jeudi 31 décembre 2015

Les informations inutiles en matière de terroristes à spectacles morbides des médias cela suffit !

Société

Assaut à Saint-Denis: Ni Abaaoud ni sa cousine n'ont été touchés par les 5.000 tirs du RAID


POLICE Selon l'autopsie, Abdelhamid Abaaoud n'a pas été touché par les tirs du RAID lors de l'assaut de Saint-Denis...
Étrange révélation concernant l’assaut mené par le RAID à Saint-Denis, le 18 novembre dernier. Quelques jours après les attentats qui ont tué 130 personnes à Paris et Saint-Denis, les forces spéciales assiègent pendant plusieurs heures un appartement d’un immeuble de la rue Corbillon, où est retranché l’un des commanditaires présumés des attaques terroristes, Abdelhamid Abaaoud

Pas de blessure par arme à feu sur le corps d’Abaaoud

Au total, environ 5.000 balles sont tirées, comme l’avait révélé le journal Le Figaro, se basant sur des rapports de police. Or ni Abaaoud, ni sa cousine, Hasna Ait Bouhlacen, également retranchée dans l’appartement fourni par Jawad Bendaoud, n’ont été atteints par les tirs du RAID, révèle ce jeudi Le Monde.
Le journal a eu accès au rapport d’autopsie du djihadiste. Le document indique que la mort d’Abdelhamid Abaaoud est la conséquence de « la mise en œuvre d’un dispositif explosif, le corps ayant subi un effet de blast et de polycriblage notamment par éléments métalliques (boulons) ». Plus étonnant, son corps ne présente pas « de lésions évocatrices de blessures par arme à feu ». Détail intriguant, l’autopsie révèle « un rasage de la jambe droite, contrairement à la jambe gauche ».

Hasna Ait Bouhlacen est morte asphyxiée

La cousine du terroriste n’a pas non plus été touchée par les balles du RAID. Selon le rapport d’autopsie cité par Le Monde, elle est morte « asphyxiée » sous les décombres. L’immeuble était la cible d’un déluge de tirs et le troisième individu à l’intérieur de l’appartement, un complice d’Abaaoud finit par déclencher sa ceinture explosive, provoquant la mort d’Abaaoud et de sa cousine. Le Monde précise que l’ADN de ce kamikaze a été retrouvé dans la Seat qui utilisée par le commando des terrasses.

Les musulmans tués, « des dommages collatéraux »

Autre détail marquant révélé ce jeudi par Le Monde, cette phrase prononcée par Abdelhamid Abaaoud le soir du 15 novembre, alors que sa cousine vient le chercher à Aubervilliers, où il se cache dans un buisson depuis les attentats de Paris et Saint-Denis, pour l’emmener à la planque de Saint-Denis. À une personne qui les accompagne et s’indigne que les attentats ont tué des « innocents » et plus particulièrement des musulmans, Abaaoud rétorque : « C’est des dommages collatéraux, qu’est-ce qui garantit que c’était des bons musulmans ? »

Drogue et alcool

Les terroristes avaient-ils bu ou consommé de l’alcool ? C’est la question qui reste en suspens au regard des éléments révélés par l’enquête à ce jour. Le gérant de la boutique où Salah Abdeslam a acheté un téléphone après les attentats note que « cet homme avait l’air d’avoir bu ou consommé de la drogue. Son visage et ses yeux étaient gonflésIl ressemblait à un des nombreux toxicomanes que l’on rencontre à̀ Château Rouge », rapporte Le Monde.
Un client présent au Comptoir Voltaire lorsque Brahim Abdeslam, frère de Salah, s’est fait exploser a lui aussi témoigné que le kamikaze « avait l’air d’avoir consommé de l’alcool ».Les analyses toxicologies des terroristes permettront sans doute d’éclairer ces témoignages.
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Il est difficile de comprendre et de voir à quoi sert cette information, ces terroristes ont été éliminés le résultat est là, ce n'est pas en critiquant les forces de l'ordre ou d'intervention diverses que cela apportera quelque chose de nouveau !
Il faut que les médias arrêtent enfin de critiquer pour rien, si ce n'est que faire du scoop spectacle sans intérêt !

Ou l’on voit encore V.PLACE, l’opportuniste essayer de se « placer » pour garantir son éventuel avenir..!

Politique

Déchéance de nationalité: Placé favorable à son élargissement à tous les Français


POLEMIQUE «Je trouve incroyables les caricatures que nous entendons, les diatribes, les indignations haut perchées, notamment de la gauche de la gauche, sur cette affaire», a dénoncé le sénateur de l'Essonne...
Il va encore plus loin que l'exécutif. Le sénateur écologiste Jean-Vincent Placé, favorable à l'élargissement de la déchéance de nationalité aux binationaux nés Français proposé par le gouvernement, s'est même dit jeudi pour son application à tous les Français.
«L'idée même de déchéance de nationalité ne me choque pas, c'est un symbole fort que je soutiens», a déclaré le président de l'Union des démocrates et écologistes (UDE) au micro d'Europe 1.
«Je trouve incroyables les caricatures que nous entendons, les diatribes, les indignations haut perchées, notamment de la gauche de la gauche, sur cette affaire», a dénoncé le sénateur de l'Essonne.

