Finies les polémiques, l'Assemblée nationale impose un code
vestimentaire
Après les récents esclandres vestimentaires de certains
députés, l'Assemblée nationale va fixer ses règles, selon les informations du
« Parisien ».
En cause, les esclandres des parlementaires de La France insoumise et notamment l'apparition à la tribune de l'hémicycle du député François Ruffin vêtu d'un maillot de football. Ce qui n'avait pas plu au président de séance Hugues Renson (LREM) qui lui avait rappelé « le respect dû à nos débats qui implique une tenue correcte qui soit digne des lieux ». Et d'ajouter : « Vos extravagances vestimentaires ne rendent pas hommage au travail que nous devons mener dans cet hémicycle. »
Un événement qui a eu un large retentissement, poussant François de Rugy à réagir. Le mercredi 20 décembre avait été voté un texte en ce sens à l'issue d'une réunion du bureau de l'Assemblée. Depuis, la tenue des députés ne peut plus être « prétexte à la manifestation de l'expression d'une opinion », comme le souligne le communiqué alors diffusé par le bureau de l'Assemblée. L'élu de la Somme avait reçu un « rappel à l'ordre avec inscription au procès-verbal », et avait été sommé de verser 1 378 euros, soit le quart de son indemnité parlementaire mensuelle.
Que
pourront porter les députés ?
Au
Palais-Bourbon, il n'est cependant pas question de revenir sur la dispense de
cravate. En juillet dernier, le bureau de l'Assemblée avait officiellement autorisé les élus à siéger sans veste ni cravate,
expliquant qu'« aucune disposition du règlement » ne concernait leur
tenue. Il avait été toutefois précisé qu'un député se devait « d'avoir en
toutes circonstances une tenue respectueuse des lieux ». Et par tenue
respectueuse, François de Rugy entend supprimer toutes celles qui pourraient manifester
une quelconque opinion.Selon Le Parisien, le président de l'hémicycle souhaite interdire « tout signe religieux et toute tenue vestimentaire caractéristique d'une activité professionnelle, sportive ou autre, ou inspirée d'un uniforme ou comportant des emblèmes ou messages publicitaires ». Pour les femmes, aucune mesure ne semble pour l'heure envisagée. De plus, l'utilisation d'objets, de pancartes, de documents ou d'instruments divers pouvant causer « certaines dérives » est également proscrite, ajoute Le Parisien. Une mesure qui fait référence au fameux panier de courses à cinq euros brandi par les députés de La France insoumise pour dénoncer la baisse des APL du même montant.
--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Et
qui ne mériteraient même pas d’être élus par les français qui pour la majorité
d’entre eux ne les connaissaient même pas, quand ils ont votés ?!
Mais
peut-être, ce qui est pire c’est que ce n’est pas forcement chez les novices
nouvellement élus que l’on voit ces comportements, mais chez d’anciens députés
chevronnés qui se croient peut être tout permis ?!
Qui
ne sont même pas capables de respecter les règlements de cette assemblée par
leurs tenues ou comportements inconvenants, voire même impolis ou insultants
pour certains envers les autres et notamment vers les femmes qui y siègent
comme eux !
Il
n’y a qu’à assister aux réunions publiques, pour s’en rendre compte ce n’est
pas nouveau, et certains de ces messieurs que l’on paie grassement sur nos
deniers, jouent les donneurs de leçons en plus !
Bel
exemple pour notre jeunesse puisque nos élus qui décident de nos lois ce
comportent comme des trublions qu’ils vaudraient mieux sanctionner, voire
exclure pour certains !
D’autres
diraient que cela représente notre société que se dégrade en valeurs morales et
respects des autres, pas totalement faux et c’est bien dommage !
Jdeclef
19/01/2018 10h55 LP
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire