dimanche 14 août 2022

E.PHILIPPE et E.BORNE 2 dirigeants ou (ex) mous des genoux qui ne trouvent rien de mieux et qui ne font que de la petite politique politicienne étriquée de bas étage !

 

Michel Richard – 110 km/h sur autoroute : Borne sur les pas de Philippe ?

CHRONIQUE. La moitié des départements français sont revenus au 90 km/h sur leurs routes secondaires. La question de la vitesse sur autoroute est tout aussi épineuse.

DE TOUTE FACON IMPOSSIBLE DE CHANGER QUOI QUE SOIT QUAND ON TOUCHE A LA SACRO SAINTE VOITURE BIEN QUE LE GOUVERNEMENT VIENT DE LEUR FAIRE AVALER COMME DES GOGOS UNE PURGE À TERME LA VOITURE ELECTRIQUE ET SES BATTERIES PEU FIABLES A RECHARGER TOUT LE 350 KM EN MOYENNE COMME LEURS SMARTPHONES ET QU’ILS ACHETENT PLUS CHERS (MAIS EN LEASING …!) TOUJOURS EN METTANT LA CHARRUE AVANT LES BŒUFS !

Pas touche à la voiture ! C'est un produit politiquement très inflammable. Tout ce qui la concerne – taxes, contrôle technique, vignette et amendes – est observé par les Français avec la plus grande des circonspections, sinon un maximum de soupçons. Et la vitesse, donc ! Ou plutôt les limitations de vitesse. Les aggraver passe aussitôt pour une atteinte à la liberté individuelle dont seul peut se rendre coupable un État autoritaire, central, ignorant tout de la vraie vie de la vraie France.

Le premier gouvernement d'Emmanuel Macron, en 2018, a payé cher, très cher, de s'être affranchi de toute précaution quand il a décidé de passer de 90 à 80 km/h la vitesse sur les routes secondaires sans séparateur central. Le coupable était Édouard Philippe que seule animait la volonté de diminuer la mortalité routière. Noble cause, sans nul doute, mais dégâts tout-terrain. La mesure, tombée des cintres de Matignon, met la France en rogne. Rurale, mais pas seulement. Jacqueries et Gilets jaunes se nourrissent de cet ukase étatique. Qu'est-ce qu'il y connaît, ce Philippe, des trajets quotidiens en Ardèche ? De quel droit sa grande cause décrétée s'impose-t-elle à nos vies ?

Emmanuel Macron y voit une « connerie », mais ne désavoue pas son Premier ministre. Tout de même : une loi de décembre 2019 permet aux départements de revenir sur ce fâcheux 80 km/h, moyennant la saisie motivée d'une commission de sécurité routière.

À notre connaissance, Édouard Philippe n’a pas commenté. En bon juppéiste, il persiste sans rien regretter.

Nous y sommes. Et le verdict est… qu'au 1er septembre, 45 départements, soit la moitié, reviendront au 90 km/h sur leurs réseaux routiers respectifs, soit partiellement (38), soit totalement (7). À notre connaissance, Édouard Philippe n'a pas commenté. En bon juppéiste, il persiste sans rien regretter. Ça se défend. Mais l'affaire est instructive. Une fable, en réalité, où s'entremêlent les questions sur une bonne gouvernance, le conflit entre vie quotidienne et grand principe, et le rôle des élus locaux.

90 km/h : la révolte des oubliés de la République

Le premier péché d'Édouard Philippe est d'avoir pris une décision sans avoir consulté les élus, les premiers concernés, en première ligne des colères. Les voilà qui se disent oubliés, humiliés par un pouvoir central aveugle et sourd, oubliant juste qu'Édouard Philippe est tout aussi provincial qu'eux, ce qui ne l'absout pas.

À l'appui de leurs décisions, les élus ne se veulent pas irresponsables ni indifférents aux zones dangereuses. Mais leurs motifs sont prosaïques : « mesure de bon sens », « absence de transport en commun alternatif à la voiture », « harmonisation par rapport au département voisin », « mesure venue d'en haut », « dix minutes de gagnées sur un trajet », « laisser respirer les ruraux »… L'accidentologie chère à Philippe leur paraît être un aléa trop cher payé par rapport au reste.

Questions gênantes

À partir de quand un État abuse-t-il de sa coercition ? Les élus locaux sont-ils les mieux placés pour imposer des mesures impopulaires qui leur apparaîtraient nécessaires ? Fermer un hôpital, une usine, un établissement scolaire, décréter un confinement partiel ? On a vu pendant la crise du Covid des municipalités qui n'étaient pas mécontentes de voir l'État faire le sale boulot. De bonnes questions gênantes qui n'empêchent en rien une concertation avec les élus.

Voilà en tout cas Élisabeth Borne avertie. À titre personnel, elle s'est dite favorable à une vitesse limitée à 110 km/h sur les autoroutes. On y gagnerait 20 % en termes de gaz à effet de serre. Une sobriété bienvenue, mais qui ferait boum. Qu'elle demande donc à Édouard ! On parie volontiers que son avis personnel restera très personnel !

----------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Rien de mieux que de remettre d'actualité ces mesures de limitations de vitesses à 110 km sur autoroutes ou 80/90 km sur routes à la tête des clients par les préfets de régions, vaste fumisterie politicienne creuse alors qu'il y a bien plus de sujets importants, urgents à régler et montre que ce gouvernement macronien ne sait pas où il va et « coure après sa queue » comme des chiens perdus et qui n'augure rien de bon pour la suite à la rentrée de septembre avec des jours sombres pour les Français !

Cet ex 1er ministre et notre nouvelle 1ere ministre sont pitoyables ils feraient mieux de prendre leurs vacances d’été que de faire semblant de travailler car à la rentrée ils risquent de plus transpirer que pendant les canicules car seront vite dépassés comme d’habitude par les problèmes si nombreux loin d’être réglés ou alors faire du jet ski avec le président car lui ne s’inquiète pas semble-t-il ?!

Jdeclef 14/08/2022 15h40 LP


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire