mettre au crédit de Ruquier : avoir donné son congé à cet auteur sans livre, ce publiciste sans esprit, ce médecin sans patient.
Le poisson pourrit par la tête, dit le proverbe chinois. Pour l'humoriste, ce serait plutôt la voix. Laurent est devenu inécoutable. Sa gorge vibre de l'angoisse de ne pas trouver un bon mot. Son roulement de tambour de garde champêtre s'est transformé, au fil des ans, en crécelle de lépreux. Il nous avertit qu'il va nous faire rire, sans en être tout à fait sûr. L'humoriste est de mauvaise humeur, on devrait l'appeler l'humeuriste. Il vit dans la peur des autres, c'est la raison pour laquelle il a voulu les désarmer en les amusant. Le rire est presque toujours bête alors que toutes les larmes sont vraies. L'humoriste, dit aussi le comique malgré sa tristesse, sait que le jour où il ne fera plus rire, on le fera mourir. C'est un gladiateur de la vanne, sans cesse à la merci de plus drôle que lui.
Depuis des mois, à l'instar de nombreux Français, je ne regarde plus On n'est pas couché sur France 2. Le grand problème, quand on est invité à cette émission, c'est qu'on doit la voir du début à la fin. C'est un supplice télévisuel d'une violence rare, infligé chaque semaine à un certain nombre d'artistes en quête d'irrespectabilité. L'animateur siège sur son trône, l'autre nom que donnait mon père Gabriel Besson (1908-1989) aux WC. Alignés au-dessous de lui tels les élèves d'un professeur de rien, on trouve des invités soumis et des chroniqueurs dociles. Les uns viennent vendre leur salade, les autres gagner leur peine. C'est un florilège de banalités et de redondances qui dure trois heures. Ruquier les saupoudre de remarques finaudes et de commentaires vachards, quitte à montrer parfois une mansuétude souveraine quand l'un des invités lui semble trop malmené par un chroniqueur. Il a la cruauté chagrine des despotes, qu'émeut la vue de trop de sang.
Pauvre Catherine Barma, la productrice d'ONPC, qui se croit la reine de Paris alors que tout ce que la vie lui a laissé, c'est une oreillette : celle que porte Laurent pendant l'enregistrement de l'émission. De la régie, cette marionnettiste fatiguée ordonne d'interrompre un rappeur, pousse à brutaliser un auteur, demande la tolérance zéro pour un philosophe et l'indulgence pour un homme politique. Elle est la Brinvilliers du samedi soir qui apporte son poison hebdomadaire à un Louis XIV auquel les audiences en berne commencent à donner le bourdon.
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Avec un présentateur et son rire idiot qui était là pour vendre sa marchandise en essayant de faire rarement de bon mot car plutôt insipide qu’il croyait être drôle !

Le tout teinté de bobos intellectuels de bas étage inutile, là, pour occuper leur temps et qu’on parle d’eux, même si c’est pour les dénigrer, car un peu masochistes, mais qui passent à la télé bien sûr alors..!

Le seul avantage c’est que son émission passait tard comme le dit son titre ONPC (« on n’est pas couché ») peut être bon pour des insomniaques !

Du « pipi de chat » rien d’autre : 3 heures de bla-bla creux inintéressants !

Il était temps que cela cesse, car les téléspectateurs ont droit à mieux !


Jdeclef 28/01/2018 14h00 LP

Pitoyable parti de droite LR qui n'a rien compris des français qui en ont marre de ces querelles de pseudo leader qui se frittent comme des gamins dans une cour d’école !

Wauquiez-Pécresse : scène de ménage entre Républicains

Le conseil national du parti a eu lieu ce samedi à la Mutualité dans une ambiance houleuse alors que les partisans de Pécresse ruent dans les brancards.