«Je sais la difficulté de créer des apatrides»

Commentant l'«argumentation d'amélioration d'égalité» de François Hollande, il a plaidé pour «une mesure qui soit réellement égalitaire pour l'ensemble des Français». «Je souhaite qu'on réfléchisse à étendre, y compris la déchéance de nationalité, aux Français uniquement Français, je sais la difficulté de créer des apatrides, il y a un vrai débat de convention internationale», a-t-il expliqué.
«L'égalité est importante par rapport à la déchéance de nationalité ou à défaut, l'idée qui monte aujourd'hui, qui pourrait être une sortie par le haut, est la question de l'indignité nationale, qui a une belle référence historique, pour tous», a ajouté le sénateur, qui s'est par ailleurs prononcé contre un referendum pour l'adoption du texte.
Déchéance de nationalité: Près de 9 Français sur 10 y seraient favorables
Le projet de réforme constitutionnelle adopté par le Conseil des ministres le 23 décembre, qui prévoit l'inscription de l'état d'urgence et l'élargissement de la déchéance de nationalité aux binationaux nés Français et condamnés pour terrorisme, sera examiné à l'Assemblée à partir du 3 février.
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Ce personnage ferait n'importe quoi pour plaire à F.HOLLANDE et obtenir un éventuel marocain dans un futur gouvernement, il est pitoyable avec ce petit esprit de basse politique qui représente bien certains de ces élus qui ne pensent qu'à eux, et pas aux français !

Pour certains crimes, cela nécessite une sévérité et fermeté sans faille sans états d’âmes, ce qui n’est pas assez le cas en France !

Monde

Un couple britannique condamné à de la prison à vie pour avoir préparé un attentat


GRANDE-BRETAGNE Mohammed Rehman a été arrêté en mai dernier après avoir demandé à ses followers sur Twitter de l’aider à choisir sa cible…
Le couple s’était vanté sur Twitter de projeter des attaques pour les dix ans des attentats de Londres. Les deux jeunes britanniques ont été condamnés ce mercredi à la prison à vie après avoir été reconnu coupable d’avoir projeté un attentat.
Mohammed Rehman, 25 ans, avait été arrêté en mai dernier après avoir demandé aux personnes qui le suivaient sur son compte Twitter, sous le nom de « Silent Bomber » [le poseur de bombe silencieux], de l’aider à choisir sa cible, hésitant entre un centre commercial et le métro londonien.

Il hésitait entre un centre commercial et le métro londonien

La question était accompagnée d’un lien avec un communiqué d’Al-Qaida sur les attentats suicides du 7 juillet 2005 à Londres, au cours desquels quatre kamikazes avaient provoqué la mort de 52 personnes dans les transports en commun.
Au tribunal londonien de l’Old Bailey, Mohammed Rehman et celle qui est aujourd’hui son ex-femme, Sana Ahmed Khan, 24 ans, ont été reconnus coupables mardi par un jury unanime d’avoir préparé un attentat en mai dernier. Ils ont été condamnés mercredi à la prison à vie avec respectivement un minimum de détention de 27 ans et de 25 ans pour la jeune femme.
Le duo est resté sans expression à l’énoncé de la peine.

« La fabrication d’un détonateur n’aurait pas pris plus de quelques jours »

Au moment de la perquisition à leur domicile, les policiers avaient découvert plus de dix kilos d’un produit chimique hautement explosif.
« Compte tenu de ses connaissances préalables, de son expérience et de la disponibilité immédiate de produits chimiques, la fabrication d’un détonateur n’aurait pas pris plus de quelques jours et aurait pu être réalisée bien plus rapidement s’il l’avait voulu », avait souligné le procureur.
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C'est sûr que comparer avec notre justice molle en matière de sanction, cela fait une différence, mais montre que les sanctions bien plus sévères dans les pays anglo/saxons sont bien plus en rapport avec les faits reprochés et peuvent faire réfléchir les auteurs ou ceux qui auraient des idées criminelles de ce type en tête d'agir!
Chez nous, les sanctions appliquées ont quelquefois l'allure d'une "tape sur la main" et cela ne s'est pas amélioré sous l'aire "Taubirienne" partisane de la réinsertion à tout va, des circonstances atténuantes, du bracelet électronique, de l'ouverture des prisons, d’un monde de "bisousnours" ou "tout le monde est beau et gentil" dont hélas on voit l'exemple et le résultat !

Une preuve de l’efficacité de la police scientifique et l’utilisation développée de l’ADN sur les scènes de crimes !

