mercredi 24 janvier 2018

En fait c'est lui qui s'est mis en prison tout seul par le seul fait d'avoir péroré devant la télévision pour se faire voir et dit qu'il avait hébergé les auteurs de ces attentats qu'il semblait ne pas connaitre selon lui ?!

Le procès très attendu de Jawad Bendaoud s'ouvre ce mercredi

VIDEO. Le « logeur » des djihadistes du 13 novembre, risée de la France après les attentats, est jugé devant le tribunal correctionnel de Paris.

Beaucoup de monde attendu au procès

Parmi les éléments contre lui, son ADN retrouvé sur du scotch utilisé pour confectionner les ceintures explosives des terroristes. Mais il s'en serait servi avant de les accueillir dans son appartement. Jawad Bendaoud a échappé aux assises, les juges d'instruction ont estimé qu'il savait qu'il hébergeait certains auteurs des attentats parisiens mais n'avait pas connaissance de leur projet d'attaques futures dans le quartier de la Défense, près de Paris. Depuis son arrestation, le logeur clame son innocence. « J'ai vu Abaaoud moins de dix minutes. Vous croyez que je suis profiler pour savoir ce qu'il a fait avant d'arriver chez moi », écrivait-il aux magistrats en mars 2016. Il rappelait avoir « consommé de la coke et du shit en quantité » ce jour-là.
Depuis son arrestation, il a comparu à trois reprises devant le tribunal de Bobigny : pour avoir mis le feu à sa cellule, pour trafic de cocaïne et pour avoir insulté et menacé de mort des policiers. Des audiences agitées, durant lesquelles Jawad Bendaoud a laissé éclater sa colère. Les avocats avaient demandé que le procès se déroule à huis clos, à l'abri de la « sphère médiatique ». Cela a été rejeté. Le procès va attirer de nombreux journalistes, mais pas seulement. Entre 300 et 350 parties civiles, dont des victimes des attaques du 13 novembre, sont annoncées. La 16e chambre du tribunal ne suffisant pas, le procès sera retransmis sur écran géant. La salle des criées et celle des pas perdus sont spécialement aménagées. Une tente destinée aux victimes qui souhaiteraient bénéficier d'un soutien psychologique a également été installée.
Jawad Bendaoud, délinquant multirécidiviste déjà condamné en 2008 pour « violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner », encourt six ans de prison. Un de ses proches, Mohamed Soumah, et Youssef Aïtboulahcen, un frère d'Hasna Aïtboulahcen, seront jugés à ses côtés, respectivement pour « recel de malfaiteurs terroristes » et « non-dénonciation de crime terroriste ». Le procès doit durer trois semaines, jusqu'au 14 février.

Beaucoup de monde attendu au procès

Parmi les éléments contre lui, son ADN retrouvé sur du scotch utilisé pour confectionner les ceintures explosives des terroristes. Mais il s'en serait servi avant de les accueillir dans son appartement. Jawad Bendaoud a échappé aux assises, les juges d'instruction ont estimé qu'il savait qu'il hébergeait certains auteurs des attentats parisiens mais n'avait pas connaissance de leur projet d'attaques futures dans le quartier de la Défense, près de Paris. Depuis son arrestation, le logeur clame son innocence. « J'ai vu Abaaoud moins de dix minutes. Vous croyez que je suis profiler pour savoir ce qu'il a fait avant d'arriver chez moi », écrivait-il aux magistrats en mars 2016. Il rappelait avoir « consommé de la coke et du shit en quantité » ce jour-là.
Depuis son arrestation, il a comparu à trois reprises devant le tribunal de Bobigny : pour avoir mis le feu à sa cellule, pour trafic de cocaïne et pour avoir insulté et menacé de mort des policiers. Des audiences agitées, durant lesquelles Jawad Bendaoud a laissé éclater sa colère. Les avocats avaient demandé que le procès se déroule à huis clos, à l'abri de la « sphère médiatique ». Cela a été rejeté. Le procès va attirer de nombreux journalistes, mais pas seulement. Entre 300 et 350 parties civiles, dont des victimes des attaques du 13 novembre, sont annoncées. La 16e chambre du tribunal ne suffisant pas, le procès sera retransmis sur écran géant. La salle des criées et celle des pas perdus sont spécialement aménagées. Une tente destinée aux victimes qui souhaiteraient bénéficier d'un soutien psychologique a également été installée.
Jawad Bendaoud, délinquant multirécidiviste déjà condamné en 2008 pour « violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner », encourt six ans de prison. Un de ses proches, Mohamed Soumah, et Youssef Aïtboulahcen, un frère d'Hasna Aïtboulahcen, seront jugés à ses côtés, respectivement pour « recel de malfaiteurs terroristes » et « non-dénonciation de crime terroriste ». Le procès doit durer trois semaines, jusqu'au 14 février.
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Le comble de la bêtise ou de l'arrogance et ce qui est bien dur de faire avaler aux enquêteurs?!

Il faut néanmoins que ce type de personnage ne manque pas d'air bien que délinquant connu des services de police violent en fait un petit saint que l'on persécute bien sûr pauvre minable et c'est désespérant et intolérable !

Il a beaucoup de chance d’être jugé en France pays des droits de l'homme et qui profite de notre justice souvent magnanime !


Jdeclef 24/01/2018 12h43LP

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