mardi 2 janvier 2018

Oui c'est bien d'avoir arrêté cette criminelle, mais une question habituelle se pose?

La Française Émilie König, « combattante » de Daech, a été arrêtée

La recruteuse bretonne avait quitté la France pour la Syrie, puis été ajoutée par les États-Unis à la liste des terroristes les plus recherchés.


Elle figurait sur la liste noire des « combattants terroristes étrangers ». Émilie König, une Bretonne de 30 ans, était activement recherchée par les services de renseignements américains et internationaux depuis plusieurs années. Elle aurait, selon les informations de RMC , été arrêtée en Syrie par les forces kurdes. Première femme inscrite sur la liste des terroristes internationaux par les États-Unis en octobre 2015, elle avait rejoint la Syrie dès 2012. Depuis cette date, la jeune femme incitait plusieurs de ses proches à commettre des actions violentes sur le territoire français, notamment contre les institutions ou les femmes de soldats français. Elle a également été aperçue dans différentes vidéos de propagande postées sur les réseaux sociaux et faisant l'apologie du djihad armé. En 2013, elle a tenté de revenir en France, pour récupérer ses deux enfants, mais est finalement repartie sans eux, ajoute RMC.
C'est justement à leur intention qu'une vidéo avait été postée sur YouTube le 31 mai 2013, dans laquelle on pouvait apercevoir la terroriste armée d'un fusil, s'entraîner au tir, rapporte Le Parisien. Dans une autre, la Bretonne adresse un message à ses deux enfants : « N'oubliez pas que vous êtes musulmans. Le djihad ne cessera pas aussi longtemps qu'il aura des ennemis à combattre. »

Les femmes et le djihad

Née dans le Morbihan, elle se serait radicalisée au contact de son premier mari, un Algérien inculpé pour trafic de drogue, dans la région de Nantes. Émilie König serait désormais aux mains des Kurdes, enfermée dans un camp de réfugiés. Une dizaine de femmes auraient, comme cette fille de gendarme, été arrêtées ces dernières semaines, d'après les informations de RMC.
En novembre, Emmanuel Macron expliquait que le cas de ces femmes terroristes serait traité « au cas par cas ». En octobre, une mère de famille avait été condamnée à dix ans de prison pour avoir rejoint les rangs de l'organisation État islamique en Syrie, avec ses cinq enfants mineurs.

Oui c'est bien d'avoir arrêté cette criminelle, mais une question habituelle se pose?

Que va-t-on faire d’elle, si elle est expulsée vers la France ?!

Elle n’aime plus la France, elle l’a prouvé alors qu’elle soit jugée par ceux qui l’ont capturé !

Car avec notre justice si compatissante, elle serait trop bien traitée et cela nous coûtera encore de lui aménager une cellule agréable,  et puis il faut la déchoir de sa nationalité française qu’elle ne mérite plus, qu’elle assume ces actes !

Cela nous évitera encore des problèmes !


Jdeclef 02/01/2017 12h56LP

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