Paris

Viols en forêt de Sénart: L'auteur présumé mis en examen


JUSTICE Confondu par son ADN, cet homme de 40 ans a été présenté à un juge ce mercredi...
Un homme soupçonné d’une trentaine de viols ou tentatives de viols dans la forêt de Sénart (Essonne) entre 1995 et 2000, a été présenté ce mercredi à un juge et mis en examen, a-t-on appris auprès du parquet d'Evry.
Cet homme, arrêté lundi après avoir été confondu par son ADN, a déclaré « ne pas nier les faits mais ne pas s’en rappeler », a précisé le procureur Eric Lallement un peu plus tôt lors d'une conférence de presse.
En France, une plainte pour viol toutes les 40 minutes
La PJ de Versailles travaillait depuis plusieurs mois sur d’anciennes affaires de viols similaires, autour d’un homme qui se dissimulait dans la forêt de Sénart afin d’attaquer des femmes seules et « parfois âgées », selon une source policière, avant de les violer.
Selon des sources policières, l’ADN du suspect concorde avec celui retrouvé sur plusieurs victimes.
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On peut se souvenir que dans le passé, suite à la nouvelle utilisation de l'ADN, plus employé par la police scientifique et la création de fichier répertoriant ceux afférant à des affaires criminelles, cela avait déclenché un tollé général des biens pensants de tous poils et associations diverses qui pollue notre société sous prétexte d'atteinte à la liberté individuelle!
Une fois de plus cela a prouvé son utilité pour résoudre des énigmes criminelles et autres dont des enquêtes difficiles qui n'aboutissaient pas !

Et par la même aussi à innocenter des condamnés à tort, car innocents de crimes commis par d'autres !

mercredi 30 décembre 2015

Belgique base arrière des terroristes islamistes vers la France peut être ? Bien que chez nous ils sont bien implantés aussi !

Montage des terroristes qui ont attaqué Paris le 13 novembre 2015 (belle brochette d’assassins)
Société

Attentats à Paris: Les trois commandos du 13 novembre étaient pilotés depuis la Belgique en temps réel


TERRORISME Les enquêteurs pensent qu’au moins un homme chapeautait les opérations depuis la Belgique…
Le lien entre les attentats du 13 novembre et la Belgique se précise, selon une enquête parue ce mercredi dans Le Monde. D’après le journal, qui a eu accès aux quelque 6.000 procès-verbaux de l’enquête sur les attaques terroristes, les trois commandos qui ont tué 130 personnes à Paris et Saint-Denis étaient coordonnés en temps réel depuis la Belgique.
>> Attentats de Paris : Où en est l’enquête ?

Au moins une personne chapeautait les attentats depuis la Belgique

On savait déjà que les trois commandos terroristes (celui du Stade de France, celui du Bataclan et celui des terrasses) étaient en contact les uns avec les autres le soir du 13 novembre. Mais l’enquête du Monde révèle que l’équipe des terrasses était en contact avec un numéro localisé en Belgique au moment des attaques. L’équipe du Bataclan correspondait avec un autre numéro belge.
Selon Le Monde, ces deux numéros belges « ayant « borné » exactement aux mêmes endroits durant les attaques, les enquêteurs pensent qu’au moins un homme chapeautait les opérations depuis la Belgique. Ce suspect n’a pas encore été identifié ». Selon les rapports d’enquête, le 13 novembre à 21h42, soit deux minutes après que le commando du Bataclan est arrivé devant la salle de concert, un SMS est envoyé depuis un téléphone Samsung, qui sera retrouvé par la police dans une poubelle : « On est parti, on commence ». Ce message a été envoyé à un destinataire en Belgique, une ligne « ouverte au nom de Salah Abdeslam » et « active depuis le 12 novembre à 22 h 24 ». Cette ligne s’est désactivée juste après la réception du texto. Active pendant près de 24 heures, elle n’a été en contact qu’avec le numéro du téléphone Samsung retrouvé dans la poubelle, précise Le Monde.
Une autre ligne belge, qui a contacté Abdelhamid Abaaoud dans la soirée du 13 novembre, a été localisée au même endroit que le destinataire du SMS. C’est ce qui amène les enquêteurs à penser que les attentats de Paris et Saint-Denis ont été coordonnés en direct depuis un même lieu en Belgique, par au moins une personne.
De Saint-Denis au Bataclan, la galaxie des terroristes qui ont frappé la France