« Il y a deux droites, mais elles sont réconciliables. » La déclaration de Valérie Pécresse n'a pas plu à Laurent Wauquiez, le patron de LR, dont la réponse a cinglé : « Il n'y a qu'une seule droite. » Ce désaccord s'est affiché ce samedi de la Mutualité à Paris, où le parti se réunissait en conseil national. Une réunion plutôt tendue. Certes, le conseil national a approuvé la « candidature » de Libres !, le mouvement de Mme Pécresse, comme « mouvement associé » de LR, mais la présidente du conseil régional d'Île-de-France s'est fait copieusement huer.
« Je pense qu'il y a deux droites » et « nous ne regagnerons que si elles savent s'écouter, se parler », a expliqué Valérie Pécresse. « Il y a une droite un peu plus conservatrice et une droite un peu plus progressiste, une droite un peu plus protectionniste et une droite plus ouverte, une droite qui, face à l'élection présidentielle, a appelé à voter pour (Emmanuel) Macron et une autre qui ne l'a pas fait », a poursuivi l'ancienne ministre sous les sifflets. « Les sifflets, on a beaucoup donné cette année, ça ne nous a menés nulle part. Si je suis là, c'est parce que j'ai la conviction que ces droites sont réconciliables », a-t-elle lancé.

Une ambiance houleuse

Alors que son discours est prévu en clôture de l'après-midi, Laurent Wauquiez est monté sur scène juste après Mme Pécresse. « Il n'y a qu'une seule droite », a-t-il répliqué, assurant qu'il ne laisserait « aucune chapelle ni aucune écurie détruire (leur) famille politique ».
Les huées avaient commencé dès l'entrée de Valérie Pécresse dans la salle. Il faut dire qu'elle est apparue alors que Jean Leonetti, président du conseil national, discourait à la tribune et qu'il s'en est montré visiblement agacé. Cet accueil houleux a poussé Laurent Wauquiez à intervenir pour calmer les esprits.
Certains des proches de Mme Pécresse ont également manifesté leur mécontentement après l'annonce de la composition du nouveau bureau politique du parti, qui ferait la part trop belle au président.
S'il n'y a qu'une seule droite, là voilà en ordre très dispersé... La preuve : lorsque Wauquiez est revenu à la tribune pour clore la journée, Valérie Pécresse a préféré claquer la porte...
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Les chapelles politiques les français n’en veulent plus et L.WAUQUIEZ  même s’il a été élu par les militants à la tête du parti ne fait pas consensus !

Et il fait partie de ces anciens politiciens dont les français ne veulent plus tout comme V.PECRESSE et lors des primaires LR pour la présidentielle qu’ils avaient déjà rejetés avec les anciens et en plus l’avatar FILLON après qui a capoté et là plus personne même pas SARKOZY n’avait su rassembler ce parti au nouveau nom LR !

Et malgré ce que dit L.WAUQUIEZ il n’y a pas une seule droite puisqu’on reprend les anciens qui restent, car les français voulaient le changement à droite comme à gauche !

Pour la gauche PS les carottes sont cuites et il n’y aura aucun miracle et en plus c’est l’ancien parti de l’ex gouvernement HOLLANDE idem pour MELENCHON et sa France insoumise ou même M.LE PEN et le FN !

Quant à la droite si elle continue sur le même chemin, ce sera pareil et si elle ne comprend pas que c’est LREM qu’il faut battre et personne d’autres et vraiment s’unir car les électeurs ne veulent plus de ces querelles de clochers ou d’égo démesurés car pour l’instant à part essayer de se faire une place ils ne proposent rien !

Cela ne renforcera que le parti du président de la république, car lui, même si cela ne plait pas à tout le monde, avance et travaille pour l’instant !

Il faut que ces anciens partis ringards de cette ancienne politique se rénovent de la cave au plafond, s’ils veulent survivre et cessent de prendre les français pour des imbéciles, car à première vue ils n’ont pas encore compris ?!


Jdeclef 2801/2018 11h35 LP

TRUMP TRUMP ! Mais va-t-on nous fichent la paix avec ce dirigeant mal élevé ?!

« Les mots de Donald Trump sont une matière historique fascinante »

ENTRETIEN. Le journaliste Philippe Corbé analyse la première année de mandat de Donald Trump en se basant sur ses mots. Des armes à double tranchant.


