dimanche 14 janvier 2018

Je ne suis pas toujours d’accords avec le gouvernement ou d’autres avant loin de là !

Loi immigration : « pas question de changer d'orientation », pour Collomb

Dans un entretien au « Parisien », le ministre de l'Intérieur défend son texte, un projet de loi largement décrié par les associations.


Le ministre de l'Intérieur Gérard Collomb a réaffirmé la fermeté du gouvernement sur son projet de loi sur l'immigration, le présentant comme « totalement équilibré » dans un entretien au Parisien dimanche. « C'est un projet de loi totalement équilibré. Il reprend deux grands principes : la France doit accueillir les réfugiés, mais elle ne peut pas accueillir tous les migrants économiques », a estimé le ministre. Interrogé sur la marge de manœuvre laissée aux parlementaires, il souligne qu'il y aura « des possibilités d'amendement ». « Mais il n'est pas question de changer d'orientation. »
Une trentaine d'associations, de la Ligue des droits de l'homme jusqu'à Médecins du monde en passant par Emmaüs et le Secours catholique, avaient dénoncé un texte « déséquilibré » après une réunion jeudi à Matignon sur le sujet. Pour répondre au doublement de la durée de rétention administrative prévue par le texte, Gérard Collomb annonce la création de « 200 places d'ici à la fin du mois de janvier et 200 autres en 2018 ». Au sujet de la circulaire organisant le recensement des migrants dans les centres d'hébergement d'urgence, contestée par des associations qui la dénoncent comme un « tri » et ont saisi le juge des référés du Conseil d'État pour en demander la suspension, le ministre de l'Intérieur a assuré qu'elle serait maintenue. « Cette circulaire a été extrêmement caricaturée, mais elle est assez nuancée », a-t-il dit.

Accueil et contrôle administratif

Par ailleurs, Gérard Collomb a confirmé dans un communiqué « la création de 200 places en centre d'accueil et d'examen des situations (CAES) dans chaque région, soit plus de 2 600 places sur l'ensemble du territoire ». Quelque 1 300 places seront opérationnelles d'ici au 31 janvier, promet le ministre. Avec ces centres, l'Etat développe aujourd'hui des structures couplant accueil et contrôle administratif afin d'orienter ensuite les migrants vers des centres d'hébergement en fonction de leur droit au séjour. Les CAES « permettent une mise à l'abri des migrants qui sont à la rue », assure le ministre. Les CAES existent déjà en Île-de-France et dans le Nord. Après celui de Cergy (Val-d'Oise), un deuxième CAES va ouvrir cette semaine en Île-de-France, à Ris-Orangis (Essonne). Il s'agira du septième au niveau national, explique le ministère.

Mais comme ce sujet sur l'immigration est plus qu'important, il ne faut pas tergiverser comme on l'a fait depuis trente ans (c'est à dire pour ainsi dire, ne rien faire !)

Il faut cesser de céder à ce 2 eme faux pouvoir en filigrane de ces associations de bien-pensants hypocrites empêcheuses de tourner en rond !

Il faut maintenant réguler cette immigration galopante pour le bien de tout le monde migrant et français pauvres, qui en pâtisse indirectement, que l'on n’oublie aussi !

Il faut déterminer avec exactitude le nombre de ces migrants : ceux réguliers demandeurs de droits d’asiles, ceux économiques et ceux déboutés du droit d’asile qu’il faut refouler car on ne peut les garder, et qui bien sûr deviennent irréguliers !

Et il faut augmenter les structures pour ceux que l’on accepte sur le territoire français !

C’est d’ailleurs, ce que demandent nos concitoyens pour la majorité d’entre eux, car ils ont du bon sens, de comprendre qu’on ne peut déjà très difficilement satisfaire ceux de nos ressortissants qui sont déjà dans le besoin à cause du chômage du manque de logement et qui font la queue aux œuvres de charité pour simplement manger à leur faim !

Alors il faut soutenir le ministre de l’intérieur qui n’a pas une tâche facile, mais qui n’est pas là pour plaire à tout le monde et notamment à certains bobos nantis donneurs de leçon, mais qui ne prendrait pas de ces migrants chez eux à part de rare exception !

La France n’est pas un grand pays assez riche pour supporter cela, d’ailleurs les gouvernements quelque soient leurs bords politique pressure bien assez les français depuis des décennies !

D'ailleurs en Europe, c'est pareil car aussi concernée, si elle a des pays plus riches que nous pour accepter plus de migrants qu'ils le fassent, mais même l'Allemagne à compris et Mme MERKEL a dû accepter de diminuer son quota de migrants car son peuple lui a fait comprendre lors de ces dernières élections !


Jdeclef 14/01/2018 17h41LP

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