Le voile est un élément de religion qui ne doit pas être utilisé dans la république française car il sème la discorde dans notre pays et discrimine certaines femmes qui prônent l'égalité avec les hommes !

 

Michel Richard – Les déchirures du voile

CHRONIQUE. Pour lutter contre le prosélytisme islamique, il faudrait interdire le port du voile dans la rue. Sans être naïf ni laxiste, ça se discute.

(Et s’il n’y avait que le voile, ce ne serait rien, mais il y tout le reste qu’il faut niveler et réguler par apport aux lois de notre république !?)

Au grand dam des Républicains et du Rassemblement national, la loi confortant « les principes républicains », autrement appelée « sur le séparatisme islamiste », n'interdit pas le port du voile dans l'ensemble de l'espace public. Elle étend juste cette interdiction aux personnes exerçant une mission de service public sans être pour autant fonctionnaires. Ni les accompagnatrices de sorties scolaires ni les étudiantes en universités ne seront tenues d'enlever leur voile, a fortiori aucune femme dans la rue.

Dans leur grande majorité, pourtant, les Français se disent favorables à une interdiction totale, ce que confirme encore un sondage présenté jeudi soir sur France 2 lors de la confrontation Marine Le Pen-Gérald Darmanin. La question est d'une grande complexité, justifiant réflexions et hésitations. C'est en tremblant qu'il faut y répondre. On nous permettra néanmoins d'appartenir à cette minorité laissant à chacun la liberté de s'habiller comme il le souhaite dans la rue (à l'exception de la burqa, ce voile intégral interdit par la loi parce que dissimulant le visage).

Cotta – Darmanin, le vaccin anti-Le Pen de Macron ?

Une affaire de liberté

Non pas que nous soyons du tout favorable au voile. On partage volontiers la phrase de Jean-Michel Blanquer jugeant que « le voile en soi n'est pas souhaitable dans notre société ». Par ailleurs, on ne cherche pas à échapper au procès en stigmatisation de l'islam et des musulmans qui nous pendrait au nez à la première interdiction. Ce n'est pas non plus la peur de provoquer ou d'exciter dangereusement la communauté islamique qui nous retient. Enfin, ce qui justifie notre position n'est pas davantage l'ahurissement qui saisirait le monde, lequel, ne comprenant rien à notre laïcité, douterait que notre démocratie en soit encore une si le voile était interdit.

Non : on s'en tient juste à notre pacte qui exclut la religion partout où l'État est, et la permet ailleurs. Une affaire de liberté.

De liberté ? Vraiment ? Voyons ça. Est-elle vraiment libre de porter le voile dans la rue, cette jeune fille qui subit la pression du père, du frère, du mari ? Non, assurément. On peut alors penser que l'interdiction du voile dans l'espace public la ferait échapper à cette dictature. À moins, tout au contraire, que sa famille intégriste la contraigne plutôt à une assignation à résidence, une relégation sociale. Qui sait ? L'émancipation n'y aurait pas gagné.

À côté de la femme contrainte, il peut y avoir aussi, dans la rue, la femme militante, portant son voile comme un étendard prosélyte, un symbole de défi à la République. Cette femme existe et l'idée de la laisser faire est proprement enrageante. Mais son militantisme islamique est autrement plus dangereux partout ailleurs où elle cherchera à l'exercer : à l'école de ses enfants, à son domicile si elle préfère les y embrigader, à l'hôpital où elle ira, à son cabinet médical, dans une association sportive, dans l'entreprise où elle s'essaiera à l'entrisme, sans parler de son lieu de culte. Et c'est là, nous semble-t-il, qu'il sera plus facile et plus utile de la contrer.

Police du vêtement

Dans la rue, il y a enfin des femmes qui portent le voile par culture, par tradition, par habitude. À Gérald Darmanin évoquant devant elle le cas de Latifa Ibn Ziaten, cette mère voilée d'un militaire tué par Mohammed Merah en 2012, Marine Le Pen rétorquait qu'il ne s'agissait pas la concernant d'un voile islamique. Et on voudrait néanmoins les en dépouiller, elle et les autres, toutes républicaines qu'elles soient ? Imagine-t-on nos policiers et nos gendarmes faisant la chasse au voile, une police du vêtement comme il en existe une en Iran faisant, elle, la chasse aux cheveux ? Faudrait-il donc que chaque agent interroge sur la nature du voile porté avant de verbaliser ? Qu'il sonde les reins et les cœurs ? Qu'il soupèse l'islamicité du tissu ? Cette prohibition serait comme toutes les prohibitions : une cause perdue en plus d'être une atteinte à la liberté et à la tolérance.

Ce n'est pas être lâche et laxiste que de laisser les humains s'habiller comme ils l'entendent et les laisser croire ce en quoi ils veulent croire. La lutte contre l'islamisme ne doit pas moins en être sans faille ni pitié.

------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Notamment dans certaines zones connues devenues de non droit profitant d'une délinquance et trafics divers illicites, parmi des communautés, qu'il ne faut pas citer, car ce n'est pas assez, politiquement correct hypocrite que pratique notre gouvernement et nos dirigeants donneurs de leçons !

Il y a plus de 30 ans que le ver est dans le fruit français qui pourrit par cette infestation qui devient trop importante !

Donc ce mal qui a pourtant été exacerbé depuis 2001 par des attentats internationaux contre les occidentaux et ensuite en 2013 avec cet état (DAESH)islamique au moyen orient et après dans nos démocraties libres voire laïques comme en France nous a frappé en 2015 ou on juge seulement les présumés auteurs avec notre justice molle et code pénal inadapté sans rigueur ferme et jusqu’à ce jour récemment avec les derniers drames ayant eu lieu !

Ce qui prouvent s’il le fallait, qu’ils sont toujours présents, avec leurs idées obscurantistes pour tout faire, pour prendre le pouvoir et avilir les êtres faibles en leur lavant le cerveau !

Qu’ont fait nos dirigeants pleutres que nous avons élus, une énième loi édulcorée et pas assez fermes pour leur faire peur, dont on a changé le nom trois fois pour ne pas choquer ces malfaisants dangereux, car semble-t-il nos dirigeant bien-pensant c’est eux qui ont peur !?

Et ce n’est pas fini loin de là et on pleurera encore sur les victimes avec des larmes de crocodiles, car n’ayant pas été assez ferme et là il n’y a pas de vaccin pour s’en protéger efficacement !

Jdeclef 15/02/2021 13h34