Quand il a débarqué à New York à l'été 2015, Philippe Corbé pensait suivre pour sa radio RTL les aventures « pépères » de Jeff Bush, candidat à l'investiture républicaine, avant d'assister à l'élection logique d'une Hillary Clinton déjà désignée comme première présidente des États-Unis. Le phénomène Donald Trump a bouleversé tous les plans et rendu la couverture de la présidentielle complètement folle. Jeff Bush et Hillary Clinton ont été balayés par la tempête Trump qui, même à la Maison-Blanche, continue de déferler. Le journaliste revient, dans un livre, sur la première année dans le Bureau ovale de l'homme d'affaires. Et s'intéresse d'abord à ses mots. Souvent violents, parfois drôles, toujours surprenants. Ils sont sa force et expliquent, en partie, sa victoire de novembre 2016. Tweets ravageurs, discours destructeurs et esprit moqueur, Donald Trump possède dans son arsenal sémantique autant d'armes qui peuvent faire mal... ou bien se retourner contre lui. Pour preuve, le terme de « fake news » qui lui est souvent accolé a été popularisé par... Donald Trump lui-même, « capable, analyse Philippe Corbé, de résumer un débat qui agite le monde entier, la question de la vérité, en deux mots simples ». Entretien.
Philippe Corbé : C'est un personnage extraordinaire. Le livre fait 350 pages, mais au départ il y avait 850 pages. Pour être honnête, après son élection, je pensais qu'il se normaliserait. Donald Trump avait mené une campagne sur une stratégie du chaos. Je me disais qu'au moment de gouverner, il serait plus modéré. Et dès son premier discours en tant que président investi, à Washington, j'ai été estomaqué par le ton extrêmement sombre employé : « Ce carnage américain prend fin ici et maintenant. » Normalement, l'investiture au Capitole est un moment de rassemblement, d'ouverture et d'espoir. C'était tout le contraire. Le discours était violent. Puis, il y a eu les premiers tweets. Je me suis dit : « Il faut enregistrer cette matière et en faire quelque chose. » Dans trois siècles, quand on analysera notre époque, on se rendra compte que le président de la nation la plus puissante du monde nous a livré quotidiennement ses émotions, ses colères, ses commentaires. C'est une matière historique fascinante. Et ce qui est le plus intéressant, ce sont ses mots, qui sont de véritables répliques de cinéma.
Justement, comment qualifieriez-vous ses mots que vous nommez les « trumpitudes » ?
Exagérés. Enfantins. Percutants. Originaux. Drôles. Créatifs. Il crée des slogans pour tout le monde. Il y a « Rocket Man » pour Kim Jong-un, « Crying Chuck » pour le chef démocrate au Sénat (Chuck Schumer), « Crooked Hillary ». Il crée un monde à part, dont il est le héros, et avec des personnages qu'il combat. Lui est dans le camp des gentils, des gagnants (« winners »). C'est un personnage plus attachant que l'image de « dictateur », plutôt fausse, qu'on veut lui coller. Finalement, il vit encore comme un adolescent, hyperactif, qui voudrait être aimé. Il surjoue le caïd.
Vous citez en ouverture de votre ouvrage cette phrase de l'Ecclésiaste : « Malheur à toi, pays dont le roi est un enfant. » Est-il un vrai enfant ou est-ce plutôt le rôle qu'il s'est choisi ?
Il en joue, c'est certain. Mais ce n'est pas un stratège politique. Il connaît l'efficacité de son personnage, de ses mots, de ses intuitions. Il les utilise en partie pour détourner l'attention. Il sait que, lorsqu'il est en défense, il doit attaquer. Au début du mois de janvier, il a publié 16 tweets en quelques heures. Il y a le fameux tweet sur le « bouton nucléaire », une attaque contre Hillary Clinton et une autre sur l'ex-patron du FBI. Ses mots sont des armes, il sait que ça va nous occuper. La Maison-Blanche a raison de répéter qu'il a été élu pour être ce genre de président et qu'il se doit de secouer le cocotier. Quelquefois, il lit son discours, écrit par un