lundi 29 janvier 2018

MARSEILLE fait encore la une dans l'escalade de la voyoucratie dangereuse !

Marseille : des grenades antichars saisies chez des dealers

INFO LE POINT. C'est une découverte pour le moins inquiétante que viennent de faire des policiers en démantelant un réseau de trafiquants de drogue.

Les policiers de l'antenne de l'Office central pour la répression du trafic illicite des stupéfiants (OCRTIS) de Marseille cherchent toujours à comprendre comment et pour quelles raisons des trafiquants d'une cité du 13e arrondissement de la ville se sont procuré des armes de guerre d'une redoutable puissance.
En investissant un immeuble de la cité du Petit Séminaire, implantée dans les quartiers nord de la ville, le 15 janvier dernier, 150 policiers, mobilisés pour cette vaste opération, ont interpellé 13 personnes soupçonnées de se livrer à un intense trafic de résine et d'herbe de cannabis capable de fournir entre 300 et 400 clients par jour. Deux autres complices ont été arrêtés, ce mercredi 24 janvier. Neuf suspects ont finalement été placés en détention provisoire.
En fouillant plusieurs appartements squattés et servant de lieu de stockage pour la drogue, les enquêteurs de l'OCRTIS ont saisi près de 10 kilos de résine, 150 grammes de marijuana, un fusil d'assaut kalachnikov, un fusil 22 Long-Rifle, un pistolet automatique, plus de 600 munitions et près de 4 000 euros en argent liquide.
Une plantation « en appartement » d'herbe de cannabis en cours de pousse a également été découverte dans un logement.

Armes de guerre

Mais les policiers de l'OCRTIS ont surtout mis la main sur cinq grenades antichars et sept grenades antipersonnel, dissimulées dans un simple sac. Des armes de guerre d'une rare puissance destructrice...
« C'est la première fois que, dans une affaire de stups, on saisit ce genre d'armes à Marseille, confie une source proche de l'affaire. Nous avons établi qu'elles provenaient d'ex-Yougoslavie et qu'elles pouvaient être utilisées avec un fusil d'assaut kalachnikov, équipé d'un adaptateur. En revanche, on ne sait pas ce que les trafiquants envisageaient de faire avec ces grenades. Si vous tirez sur une voiture ou sur quelqu'un, il n'en restera plus que des confettis. Même sur un fourgon blindé, les dégâts seraient considérables. »
En 2016 déjà, la police avait démantelé un premier réseau de trafiquants dans cette cité très délabrée et principalement occupée par des familles de gitans sédentarisés. À l'époque, les enquêteurs avaient saisi un fusil d'assaut kalachnikov et un Famas, fusil d'assaut utilisé par l'armée française.
« Ce plan stups de la cité du Petit Séminaire pouvait rapporter entre 10 000 et 15 000 euros de chiffre d'affaires par jour, estime un enquêteur. Le démantèlement de ce réseau nous a aussi permis de constater que l'herbe de cannabis est de plus en plus consommée et pourrait, à terme, supplanter la résine. »
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Que se passera-t-il quand ces roquettes anti char seront utilisées contre des blindés de la police ou forces de l’ordre diverses !?

Il ne se passe une semaine ou un fait divers (criminel) n’est lieu dans cette ville sclérosée !

Car l'état régalien de notre république a perdu la main dans cette capitale de trafic divers !

Avec un clientélisme avéré de la part de la mairie et de son maire un poussa repu !
Et ce n’est pas aujourd’hui, que l’on laisse faire depuis des décennies sous tous les gouvernements !

Mais le pire, c’est peut être les habitants de la 2eme ville de France qui s’accommodent très bien de cet état de fait (ce qui laisserait supposer que ça devient une tradition presque culturelle ?)

Car l’état ne veut pas faire un grand ménage de la cave au plafond dans ces citées connues (oh bien sûr, il n’y a pas qu’à Marseille, mais là c’est une crise qui perdure depuis plus de 40 ans au moins !!!)

Et puis, il y a moins de problème de terrorisme islamique qu’ailleurs peut-être à cause de cette mafia qui protège ses territoires pour ne pas gêner leurs trafics divers ?!

En fait appelons « un chat un chat » les autorités laisse faire, car ce n’est pas quelque règlements de comptes en malfrats qui s’entretuent qui gêne, alors on surveille et on enquête, mais de loin sans taper dans la fourmilière !

Mr MACRON va mettre sa police de proximité en place « un cautère sur une jambe de bois » dans cette grande ville ou tout le monde fait sa loi, (sauf la police !)


Jdeclef 29/01/2018 10h09LP

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