Les analyses ADN de deux kamikazes du Bataclan

Ce téléphone Samsung est un élément-clé de l'enquête. Son analyse a permis aux enquêteurs de constater que son propriétaire avait téléchargé la messagerie sécurisée Telegram, le 13 novembre vers 14 heures, avant de rechercher sur Internet des photos et de plans détaillés de la salle du Bataclan, ou des informations sur la programmation des concerts et notamment « Eagles of Death Metal + White Miles au Bataclan ».
Sur le boîtier de l'appareil, les ADN mêlés d’Ismaël Mostefaï et de Foued Mohamed-Aggad, deux des kamikazes du Bataclan, ont été identifiés, précise Le Monde.
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Il semble plus évident qu'il soit plus facile au djihadistes et ses groupuscules terroristes se soient plus développés et implantés en Belgique, de plus les porosités frontalières avec la France, la langue française et  surtout avant les contrôles du a l'état d'urgence facilitait ses infiltrations (Bruxelles, attentat du musée juif, celui du Talys, cette ville de Molenbek semble-t-il infectée par l'islamisme radical etc…)
Toutefois il ne faut pas généraliser le ver est aussi dans le fruit français intérieur au  vue de l'origine des individus de banlieues d'IDF ces terroristes !

Après le succès aux élections régionales des nationalistes corses M.VALLS rêve tout éveillé en gonflant le torse comme « un coq gaulois utopique » !

Politique

Violences à Ajaccio: «L'État ne reculera jamais en Corse», assure Manuel Valls


RÉACTION Manuel Valls revient dans une interview pour le « Parisien » sur les incidents en Corse…
Théâtre de violences et de débordements racistes depuis Noël, le quartier des Jardins de l’Empereur, à Ajaccio, retrouve progressivement le calme. Alors que le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve se déplace ce mercredi sur l’Ile de Beauté pour échanger avec les pompiers et les forces de l’ordre ainsi qu’avec les habitants, Manuel Valls revient sur les incidents pour Le Parisien.
Le Premier ministre est ferme. La Corse n’est pas « une zone de non-droit républicain ». « L’État y est présent et, je m’y engage, l’État ne reculera jamais. Les premières interpellations ont eu lieu ». Et d’assurer : « La réponse de l’État est donc bien là », insistant toutefois sur le fait que l’ordre public devait d’abord être rétabli avant qu’un ministre, notamment Bernard Cazeneuve, puisse se rendre sur place. « C’était la mission du préfet Mirmand, qui a été parfaitement à la hauteur et qui incarne l’État sur l’île. »

« Je ne veux faire aucun procès d’intention »

Jugeant le guet-apens et les « soi-disant représailles racistes » indignes, Manuel Valls refuse d’établir un lien entre la victoire des élus nationalistes aux élections régionales et les actes de ces derniers jours. « Je ne veux faire aucun procès d’intention. Je prends acte que ces faits inadmissibles ont été condamnés avec force par le président du conseil exécutif et le président de l’Assemblée de Corse », souligne-t-il.
Sur la question de la sécurité sur l’île, Manuel Valls affirme que « seuls 5 attentats et 2 tentatives ont été enregistrés », un chiffre « en baisse constante depuis 2013 ». Il se rendra sur place au premier semestre 2016. L’occasion pour lui de souligner le travail accompli.
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Non ! M. VALLS est aveugle ou sourd, l'état recule depuis des décennies devant le problème des corses et de la CORSE (et leurs désirs d'autonomies ou d’indépendance!)
Et ce quelques soit les gouvernements, présidents et 1er ministres de tous bords qui se sont succèdes gauche/droite !

Le mauvais feuilleton sur la déchéance de nationalité continue et le président piégé peut difficilement faire volte-face maintenant !

Société

Déchéance de nationalité: Près de 9 Français sur 10 y seraient favorables


TERRORISME Les deux tiers jugeraient cette mesure compatible avec les valeurs de gauche...
Près de 9 Français sur 10 sont favorables à la déchéance de nationalité pour les binationaux nés Français et condamnés pour terrorisme, les deux tiers jugeant cette mesure compatible avec les valeurs de gauche, selon un sondage Elabe pour BFMTV publié mardi soir.
86 % des Français interrogés se déclarent « tout à fait » ou « plutôt » favorables à cette mesure du projet de réforme constitutionnelle, un chiffre qui atteint 96 % chez les sympathisants des Républicains (LR) et 97 % chez ceux du Front national (FN).
Les sympathisants de la droite et du centre sont en moyenne 93 % à soutenir le projet de l’exécutif, contre 73 % à gauche.

