Politique
Corse: «Il y
a des lignes rouges qui ne peuvent pas être discutées», affirme Manuel Valls
POLITIQUE Manuel Valls a
contesté les mesures défendues par Gilles Simeoni, nouveau président du Conseil
exécutif de la Collectivité territoriale de Corse...
Le Premier ministre Manuel Valls a averti ce mercredi sur TF1 qu'«il y a des lignes rouges qui ne peuvent pas être discutées» avec le nouvel exécutif corse dirigé par les nationalistes.
«L'amnistie des prisonniers politiques ? Il n'y a pas de prisonniers politiques. La co-officialité [de deux langues, corse et français] ? Il n'y a qu'une seule langue dans la République, c'est le français. Un statut de résident pour les Corses, sur le plan fiscal ? C'est contraire à la République», a énuméré Manuel Valls, contestant des mesures défendues par Gilles Simeoni, nouveau président du Conseil exécutif de la Collectivité territoriale de Corse, après la victoire des nationalistes aux régionales.
«La Corse est dans la France et dans la République et aucun discours, en corse ou en français, ne pourra remettre en question ce lien», a aussi prévenu le chef du gouvernement, faisant allusion au discours en corse du nouveau président de l'Assemblée de l'île, l'indépendantiste Jean-Guy Talamoni. «Je discuterai avec le président de l'exécutif, Gilles Simeoni, sur ce qui était prévu depuis déjà un certain nombre de mois, c'est-à-dire sur la collectivité unique de la Corse. Mais là il y a des lignes rouges qui ne peuvent pas être discutées», a-t-il dit.
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Ces indépendantistes car appelle les-t-on
comme cela on sera plus près de ce qu'ils veulent être sont « un clou sur la fesse » de la
France depuis des lustres !
Ils provoquent sans cesse l'état
républicain français, mais surtout sont un nid à mafioso, alors avec ce
maelstrom politique européen et ce désir d'indépendance qui touche d'autres
régions et pays européens qui font monter l’extrémisme à tout va, cette
nouvelle assemblée corse n'est pas une surprise !
Ceci étant s'ils veulent aller plus loin
que l'on leur donne autonomie ou indépendance mais surtout que l'on arrête
subventions et aides diverses définitivement cela nous fera faire des économies
substantielles !
Organisons un referendum entre corses
iliens, s'ils veulent leur autodétermination, et en fonction du résultat,
il faudra en tirer les conséquences sans état d’âmes !
Cela suffit cela dure depuis trop
longtemps, si les corses n'aiment pas la France, il ne faut pas les forcer !
jdeclef 24/12/2015
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