mardi 8 décembre 2015

Le 1er ministre tellement aveuglé par cet anti FN qui n’est qu’un parti qu’il faut subir dans le monde politique français veut vendre son âme au diable sans combattre !

Élections Régionales

Régionales 2015: Manuel Valls appelle à voter à droite dans trois régions


POLITIQUE Après le premier tour des élections régionales, dimanche, le Premier ministre a réagi aux résultats décevants pour le PS, et au retrait des listes de gauche pour contrer le FN…
Silencieux depuis dimanche soir et le résultat des élections, Manuel Valls est sorti de son silence lundi soir, au JT de TF1. Au lendemain du premier tour des élections régionales, Manuel Valls a annoncé la couleur ce lundi soir. Le Premier ministre a appelé sur le plateau du 20h à TF1 à voter pour la droite en Paca, Nord-Pas-de-Calais-Picardie et Alsace-Lorraine-Champagne-Ardenne. Il a par ailleurs affiché son soutien aux 10 candidats socialistes et radicaux en lice dans les autres régions métropolitaines, affirmant que le PS pourrait s’imposer dans « toutes » ces régions. Détail de ses propos par 20 Minutes

L’appel à voter à droite

« J’assume mes responsabilités, c’est la grande différence entre moi et Nicolas Sarkozy », a tout attaqué Manuel Valls. Face à la stratégie du président du parti Les Républicains, qui refuse tout retrait ou désistement d’une liste de droite au profit de la gauche pour contrer le FN, Manuel Valls tranche : « Il n’y a pas de ni-ni. J’appelle à voter Christian Estrosi face à l’extrême droite, à voter Xavier Bertrand face à l’extrême droite, et Philippe Richert face à l’extrême droite ».
Le Premier ministre a insisté sur la « responsabilité » du retrait de certaines listes de gauche face à la droite pour contrer le FN. « Quand il en va de la République, il faut être désintéressé, il faut être à la hauteur des événements. Quand on aime son pays, on n’hésite pas, on va droit au but et on appelle à voter pour Les Républicains », a affirmé le Premier ministre.

L’appel au candidat PS qui refuse de se retirer en Alsace-Lorraine-Champagne-Ardenne

Manuel Valls a ensuite évoqué Jean-Pierre Masseret, candidat PS dans la région Alsace-Lorraine-Champagne-Ardenne, arrivé en 3e position derrière Florian Philippot (FN) et Philippe Richert (LR-UDI-MoDem). Le socialiste refuse de retirer sa liste pour contrer le FN. Le Premier ministre a alors invoqué la « dignité » : « Dans ces moments-là, il ne faut pas s’accrocher, il faut être digne, à la hauteur de l’enjeu : conforter la République. » « Donc il ne faut pas hésiter », a-t-il adressé à Jean-Pierre Masseret. Quant à retirer éventuellement l’investiture à Jean-Pierre Masseret, Manuel Valls a expliqué que « c’est le rôle du parti ».

La dramatisation de l’enjeu

A plusieurs reprises, Manuel Valls a insisté sur le « moment historique » de ces élections : « Nous vivons dans un moment particulièrement grave, historique. Nous sommes en guerre, nous faisons face à une menace terroriste. Cette menace existe toujours », a-t-il expliqué. Il a par ailleurs expliqué : « J’entends depuis longtemps la colère, les angoisses des Français sur le chômage, l’exclusion, mais je ne suis pas venu ici ce soir pour m’excuser. Déjà parce qu’il y a deux tours. » « Sur 10 régions, je suis venu soutenir tous les candidats qui peuvent l’emporter », a-t-il encore ajouté.
 Les jeunes électeurs préfèrent le FN… depuis les années 2000

La critique de l’extrême droite et la vision de la République

Manuel Valls s'est lancé dans une définition de la République, selon lui: « Il y a deux conceptions de la République et de la France. Celle exigeante (…) du rassemblement. Et puis il y a celle étriquée de l’extrême droite. L’extrême droite divise les Français, elle veut les jeter les uns contre les autres. Dimanche il va falloir choisir entre ces deux visions », a-t-il professé.
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Il faut arrêter avec cette peur viscérale incontrôlée du vilain FN distillée par les « 2 » grands partis LR/PS qui ne sont pas des saints pour autant et laisser les français voter comme ils le désirent, ils en ont marre des donneurs de leçons de tous poils ( qui magouillent et roulent nos concitoyens depuis des décennies par les mensonges de leurs élus de tous bords !)
Rejouer le syndrome de la présidentielle de 2002 par peur et faire comme le demande le 1er ministre et laisser aucun conseillers de gauche siéger et être absent des assemblées des régions en ballotage défavorable et ce pendant 6 ans, c’est de la lâcheté !

Dans ce cas plutôt que d’enlever les listes PS la tête basse, il vaut mieux s’abstenir que de fuir sans combattre !

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