jeudi 10 décembre 2015

Oui il faut écarter les éléments potentiellement dangereux en les empêchant de nuire !

Société

Internement des «fiches S»: Le gouvernement précise pourquoi le conseil d'Etat a été saisi


ATTENTAT La proposition, formulée par la droite, fait débat au sein des rangs de gauche...
Jusqu’où ira le gouvernement dans la lutte contre le terrorisme ? Difficile d’y répondre à la lecture du document soumis par Manuel Valls au Conseil d’Etat et mis en ligne ce mercredi sur le site Lundi MatinLe projet de réforme constitutionnelle, qui vise à inscrire l’état d’urgence et la déchéance de nationalité des binationaux dans la constitution, a été soumis à l’avis de la plus haute juridiction administrative.

Centre de rétention et bracelets électroniques

Au-delà du détail des futurs articles, déjà publiés dans la presse, le texte interroge sur la légalité de trois mesures : le placement en centre de rétention « à titre préventif, de personnes radicalisées, présentant des indices de dangerosité et connues comme telle par les services de police » et de « personnes ayant déjà fait l’objet d’une condamnation à une peine d’emprisonnement pour des actes de terrorisme » et à défaut, le placement des « personnes radicalisées (…) sous surveillance électronique ».
Contacté  le Conseil d’Etat précise qu’il ne divulgue jamais d’informations sur son activité en lien avec le gouvernement, « si des précisions doivent être communiquées, c’est le gouvernement qui s’en chargera lui-même ». Matignon, pour sa part, n’était pas en mesure de répondre à nos sollicitations.

Des mesures proposées par la droite

Ces pistes étudiées par le gouvernement émanent de propositions lancées au lendemain des attaques terroristes du 13 novembre par Laurent Wauquiez et Nicolas Sarkozy.
Je demande le placement dans des centres d’internement des 4.000 personnes fichées pour terrorisme
— laurent wauquiez (@laurentwauquiez) November 14, 2015
 
On imagine aisément l’embarras qui risque de saisir une partie des élus de gauche à la lecture de ce document. Interrogé sur ces propositions, Jean-Jacques Urvoas, député PS et chargé de superviser le contrôle de l’état d’urgence à l’Assemblée Nationale, déclarait alors : « Depuis deux jours, énormément de spécialistes ont des solutions (contre le terrorisme). Parmi eux il n’y a que deux catégories : les marchands d’illusions, et ceux qui proposent un état policier. Je n’en suis pas. Je suis là pour garantir l’État de droit ».
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Il est certain que ce serait mieux, mais il faut créer des places de prison et en plus les isoler en ne les mélangeant pas avec d'autres détenus de droit commun !

En terme plus clair, ouvrir des établissements spécialisés, étant donné le nombre important avancé pour gérer ces cas d'apprentis terroristes ou soupçonnés fortement de l’être ( car assigné à résidence ou sous bracelet électronique c'est inefficace !)

De toute façon étant donné que « le vert est dans le fruit », il faut bien l'extirper d'une façon ou d'une autre !

Ce n'est pas une aliénation de liberté que de se protéger d'individus potentiellement dangereux, les derniers drames vécus en ont été la preuve, en plus certains se moquaient et provoquaient sur les médias divers, sans être inquiété, il faut dorénavant ne plus tolérer de provocation, dérapage, sous prétexte de liberté facile non contrôlée!
« Les messieurs tout le monde » ou français lambda comme on les appelle, ont besoin de redevenir serein dans leur vie quotidienne et de toute façon ne seront pas gêné dans leur liberté habituelle, mais peut être rassurés !

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