Des disparités à gauche

Ce chiffre masque cependant d’importantes disparités : les sympathisants socialistes sont 83 % à le défendre, contre 59 % seulement des soutiens du Front de gauche (FG) et d’Europe Ecologie-Les Verts (EELV), selon l’étude.
Dans un précédent sondage Elabe pour BFMTV, réalisé les 17 et 18 novembre, soit moins d’une semaine après les attentats de Paris du 13 novembre, 94 % des Français interrogés s’étaient déclarés favorables à cette mesure.
Déchéance de nationalité : « L’exécutif fait preuve de myopie sondagière »
Deux tiers des Français (67 %) et trois quarts des sympathisants socialistes (74 %) estiment par ailleurs que cette mesure qui a créé un profond malaise dans les rangs de la majorité, n’est « pas contraire » aux valeurs de la gauche.
Seuls les sympathisants du Front de gauche sont une majorité (54 %) à estimer qu’elle est « tout à fait » ou « plutôt » contraire à ces valeurs. 66 % des soutiens de la droite et du centre et 59 % de ceux du FN la juge compatible. Enfin, 57 % des Français interrogés souhaitent être consultés par référendum sur la déchéance de nationalité.
Déchéance de nationalité : Pourquoi François Hollande pourrait recourir à un référendum
Le projet de réforme constitutionnelle, adopté par le Conseil des ministres le 23 décembre, sera examiné à l’Assemblée à partir du 3 février. 
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Bien sûr qu'une majorité de français serait pour cette déchéance de la nationalité pour fait de terrorisme, surtout suite aux événements récents de l'année  2015 dans sa totalité !

Mais une fois de plus en France on se demande si les français ont la parole sur bien des problèmes et si surtout c'est les partis politiques et leurs politiciens médiocres qui décident ou gouvernent indirectement le pays tant ceux-ci n'écoutent jamais nos concitoyens !

F.HOLLANDE semble aller à contre-courant de ces politiciens de tous bords en allant dans le sens contraire et se montrant près des français par pure manœuvre politicienne !
Mais s'il faisait un référendum pour ou contre cette mesure (ce qu'il ne fera pas) car le résultat pourrait se retourner contre lui, car bien de nos concitoyens se servirait de celui-ci pour souligner et désavouer sa politique générale depuis le début de son quinquennat !

Il s’est déjà fait piéger tout seul maintenant, il doit assumer cette mini bombe à retardement qu’il a allumé jusqu’au bout en attendant le résultat des consultations des parlementaires aux assemblées nationale/Senat pour finir au congrès ?!

mardi 29 décembre 2015

La déchéance de la nationalité un débat qui part dans tous les sens : sans interet il y a beaucoup plus important que la politque politicienne stérile !

Déchéance de nationalité : Hollande piège Hollande


Le président de la République s'est un peu emballé sur la déchéance de nationalité. Il y renonce. Retour en boomerang après un pilotage à vue...

