Adama
Traoré : la famille accuse un témoin clé de « faux témoignage »
L'homme
chez qui la victime s'était réfugiée juste avant son arrestation est accusé
d'avoir fourni des déclarations « incohérentes » et
« contradictoires ».
Le dossier s'épaissit. La famille d'Adama Traoré a annoncé jeudi
16 juillet le dépôt d'une plainte au parquet de Paris pour
« témoignage mensonger » contre un témoin clé dans l'enquête sur la
mort de cet homme en 2016 après une interpellation, au vu de ses
déclarations qualifiées d'« incohérentes, contradictoires et
évolutives ». Ce témoin, chez qui Adama Traoré s'était réfugié le
19 juillet 2016 à Beaumont-sur-Oise (Val-d'Oise) juste avant son
arrestation par les gendarmes, a été entendu une première fois le 1er août 2016 par
les gendarmes de l'Inspection générale de la gendarmerie nationale (IGGN), puis
tout récemment, le 2 juillet, par les juges d'instruction, en présence des
avocats de la famille et de la défense.Ce récent interrogatoire visait à déterminer dans quel état de santé se trouvait Adama Traoré avant l'arrivée des gendarmes alors que les derniers experts judiciaires, contestés par les médecins de la famille, ont estimé que son pronostic vital était « engagé de façon irréversible » avant l'arrestation. Dans la plainte consultée par l'Agence France-Presse, maître Yassine Bouzrou, l'avocat de la famille, pointe que le témoin avait le 1er août 2016 qualifié Adama Traoré d'« homme essoufflé » qui n'« arrivait pas à parler » et « respirait bruyamment ».
« Je vais mourir »
Quatre ans plus tard, le 2 juillet, ce témoin se demande si
les « gendarmes ont mal » compris ses propos d'août 2016, car,
pour lui, Adama Traoré « n'a pas fait de bruit » lorsqu'il était
sur le seuil de son appartement. Le témoin est toutefois formel sur l'état de
santé de l'homme : « Il n'était pas bien du tout, ça, je vous le
garantis », souligne cette plainte en reprenant les propos de l'interrogatoire.
Interrogé également le 2 juillet sur d'autres propos qu'il aurait tenus en
juin auprès de policiers venus lui remettre la convocation à l'audition, et
auxquels il aurait dit qu'Adama Traoré « allait bien », le témoin
conteste : « Ça fait quatre ans que je dis qu'il n'était pas bien,
et là, (les policiers) me font dire qu'il allait bien. »
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Car comme
nous sommes dans un état de droit en France et ils ont beaucoup de chance que
notre justice ne soit pas à la hauteur et incapable de juger définitivement ce
fait divers issu de délinquance ordinaire qui hélas c'est terminé par le décès
d'un membre de cette famille nombreuse !
Mais ce qui
est lamentable c'est que cette affaire attisée par ce clan franco/malien a déclenché
des manifestations de français lambda tant la présentation des faits étaient
instrumentés à dessein et qui en plus ont surfé sur une affaire US d’une afro
américain tué par la police qu’il juge similaire !
Si cette
communauté ne supporte pas le pays qui les a hébergés pourquoi émigrent t’ils
en France qu’ils restent dans leurs pays ?!
Ce n’est pas
comme cela qu’ils s'intégreront parmi les français et qu’ils arrêtent de crier
au racisme car dans ce cas ou d’autres similaires c’est bien trop facile car nos
justices et surtout nos gouvernements de bienpensant les protègent bien assez
essayant de les accueillir (même ceux entrés irrégulièrement !)
La vox
populi (voix du peuple) et la loi ne se fait pas dans la rue sinon c'est
l'anarchie !
Jdeclef 17/07/2020
11h30LP
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