Quand des gangs de jeunes s'affrontent dans PARIS capitale d'un pays libre la France c’est grave !?

Paris : marche en mémoire d'un adolescent mort dans une rixe

Le 13 janvier, Hismaël a été tué lors d'un affrontement entre bandes rivales. Des centaines de personnes étaient réunies samedi pour marcher à sa mémoire.

Le silence régnait samedi dans les rues de Paris. Des centaines de personnes se sont réunies dans l'après-midi pour une marche en mémoire d'Hismaël, un adolescent de 15 ans, tué dans une rixe entre bandes rivales le 13 janvier dernier, dans le 11e arrondissement de la capitale. Le garçon a été poignardé dans le quartier de la Roquette où il avait grandi, à quelques mètres de la Maison des jeunes et de la culture où il avait l'habitude de faire du hip-hop et où il participait à des projets collectifs. Samedi, ils étaient donc des centaines à marcher en silence pour lui.
Près de 500 personnes se sont massées devant le local de la MJC avant de gagner, lentement et dans un silence recueilli, le lieu du crime, où fleurs et mots d'amitiés ont été déposés. La famille avait appelé à cette marche pour "un temps de paix et d'amour à la mémoire et à l'image d'Hismaël" pour "retrouver l'apaisement nécessaire à ce vivre ensemble, entre jeunes des quartiers de Paris qui se ressemblent et doivent se rassembler", selon un communiqué.

Une violence inédite

Quatre adolescents de 15 ans ont été mis en examen et écroués mardi notamment pour homicide volontaire et violences aggravées, dans l'enquête sur la rixe entre bandes rivales des 11e et 19e arrondissements de Paris. Dans son quartier, la consternation domine. "On sait qu'il y a des bandes qui défendent leur territoire, mais c'est la première fois qu'on est confronté à une telle violence", a déclaré un éducateur à l'AFP.
Le visage juvénile d'Hismaël, un jeune Noir souriant, coupe en brosse et regard doux, est encore placardé, avec d'autres, sur le mur extérieur de la MJC : "parce qu'il venait tout le temps, on avait tiré son portrait. Ces temps-ci, il venait faire des crêpes et les vendait pour financer un projet pour aller au ski", a expliqué Yves Ben Ayoun, un des animateurs de la MJC. Dans la foule compacte et triste, Madeleine, la cinquantaine, s'est souvenue "d'un gentil gosse" qui jouait avec sa fille. Un adolescent renfrogné, capuche sur la tête, dit lui avoir "perdu un p'tit frère".

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Et qu’il y a un mort ou des blessés, c’est le début de l’anarchie et la montée de cette violence et délinquance que l’on dénonce, mais c’est tout, on ne fait rien d’autre !

Et ce n’est pas des marches blanches (qui n’ont rien de blanche pourquoi les appelle-t-on comme çà d’ailleurs) qui changent quelque chose et que l’on croyait réservé à certains quartiers de zones sensibles de banlieues !

On ne veut pas, de la part de nos gouvernements de tous bords traiter ses problèmes de violences et délinquances avec rigueur, alors on voit les résultats au fils des années depuis trente ans et plus !

On parle aussi de politique de la ville une vaste fumisterie de bien-pensants hypocrites qui ne veulent pas appeler « un chat un chat » tout comme la mairie de PARIS géré par des bobos qui ne veulent pas se rendre compte que certains arrondissements devenant de plus en plus nombreux de la capitale sont aussi gangrénés par une petite voyoucratie diverse, mais bien connue qui disent en plus défendre leur territoire !?

Et on trouve cela normal regardez la photo de cette marche « blanche » comme on l’appelle, la responsabilité en est au préfet de police qui est là pour faire respecter l’ordre et maintenir la sécurité des quartiers de la capitale et pas seulement des plus beaux, mais aussi ceux qu’ont dit populaires !

Quant à la Maire de Paris Mme HIDALGO, elle ne fait que de la politique et si cela lui rapporte pour être réélue !

PARIS enfermé derrière ses périphériques se croyait à l’abri, mais non ce n’est plus le cas !

Désolé, mais il faut bien le dire !

Jdeclef 21/01/2018 14h00 CLP