Le Conseil d'État s'est réuni en assemblée plénière et a débattu, à la demande du gouvernement, de la question de fond : peut-on déchoir de sa nationalité un Français djihadiste ? À l'issue d'une journée de débat, les conseillers d'État se sont prononcés par un vote positif aux deux tiers : la France peut déchoir de leur nationalité des binationaux, y compris ceux nés en France, à condition de réviser la Constitution. François Hollande, qui a subi depuis la pression des écologistes et de nombreux socialistes, préfère enterrer cette révision constitutionnelle, comme vient de l'annoncer Christiane Taubira en déplacement à Alger... « Que l'on apprenne cela de Taubira et à Alger ressemble à une mauvaise farce », réagit Laurent Wauquiez, le numéro deux des Républicains.
Le chef de l'État était dans une situation délicate : s'il suivait l'avis sollicité du Conseil d'État, il rompait avec une tradition de gauche. Il a préféré renouer avec son camp, quitte à sacrifier la « concorde nationale » qu'il arbore depuis les attentats en direction des élus de droite. « Il se renie, vitupère Laurent Wauquiez. On voit ici l'inconstance du président et la faillite idéologique d'une gauche enfermée dans ses visions d'extrême tolérance et d'excuses qui ne sont pas à la hauteur des défis du terrorisme. La déchéance de nationalité était une mesure de bon sens, un minimum. »
Il faut, en effet, se replonger dans l'atmosphère post-attentats pour comprendre dans quels méandres tactiques le président s'est laissé entraîner. Son discours du congrès de Versailles entend prendre la mesure de la gravité de l'attaque terroriste. François Hollande opte pour un discours sécuritaire qui prend la droite au dépourvu. Il annonce, après avoir consulté tous les groupes politiques, ne pas fermer la porte aux propositions de l'opposition dès lors que leur fondement juridique est établi. La déchéance de nationalité pour les djihadistes français binationaux entre dans cette catégorie. Le secrétaire général du gouvernement, Marc Guillaume, saisit donc le Conseil d'État en demandant à celui-ci d'accompagner plutôt favorablement cette mesure...
La première étape vers le retour au seul droit du sang ?
Mais, entre-temps, le climat à gauche a changé. D'abord, l'émotion des attentats s'est éloignée, réveillant les courants droit-de-l'hommistes, d'autant plus que les mesures prises sous l'état d'urgence génèrent des dérapages. Ensuite, les régionales ont montré que la gauche avait mieux résisté que prévu et qu'une fenêtre s'ouvrait avec les écologistes, via Cécile Duflot, pour faire renaître la « gauche plurielle » avant la présidentielle. Bref, pour Hollande, il apparaît nécessaire de donner des gages symboliques. Cécile Duflot a posé ses conditions : la déchéance de nationalité est « plus qu'une ligne rouge », une « faute ». François Hollande y renonce... « Refuser d'inscrire la déchéance de nationalité offre à la droite l'occasion de refuser au passage la révision constitutionnelle sur l'état d'urgence, note-t-on chez Les Républicains. Pourquoi ferait-on ce cadeau à Hollande si lui-même tourne le dos à nos propositions ? » Laurent Wauquiez le confirme officiellement : « Nous ne voterons pas une révision constitutionnelle conçue comme une manoeuvre politicienne et réduite à une baudruche. » Éric Ciotti, député LR des Alpes-Maritimes, souligne pour sa part la « faute » du président Hollande et l'inutilité de la révision constitutionnelle qu'il propose « dès lors que le Conseil constitutionnel vient de déclarer, à l'occasion d'une QPC, la validité juridique des assignations à résidence de la loi de 1955 qu'[ils viennent] de réviser ». Le combat droite-gauche repart de plus belle !
Sur le fond, le débat de la déchéance de nationalité a été passionnant au Conseil d'État. Les lignes de fracture apparues entre juristes ont, quant à elles, dépassé le clivage droite-gauche. La question consistait à définir la nature du droit de la nationalité : est-il attaché à la personne (auquel cas la déchéance publique n'est pas possible) ou bien est-il une prérogative de la collectivité nationale qui peut le conditionner ? Les juristes du Conseil d'État ont clairement pris position : le droit de la nationalité n'appartient pas à la personne. En autorisant sa déchéance, le gouvernement aurait ouvert une brèche énorme dans le droit du sol. « Cela aurait donné un coup d'arrêt à la tentation du repli communautaire de certains concitoyens », note-t-on chez les conseillers d'État favorables à la déchéance. Mais ce serait aussi dévaler une pente qui conduit, au bout de la logique, vers le rétablissement du seul droit du sang que certains réclament à droite... Délicat pour Hollande en phase de précampagne présidentielle.
Quand la politique fait joujou avec la nationalité
Passé le tumulte de la Révolution française (*), la nationalité a connu, à vrai dire, divers régimes dans l'Hexagone. En 1804, elle est restreinte au droit du sang, contre l'avis de Napoléon qui aurait préféré l'élargir au droit du sol de manière à grossir les effectifs de ses armées... C'est du reste pour cette raison – la conscription nationale – que l'acquisition de la nationalité française par le droit du sol a été finalement adoptée le 7 février 1851. Le principe est alors double : droit du sol et droit du sang se conjuguent afin de soumettre aux obligations militaires les étrangers établis en France de longue date et sans esprit de retour dans leur patrie d'origine. Il était toutefois permis aux Français de sol de répudier leur nationalité à leur majorité... Une faculté qui permettait ainsi d'échapper au service militaire. Tant et si bien que la loi du 16 décembre 1874 et la loi du 26 juin 1889 supprimèrent, en deux temps, cette faculté de répudiation. La nationalité n'est donc pas, à cette époque, un débat sur l'identité française mais une manière de capter dans les filets de l'armée de conscription un maximum de jeunes soldats. La défaite de 1871 face aux Prussiens hante le législateur qui prépare la revanche...
Le Code civil définit la nationalité. Mais, en 1927, on retire le droit de la nationalité du Code civil pour le placer dans un texte autonome qui le rend tributaire du droit public. C'est l'État qui reprend la main pour distribuer plus librement la nationalité dans un souci démographique après l'hécatombe de la Grande Guerre. Il s'agit de créer « 100 000 nouveaux Français » par an et se préparer, là encore, à affronter une Allemagne hitlérienne de plus en plus menaçante... Un million de personnes acquièrent la nationalité française entre 1927 et 1939. Le régime de Vichy, lui, s'empare du droit de la nationalité et prend le chemin inverse pour déchoir de la nationalité française 15 000 personnes, dont 6 000 juifs. On entrevoit ici le risque consistant à confier aux pouvoirs publics le soin de définir qui est français et qui ne l'est pas selon la température du moment.
Pour le PS, la « binationalité est une chance »
Il faut attendre 1993 pour que le droit de la nationalité rejoigne de nouveau le Code civil. Il est alors un droit des personnes et instaure la nécessité de faire acte de volonté pour devenir français pour les enfants nés en France de parents étrangers nés à l'étranger. Le droit de la nationalité a depuis connu divers va-et-vient au gré des alternances politiques. En 2011, Manuel Valls préside une mission d'information de l'Assemblée nationale. Le rapport d'information est rédigé par le député UMP Claude Goasguen. Il propose d'extraire les dispositions relatives à la nationalité du Code civil pour les introduire dans un code de la nationalité autonome. Une manière de rappeler que c'est la puissance publique qui décide qui devient citoyen français et qu'il ne s'agit pas d'un droit attaché à la personne.
Le rapport Goasguen contient une contribution du PS qu'il est intéressant de rappeler quatre ans plus tard. La première phrase donne le ton : « Il y a assez de discrimination dans notre pays pour que la République n'en crée de nouvelles. » Un peu plus loin, il est dit : « Ce rapport cherche avant tout à imaginer de nouvelles barrières qui protégeraient la France contre une menace identifiée mais jamais expliquée. [...] En outre, à aucun moment, la bi ou plurinationalité n'est considérée comme une chance, participant à l'enrichissement de la France et à son rayonnement à l'étranger. » Qui, au PS, pouvait imaginer que quatre ans plus tard, sous le fouet de circonstances sanglantes, François Hollande serait le président ayant demandé au Conseil d'État de se prononcer sur la déchéance de nationalité pour les djihadistes français binationaux ? Le Parti socialiste et la stratégie de l'union de la gauche l'ont rattrapé.
(*) Les révolutionnaires accordèrent, par exemple, la nationalité française à George Washington qui n'avait guère résidé en France...
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F.HOLLANDE s'est fait piéger par ses indécisions trop nombreuses depuis le début de son quinquennat pour bien de problèmes se posant à sa gouvernance qui veut jouer au chef de guerre comme il l'a fait pour le Mali ou le terrorisme, mais il confond tout !

