Société
Assaut à
Saint-Denis: Ni Abaaoud ni sa cousine n'ont été touchés par les 5.000 tirs du
RAID
POLICE Selon
l'autopsie, Abdelhamid Abaaoud n'a pas été touché par les tirs du RAID lors de
l'assaut de Saint-Denis...
Étrange révélation
concernant l’assaut mené par le RAID à Saint-Denis, le 18 novembre
dernier. Quelques jours après les attentats qui ont tué 130 personnes à
Paris et Saint-Denis, les forces spéciales assiègent pendant
plusieurs heures un appartement d’un immeuble de la rue Corbillon, où est
retranché l’un des commanditaires présumés des attaques terroristes, Abdelhamid
Abaaoud
Pas de blessure par arme à
feu sur le corps d’Abaaoud
Au total, environ
5.000 balles sont tirées, comme l’avait révélé le journal Le Figaro, se
basant sur des rapports de police. Or ni Abaaoud, ni sa cousine, Hasna Ait Bouhlacen, également
retranchée dans l’appartement fourni par Jawad Bendaoud, n’ont été
atteints par les tirs du RAID, révèle ce jeudi Le Monde.Le journal a eu accès au rapport d’autopsie du djihadiste. Le document indique que la mort d’Abdelhamid Abaaoud est la conséquence de « la mise en œuvre d’un dispositif explosif, le corps ayant subi un effet de blast et de polycriblage notamment par éléments métalliques (boulons) ». Plus étonnant, son corps ne présente pas « de lésions évocatrices de blessures par arme à feu ». Détail intriguant, l’autopsie révèle « un rasage de la jambe droite, contrairement à la jambe gauche ».
Hasna Ait Bouhlacen est
morte asphyxiée
La cousine du
terroriste n’a pas non plus été touchée par les balles du RAID. Selon le
rapport d’autopsie cité par Le Monde, elle est morte
« asphyxiée » sous les décombres. L’immeuble était la cible d’un
déluge de tirs et le troisième individu à l’intérieur de l’appartement, un
complice d’Abaaoud finit par déclencher sa ceinture explosive, provoquant
la mort d’Abaaoud et de sa cousine. Le
Monde précise que l’ADN de ce kamikaze a été retrouvé dans
la Seat qui utilisée par le commando des terrasses.
Les musulmans tués,
« des dommages collatéraux »
Autre détail marquant
révélé ce jeudi par Le Monde, cette phrase prononcée par Abdelhamid
Abaaoud le soir du 15 novembre, alors que sa cousine vient le
chercher à Aubervilliers, où il se cache dans un buisson depuis
les attentats de Paris et Saint-Denis, pour l’emmener à la planque de
Saint-Denis. À une personne qui les accompagne et s’indigne
que les attentats ont tué des « innocents » et plus
particulièrement des musulmans, Abaaoud rétorque : « C’est
des dommages collatéraux, qu’est-ce qui garantit que c’était des bons
musulmans ? »
Drogue et alcool
Les terroristes
avaient-ils bu ou consommé de l’alcool ? C’est la question qui reste
en suspens au regard des éléments révélés par l’enquête à ce jour. Le
gérant de la boutique où Salah
Abdeslam a acheté un téléphone après les attentats note que
« cet homme avait l’air d’avoir bu ou consommé de la drogue. Son visage
et ses yeux étaient gonflés. Il
ressemblait à un des nombreux toxicomanes que l’on rencontre à̀ Château
Rouge », rapporte Le Monde.Un client présent au Comptoir Voltaire lorsque Brahim Abdeslam, frère de Salah, s’est fait exploser a lui aussi témoigné que le kamikaze « avait l’air d’avoir consommé de l’alcool ».Les analyses toxicologies des terroristes permettront sans doute d’éclairer ces témoignages.
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Il est difficile de comprendre et de
voir à quoi sert cette information, ces terroristes ont été éliminés le
résultat est là, ce n'est pas en critiquant les forces de l'ordre ou
d'intervention diverses que cela apportera quelque chose de nouveau !
Il faut que les médias arrêtent enfin de
critiquer pour rien, si ce n'est que faire du scoop spectacle sans intérêt !
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