Sur internet, la propagande de l'organisation État
islamique.
Société
L'Éducation
nationale recense 857 élèves en voie de radicalisation sur l'année 2014 Les équipes éducatives sont plus attentives au faisceau
d’indices qui laisse penser qu’un jeune est sous emprise mentale…
Plus question de passer
sous silence une vérité qui dérange. Selon nos informations, l’Éducation
nationale a recensé 857 cas de suspicion de
radicalisation chez des élèves de 27 académies (sur 30) pour l’année
scolaire 2014-2015. Ces cas concernent surtout des collégiens ou des lycéens de
grosses académies, comme Créteil, Versailles, Marseille ou Grenoble. Un chiffre
qui peut sembler alarmant, mais qui est à relativiser au regard des 5,5
millions de collégiens et de lycéens français.
« Grille de décryptage
des comportements inquiétants »
Il reflète surtout la
plus grande vigilance de la rue de Grenelle par rapport à ce phénomène.
Quelques jours après les attentats de janvier 2015, le ministère a ainsi
diffusé un livret intitulé Prévenir
la radicalisation des jeunes à l’usage des équipes éducatives. Une sorte
de guide pratique leur permettant de repérer les signes d’une radicalisation en
cour d’un élève. « On leur demande d’être attentifs à tous les signes
d’une rupture brutale et significative chez l’élève, qu’il s’agisse d’une
rupture relationnelle ou dans les apprentissages », explique-t-on au
ministère.Et l’outil semble être efficace à en croire Céline Rigaud, chargée de la laïcité au SE-UNSA : « Les équipes disposent désormais d’une grille de décryptage des comportements inquiétants qui, lorsqu’ils se cumulent, peuvent clairement montrer qu’un élève est en train de basculer. Cela permet de distinguer ce qui tient de la provocation, propre à l’âge adolescent et de l’endoctrinement », explique-t-elle.
« La France est le premier pays d’Europe visé pour le recrutement d’apprentis djihadistes »
Des équipes éducatives plus
vigilantes
« Nous sommes
par exemple, attentifs aux élèves ayant un nouveau comportement alimentaire et
vestimentaire combiné par exemple, avec un changement de comportement vis-à-vis
des femmes, une contestation systématique de certains enseignements (notamment
en histoire, science de la vie et de la terre), des positions doctrinaires qui
empêchent toute ouverture d’esprit, des discours de rejet de la société
occidentale, un soudain intérêt pour la religion… », énumère Michel
Richard, secrétaire général adjoint du SNPDEN (Syndicat national des personnels
de direction de l’éducation nationale).Les équipes éducatives prêtent aussi davantage l’oreille aux témoignages des camarades qui révèlent un discours de haine d’un élève sur les réseaux sociaux ou le fait qu’il fréquente des sites djihadistes. L’inquiétude des familles qui alertent parfois le chef d’établissement, est aussi mieux prise en compte depuis un an. Et si certains enseignants se montraient au départ réfractaires à l’idée de signaler des attitudes inquiétantes, le pas semble désormais être franchi : « ils ont compris qu’il ne s’agissait pas de délation, mais de prévention et de protection des mineurs », affirme Michel Richard.
La réinsertion au bout du
chemin
Chaque académie
dispose aussi désormais d’un référent « radicalisation », à qui les
chefs d’établissement font remonter les informations. Lorsque les signaux
inquiétants concernant un jeune se confirment, ce dernier prévient une
cellule préfectorale de suivi pour la prévention de la radicalisation et
l’accompagnement des familles, mise en place depuis près d’un an.« Ces structures travaillent sur les solutions pour amener ces jeunes à sortir de l’embrigadement, en mettant en place un accompagnement personnalisé », précise le ministère. Pas question d’exclure les élèves en voie de radicalisation de leur établissement. La démarche est au contraire de les réinsérer, en faisant intervenir à la fois le chef d’établissement, une assistante sociale, un éducateur, une association d’aide à la parentalité… Une prise en charge globale qui fonctionne, car la plupart des élèves prêts à déraper, retrouvent finalement la voie de la raison.
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Des questions évidentes ce posent :
Comment a-t-on déterminé ce chiffre fort
important dans des écoles laïques de la république ?
Qu'a-t-on fait pour endiguer le
problème, rien, on a préféré le taire ou le cacher ?!
Depuis ce quinquennat et celui d'avant,
on a caché ce que l'on savait déjà, nos gouvernants ne voulaient pas faire de
vagues, comble de l'hypocrisie pour ne pas froisser les musulmans, les travers
et consonance de cette religion hégémonique dont même le fait d'en parler était
mal vu !
Sous prétexte de laïcité pour tous et de
droit de l'homme et ceux qui se servent de cette religion et ignorant, pour
fomenter des actes barbares qui ne s'embarrassent pas d'états d’âmes !
Et on n’a pas appliqué ou peu des lois
existantes contre les écarts envers la laïcité et dans le domaine public, sous
prétexte d’éviter des désordres divers !
Que l’on ne s’étonne pas de la
dégradation de notre société et d’une partie de notre jeunesse par un
laisser-aller sans contrôle depuis plus de trente ans, toléré par des
gouvernements et dirigeants quelques soient leur bords politique qui ont
pratiqué la politique de l’autruche !
On récolte ce que l’on a semé
indirectement !
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