Il divise tout le monde les politiciens gauche/droite/vert les intellectuels et bien-pensants qui sont kyrielles dans notre pays etc...

Mais en fait s'est piégé tout seul et ne sait plus comment s'en sortir pour sauver sa réforme constitutionnelle !

Il se base sur l'assentiment des français qui réagissent sous l'émotion des événements terroristes récents, mais cette mesure n'apportera rien pour régler ce problème !

Mais ce n'est pas eux qui votent à nos assemblées, mais leurs élus des partis qu'ils ont élus !

Il fait de la politique politicienne soutenu pour l'instant par son 1er ministre qui obéit mais qui même lui n'y croit pas non plus !
De plus il faut qu'il obtienne la majorité à l'assemblée et au sénat et ensuite au congres lors de sa convocation cela fait beaucoup et attention à C.TAUBIRA qui doit en principe défendre cela à l'assemblée qui pourrait faire en plus capoter ce projet, c'est une épine de plus dans son pied, dont il n'a pas su se débarrasser à temps !

Ce n'est pas fait et cela sent bien un tournant pour son quinquennat déjà médiocre et son éventuelle réélection en 2017 !

"À jouer avec le feu on se brule " !
Jdeclef 29/12/2015 15h23

Il était une fois (de plus) dans le sud-est..?

Société

Bouches-du-Rhône: La mairie de La Ciotat visée par des coups de feu


FAIT DIVERS L'hôtel de ville de La Ciotat a été la cible de plusieurs coups de feu dans la nuit de dimanche à lundi...
Plusieurs tirs d’arme à feu ont visé l’hôtel de ville de La Ciotat (Bouches-du-Rhône) dans la nuit de dimanche à lundi, a-t-on appris de sources concordantes ce lundi.

Le maire a reçu des menaces de mort il y a dix jours

Il y a une dizaine de jours, deux hommes avaient proféré des menaces de mort à l’égard du maire Les Républicains (LR) Patrick Boré, devant son épouse, au domicile du couple, alors que l’édile présidait le conseil municipal. Selon La Provence, il s’agirait des mêmes individus qui ont tiré sur les portes de la mairie.
L’enquête sur les coups de feu a été confiée à la sûreté départementale, déjà en charge des investigations sur les menaces de mort.
Dans un communiqué, Patrick Boré, précise que deux jours après ces menaces, « deux hommes ont tiré à la chevrotine sur la façade du domicile et le véhicule de l’un de (ses) adjoints ». Il a demandé que les « plus hauts représentants de l’Etat (…) déploient tous les moyens dont disposent la police et la justice pour interpeller les auteurs » affirmant que « des pistes sérieuses sont explorées par l’enquête ». La police n’a pas confirmé ces derniers faits.
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Dans le sud est BDR/ Alpes maritimes, on a la « gâchette facile » et on se perd entre terrorisme intérieur ou règlement de compte, mafieux, trafics ou autres qui se produisent tout au long de l'année !

Sur fond de magouillages des élus et politiciens de tous bords !
Ces départements trainent réputation et histoire ancienne que l’on pourrait croire folklorique, si elle n’était pas si dangereuse et hors des lois dont l’état central républicain depuis des décennies n’arrive pas à régler les problèmes !

Encore une tare de notre V eme république obsolète à changer !

lundi 28 décembre 2015

L’exemple parfait d’un état sans pouvoir qui cède à des pseudos écologistes violents qui veulent faire la loi après des émeutes intolérables dans un pays de droit républicain !