conseiller, et va improviser une formule, plus conforme à sa pensée. C'était le cas lors des événements de Charlottesville. Son discours était équilibré. Puis la presse affirme qu'il ne l'a pas écrit, que c'est l'œuvre d'un conseiller. Ça l'énerve, il improvise et met de l'huile sur le feu. C'est spontané. On peut détester Donald Trump, avoir peur de lui, penser qu'il salit la réputation des États-Unis, mais lui n'est pas corseté par la langue de bois. Sa communication n'est pas testée par des panels... Et puis, nous aurions tort de ne pas l'écouter. Il nous offre sa vérité en permanence. J'aurais adoré savoir ce que Kennedy pensait, au jour le jour, lors de la crise des missiles, ce que Reagan a ressenti quand il a rencontré Gorbatchev ou connaître les pensées de Lincoln lors de la guerre de Sécession. Et là, Donald Trump nous offre, heure par heure, ses émotions à travers ses tweets, ses discours ou ses interventions publiques.
Pour lui, contrairement à ce que disait Talleyrand, le langage n'a pas été inventé pour déguiser sa pensée...
Il s'est créé un monde mental. Quand il dit « fake news » ou « c'est faux, c'est faux », il pense que ce qu'il a dit est vrai. Une interview dans The Wall Street Journal m'a marqué. Il évoque le Brexit, puis glisse sur le référendum pour l'indépendance de l'Écosse, pays de sa mère. Et là, il a cette question : « Qu'est-ce qu'ils feraient avec le British Open s'ils sortent ? Il n'y aurait plus de British Open [un tournoi de golf, NDLR] ? » C'est fascinant…
Le 29 mars, Donald Trump déclare dans un dîner avec des sénateurs : « Personne ne m'a jamais dit que la politique, ce serait aussi amusant. » N'est-ce finalement qu'un jeu pour lui ?
Je pense qu'il ne s'attendait pas à être président et qu'il préférerait être à la Trump Tower et rester le patron. Malgré tout, il a mis un costume de président et il y a des jours où il est content. D'ailleurs, Emmanuel Macron a compris qu'il était fasciné par les attributs du pouvoir : l'invitation du chef de l'État français le 14 juillet sur les Champs-Élysées pour le défilé militaire, il a adoré. Donald Trump l'a dit : il a trouvé un copain. Je pense que c'est une erreur de le traiter comme un personnage politique classique. C'est un personnage extraordinaire et fascinant. Emmanuel Macron et le Premier ministre du Japon l'ont bien compris.
Vous êtes correspondant pour RTL à New York et vous vous déplacez à Washington. Allez-vous à la rencontre de l'Amérique profonde, celle qui a voté Donald Trump ? Comment réagit-elle à ses mots ?
J'étais, il y a 15 jours, en Virginie-Occidentale dans un comté rural, où l'industrie a disparu, la première autoroute est à une heure et demie. Il y a fait 74 % lors de la présidentielle. J'ai rencontré des personnes qui n'ont pas de travail régulier, qui vivent avec de maigres aides sociales, et une dame m'a dit : « On est contents d'avoir voté pour lui. Pour une fois que quelqu'un nous parle. » Donald Trump a su leur parler et donner l'impression à ces gens d'être enfin entendus. Il n'a pas changé la vie de cette dame, mais, pour la première fois depuis trente ans, il y a des postes de mineurs de charbon qui ont été créés. Certes, pas beaucoup (1 200), mais ces emplois existent. Barack Obama parlait très bien, comme un professeur de la côte est. Mais ses mots n'arrivaient pas aux oreilles de cette Amérique blanche oubliée. Ceux de Trump permettent de passer outre les journaux de la côte est. C'est pour eux qu'il gouverne. Il a été élu en étant impopulaire. Je ne vois pas en quoi cet électorat le lâcherait, sauf si la réforme fiscale ne bénéficie pas, un peu, aux classes populaires. Et puis, en face, les démocrates sont perdus et sont encore à contester la légitimité de son élection.
