Encore un vieux politicien hargneux et aigri qui a échappé au « dégagisme » mot inventé qu'il prônait en plus ?!

Mélenchon, les faibles d'esprit et les « braves gens »

Le député de Marseille a publié une vidéo sur Facebook. Il réussit l'exploit de se montrer méprisant vis-à-vis à la fois des électeurs et des élus.

Quand Jean-Luc Mélenchon essaie de se mettre à la portée des citoyens lambda, il donne l'impression de s'adresser à des faibles d'esprit, comme en témoigne le message vidéo qu'il a posté sur Facebook pour les électeurs du Territoire de Belfort appelés à s'exprimer lors d'une législative partielle les 28 janvier et 4 février. Le patron de La France insoumise reprend d'abord les fondamentaux : « Une élection partielle, ça veut dire que c'est juste à un endroit, c'est pas tout le monde qui vote ce dimanche-là, et ça veut dire que l'élection précédente a été annulée. » On n'oserait pas s'adresser ainsi à un enfant de 15 ans. « Vous avez de la chance, poursuit-il, parce que vous allez pouvoir vous exprimer sur ce que vous pensez de la situation. » Ah, c'est donc à cela que sert un scrutin !
Puis il cible les députés LREM qui « viennent d'on ne sait pas où… » : « C'est de braves gens, mais qui viennent tous du même milieu, donc, souvent, ne comprennent rien à la vie des gens ordinaires, des gens du commun. » Il les oppose aux députés de La France insoumise, si travailleurs et si « authentiques » : « Vous nous avez vus au boulot, on travaille. On n'est que dix-sept, on a l'impression qu'on est cent. [...] On a été de bons députés, qui ont des métiers comme les vôtres. » Vraiment ? Quel est le métier de Jean-Luc Mélenchon ? Professeur de français ? Il a cessé de l'exercer en 1978, quand il est devenu directeur de cabinet du maire de Massy, dans l'Essonne. Il a été élu sénateur socialiste pour la première fois en 1986, il y a plus de trente ans. Depuis, il a navigué entre les deux assemblées, le conseil général de l'Essonne, un ministère et le Parlement européen. Au plus près, donc, « des gens du commun ».

Le coup du mépris

Ce n'est pourtant pas la première fois que Jean-Luc Mélenchon dit tout le mépris que lui inspirent ses collègues de La République en marche. Il a commencé lors de sa première visite à l'Assemblée nationale : « Les plus grosses surprises ne vont pas venir de la minorité, elles vont venir de la chose majoritaire, parce qu'il y en a qui ne sont au courant de rien. [...] Il y a de braves gens là-dedans, il y a beaucoup de DRH qui ont une conscience sociale assez faible. »

Il avait alors ciblé Cédric Villani d'une manière tout à fait déplaisante : « J'ai vu le matheux, je vais lui expliquer ce qu'est un contrat de travail, il va tomber par terre. Il ne sait pas ce qu'il y a dedans. Il ne sait pas que la journée de huit heures, c'est cent ans de lutte. Le gars croit que ça a toujours été comme ça. » L'intéressé l'avait remis à sa place en deux phrases : « Directeur de l'IHP – Institut Henri Poincaré –, j'en ai vu des contrats de travail... mais c'est toujours un plaisir de recevoir des cours particuliers ! » Ah ! les braves gens…

Encore un triste sire inutile qui se croit indispensable et qui n’a pas digéré sa défaite à l’élection présidentielle, dont il croyait être qualifié au 2eme tour !

Gonflé comme une baudruche, qu’il est facile de percer !

Un « don quichotte » qui se bat contre des moulins à vent, vieux politicien qui a eu la chance d’être élu comme député, ce qui lui permet de survivre grâce à ses diatribes et qui maintenant prend les électeurs français pour des imbéciles, car seul lui détient sa vérité bien sûr !

En fait il n’est pas mieux que l’autre vieux tribun du front national qui s’accroche malgré son grand âge et dont sa propre fille n’a pas su se débarrasser totalement !

Si c’est cela les extrêmes (gauche ou droite) en politique à notre époque dans notre pays, il n’y a rien à craindre, quand à la vieillesse, cela n’arrange pas les politiciens d’ailleurs moi qui suis vieux au vue de ce qui se passe en France je commence vraiment à m’en rendre compte…

Jdeclef 23/01/2018 16h06