Un gendarme sur le site du barrage de Sivens, dans le Tarn, le 6 mars 2015.
Société

Sivens: Le projet de grand barrage définitivement enterré


TARN Le projet de grand barrage à Sivens dans le Tarn a été abandonné et sera remplacé par une retenue d’eau moins ambitieuse…
C’est l’épilogue de deux années de controverses et de manifestations marquées par la mort de Rémi Fraisse, le 26 octobre 2014. Le projet de grand barrage à Sivens a été définitivement abandonné par l’Etat qui va ouvrir des discussions pour une retenue d’eau moins ambitieuse.

Un arrêté signé jeudi

L’arrêté d’abandon de la retenue d’eau de Sivens prévoyant l’abrogation de la déclaration d’intérêt général du projet a été signé jeudi par le préfet du Tarn et son collègue du Tarn et Garonne. Cet arrêté est susceptible d’un recours devant le tribunal administratif de Toulouse, précise le texte.
Pour le président socialiste du Tarn Thierry Carcenac, « c’est un joli cadeau de Noël pour les Tarnais ». Il estime que cette signature va permettre à l’Etat « de dédommager le département » conformément au vote de son assemblée du 11 décembre.

Le département du Tarn touchera 3,4 millions d’euros

L’accord transactionnel prévoit une compensation de 3,4 millions d’euros sur l’abandon du projet. Le département devrait toucher 2,1 millions d’euros en pure perte, plus 1,3 million d’euros pour réhabiliter la zone humide, sur laquelle les travaux avaient débuté et qui avait aussi été occupée par des « zadistes ».
L’annonce de l’abandon officiel du barrage, pourtant annoncé depuis mars dernier, a suscité des critiques. Le député Les Républicains Thierry Mariani a dénoncé « l’art de la lâcheté » de l’Etat, tandis que le sénateur divers-droite du Tarn et Garonne François Bonhomme, a dénoncé un « gâchis », une « capitulation » et un « Noël de la lâcheté ».

Un « Sivens light » ?

Mais d’autres se réjouissent de cette nouvelle, à l’instar du président de l’assemblée départementale et sénateur PS Thierry Carcenac, pour qui cet arrêté va permettre au contraire d’engager les discussions sur la nouvelle retenue d’eau qui va s’inscrire « dans l’un des premiers projets de territoire » voulus par la ministre de l’Environnement Ségolène Royal.
Concernant ce futur projet, « le gouvernement a prévu une méthode de concertation », a déclaré Thierry Carcenac. Cependant, il a rappelé qu’un « choix a déjà été arrêté » et le « besoin d’eau » pour l’agriculture a également été reconnu « par les experts mandatés par le ministère ».
Pour Xavier Beulin, président de la FNSEA, le projet initial de Sivens va être « recalibré » et la profession agricole « attend la réalisation de cet ouvrage pour des questions agricoles et de salubrité ». Déjà baptisée « Sivens light », la nouvelle retenue pourrait être construite en amont et devrait représenter la moitié de l’ancien projet. Les travaux pourraient débuter d’ici deux à trois ans.

Un nouveau projet qui suscite encore des critiques

Ce nouveau projet de barrage est soutenu par les agriculteurs mais combattu par le député européen écologiste José Bové et les zadistes. « Avec l’annulation, on repart sur une page blanche. On peut repenser le débat », a affirmé José Bové qui préconise « plusieurs retenues avec des petits lacs collinaires », « une meilleure utilisation des retenues existantes dans la zone » ou de revoir les types de cultures car « il va y avoir une raréfaction de l’eau ».
Les opposants écologistes veulent encore faire reconnaître « clairement l’illégalité » de la déclaration d’utilité publique et de la dérogation sur les espèces, deux aspects non pris en compte, selon eux, par le récent arrêté. Le Tribunal administratif de Toulouse doit se prononcer en 2016.
Dès son origine, la retenue d’eau de Sivens avait suscité une vive contestation, qui avait atteint son apogée après la mort du militant écologiste Rémi Fraisse, tué en octobre 2014 par une grenade offensive lancée par un gendarme. L’enquête sur son décès est toujours en cours.
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Un fiasco retentissant qui ne satisfera personne et sera encore une preuve de l'autorité républicaine battue en brèche par quelques poignées de pseudo écolos extrémistes violents!

Un camouflet de plus d'un état mal gouverné qui renvoie tout le monde à dos pour rien, si ce n'est ce pauvre manifestant qui s'est laissé entrainer dans cette aventure et qui y a perdu la vie !

Une ministre de plus Ségolene Royal bavarde inutile, changeant de direction comme le vent du moment (ce n'est pas la première fois d'ailleurs à chaque problème qui se présente) mais qui ne résout rien !
Avec cet échec de plus de l'état, cela va renforcer les opposants du même acabit de l'aéroport de Nantes de Notre dame des Landes !

Nous glissons imperceptiblement vers l'anarchie dans notre pays ou tout le monde veut faire sa loi !

Notre V eme république est moribonde, car dirigée par des élus et politiciens médiocres, quand est ce que les français, voudront enfin la changer ?!