Dans votre ouvrage, vous mettez souvent en avant des phrases de Richard Nixon. Il y a de nombreux points communs entre ces deux hommes : la volonté de parler à « une majorité silencieuse qui ne vocifère pas » (campagne de Nixon en 1968), leur détestation de l'establishment, leur isolement dans le parti et leur haine de la presse (« N'oubliez jamais, la presse est l'ennemie, la presse est l'ennemie », disait Nixon)...
Ils sont presque radicalement opposés. Nixon est un juriste, une carrière politique très longue. Ce n'est pas un néophyte. Dans les mots, c'est quelqu'un qui maniait le verbe de manière efficace. Mais il est vrai que l'on peut effectuer des rapprochements : sur la haine de la presse, des élites, des professeurs et du système politique. Ils ont tous les deux une méfiance de la presse comme contre-pouvoir. Lors de la campagne de 1968, Nixon a choisi des thèmes très sombres et monté les Américains les uns contre les autres. Comme Trump, Nixon nous a offert un accès direct à sa pensée grâce à ses enregistrements. Dernier point commun : les accommodements avec la vérité. Donald Trump a bâti sa fortune et sa réputation dans l'immobilier à New York où, quelquefois, on devait contourner les règles. Il ne comprend pas pourquoi à la Maison-Blanche, il faut suivre des règles. Nixon était un peu comme ça et disait après le Watergate : « Quand le président le fait, cela veut dire que ce n'est pas illégal. »
Ses mots, excessifs parfois, ne servent-ils pas tout le monde ? Lui d'abord, car ils permettent de montrer à ses électeurs qu'il affronte ce qu'il appelle le « deep state », le pays occulte (bureaucratie, FBI, CIA, etc.) et la presse qui, en le combattant, ne s'est jamais aussi bien portée ?
La presse est ravie, car c'est un spectacle permanent gratuit. Donald Trump dit devant ses interlocuteurs que la presse le laissera gagner en 2020, car elle ne voudra pas se passer de lui. « Le magazine Time, qui me traite horriblement, mais évidemment, je fais vendre », a-t-il déclaré justement dans un entretien au Time. Il oblige la presse à se poser des questions sur son travail. Je pense qu'elle est de meilleure qualité aujourd'hui qu'il y a dix ans. On remarque une compétition entre les journalistes, pour savoir qui marquera l'époque Trump. La presse avait du mal à attraper Obama, car il n'y avait pas de scandale, pas d'écart. Elle était frustrée. Les mots de Trump servent à faire tourner tout le monde. Nous, journalistes, traitons essentiellement Trump plutôt que l'Amérique. Un dernier exemple en date : quand a été révélée l'affaire de la « maison de l'horreur », ce fait divers glaçant n'a été traité qu'à la 18e minute sur NBC ! Même un événement aussi incroyable, il arrive à l'occulter.
Lire aussi Trump, une bonne affaire pour la presse américaine
Attention à la lassitude...
C'est l'un des risques. Trump est un tourbillon depuis 2015. Les Américains ne vont-ils pas se lasser de ce coup d'éclat permanent ? Ne vont-ils pas s'épuiser. Et ces « trumpitudes » vont-elles continuer à être si efficaces ?
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Ce personnage hélas dirigeant d’une des plus grandes puissances du monde par la volonté des américains qui l’ont élu !

N’est qu’un aboyeur de foire qui dit tout et son contraire et est comme une girouette au gré du vent politique mondial !

Qui change d’avis comme de chemise, mais qu’il faudra supporter pendant la durée de son mandat !

On n’a pu noter que sa parole n’a pas beaucoup de valeur, depuis qu’il est au pouvoir gonflé d’orgueil comme une baudruche qu’il ne serait pas dure de percer !

C’est un jouisseur qui prend son plaisir dans ses diatribes sur TWITTER !

Mais cela représente bien les USA et son peuple par leurs choix hasardeux de leurs présidents durant ces dernières décennies, ce sont des joueurs invétérés dignes de leur LAS VEGAS capitale du jeu aux USA !

Un pays de risques tout ou l’argent est roi et pourtant ils ont subi la crise de 1929 mais ils oublient vite !


Jdeclef 28/01/2018 10h33 LP