Pfizer,
Moderna, AstraZeneca, Spoutnik V... Tout savoir sur les huit vaccins
Principe,
protection contre les variants, avantages, limites… « Le Point »
passe au crible les huit premiers vaccins contre le Covid-19.
Pour
l'instant, ils ne sont que huit sur la ligne d'arrivée des essais cliniques.
Tous ont annoncé des résultats pour la phase 3 de leur développement,
celle qui permet de trancher sur leur efficacité contre le Sars-CoV-2. Trois
sont déjà autorisés en Europe, d'autres pourraient l'être très bientôt. Si ces
huit laboratoires n'ont pas tous misé sur la même approche pour déclencher une
protection immunitaire contre le virus, tous ont choisi la même cible : la
protéine « spike » (ou « spicule » en français) qui sert de
clé au Sars-CoV-2 pour entrer dans nos cellules et les infecter. C'est
d'ailleurs pour cette raison que les mutations en lien avec cette protéine
identifiée sur des variants au Royaume-Uni, en Afrique du Sud et au Brésil,
sont surveillées avec autant d'inquiétudes. Les producteurs de vaccins doivent
s'assurer que l'efficacité de leur sérum restera suffisante pour protéger les
populations contre les variants déjà identifiés, mais aussi contre ceux qui
pourraient émerger dans les mois à venir. À ce titre, la facilité avec laquelle
certains vaccins pourront adapter leur composition aux nouvelles mutations
constitue un avantage indéniable.
Vaccin à ARN
Laboratoires Pfizer/BioNTech
(États-Unis/Allemagne)
Autorisé : aux États-Unis, en Europe et
dans d'autres pays.
Principe : le vaccin BNT162b2 est
composé d'une capsule de lipides contenant des fragments d'ARNm codant pour la
protéine « spike » (S) du Sars-CoV-2. L'ARNm est légèrement modifié
pour ne pas déclencher une inflammation trop forte. Après injection, ces ARNm
pénètrent dans les cellules musculaires et déclenchent la fabrication de
protéines S. Ces dernières seront reconnues par le système immunitaire qui
apprend ainsi à se défendre contre le Sars-CoV-2. Chaque injection
renferme 30 microgrammes d'ARNm dans 0,3 ml de solution
saline.
Efficacité mesurée lors des essais :
pour prévenir les formes symptomatiques légères à modérées du Covid-19,
l'efficacité a été de
94,6 % après 2 doses espacées de 21 jours et
52,4 % après la première injection. Chez les personnes avec au moins un
facteur de risque pour développer un Covid-19 grave (hypertension, diabète…),
l'efficacité est également proche de 95 %. Pour les personnes âgées
de 65 à 74 ans, l'efficacité est d'environ 93 %. Au-delà de
75 ans, le faible nombre de participants aux essais cliniques ne permet
pas d'estimer précisément le pourcentage de protection. Pour les formes sévères
de la maladie, la réduction du risque est de 89 %, mais il subsiste une
grande incertitude sur ce résultat à cause du peu de cas rapportés pendant les
essais. Ces essais cliniques permettent de mesurer l'efficacité du vaccin
contre la souche « Wuhan » originelle et la souche D614G, celle qui a
sévi dans les pays occidentaux à partir du printemps.
Efficacité contre les variants :
des tests réalisés sur des prélèvements sanguins ont permis de confronter les
anticorps d'une
vingtaine de personnes déjà vaccinées avec le vaccin Pfizer-BioNTech à des
virus Sars-CoV-2 recréés en laboratoire et comportant les principales mutations
situées au niveau de la protéine « spike » des variants B1.1.7
(anglais) et B1.351 (sud-africain). Résultat, « le plasma des individus
vaccinés avec le vaccin Pfizer-BioNTech a neutralisé tous les variants du virus
Sars-CoV-2 testés », ont déclaré les laboratoires avec une neutralisation
du virus par les anticorps « légèrement plus faibles » contre les
trois mutations du variant sud-africain que pour les trois mutations du variant
anglais. Même si ces observations sont rassurantes, il n'y a pas pour l'instant
d'éléments cliniques pour répondre à la question de la protection contre les
nouveaux variants. À noter, il n'existe encore aucune donnée sur le variant
02P1 (brésilien), mais Pfizer/BioNTech Moderna annonce travailler, par
précaution, sur une nouvelle forme de son vaccin.
Avantages et limites : le
manque de recul sur ces vaccins à ARN est leur principale limite. Il n'y a
jamais eu de campagne de vaccination reposant sur cette technologie. Il
n'existe donc pas de données sur l'efficacité ou la sécurité à long terme, même
si les informations préliminaires sont rassurantes. La conservation de ce
vaccin à moins 70 degrés rend la logistique plus complexe pour les
campagnes de vaccination massives. Parmi les avantages, on peut citer la
rapidité de mise au point des vaccins à ARNm, notamment parce qu'ils ne
nécessitent pas de culture cellulaire. Le laboratoire BioNTech estime
qu'il faudra 6 semaines pour obtenir une reformulation du vaccin
efficace contre de nouveaux variants du Sars-CoV-2 qui contourneraient la
protection vaccinale actuelle.
Comment l'ARN va changer nos vies
Vaccin à ARN
Laboratoire Moderna (États-Unis)
Autorisé :
aux États-Unis, en Europe et dans d'autres pays.
Principe : le vaccin mRNA-1273, comme celui
de Pfizer/BioNTech, est composé d'une capsule de lipides renfermant des
fragments d'ARNm codant pour la protéine « spike » du Sars-CoV-2. La
préparation de la capsule et de l'ARNm est légèrement différente, mais
leur rôle est identique. Après injection, l'ARNm entre dans les cellules
musculaires, déclenche la production de protéines « spike » et permet
d'éduquer notre système immunitaire à reconnaître et à combattre le virus. Dans
la formule de Moderna, on trouve 100 microgrammes d'ARNm dans
0,5 ml de solution saline, elle est donc deux fois plus
concentrée que celle de Pfizer/BioNTech. Les deux sont sans adjuvant ni
conservateur.
Efficacité mesurée lors des essais :
pour prévenir les formes symptomatiques légères à modérées du Covid-19,
l'efficacité est de 94 % après 2 doses espacées
de 28 jours et atteint déjà 80,2 % un mois après la première
injection. Les effets suggèrent une réduction du risque de formes sévères de la
maladie, la réduction du risque est de 89 %, mais il subsiste une grande
incertitude sur ce résultat à cause du peu de cas rapportés pendant les essais.
Chez les personnes âgées de 65 ans et plus, l'efficacité est de 86 %.
Au-delà de 75 ans, le faible nombre de participants aux essais cliniques
ne permet pas d'estimer un pourcentage de protection. Les essais ont été
réalisés au cours de l'été et de l'automne 2020 aux États-Unis,
c'est-à-dire avant l'apparition des variants au Royaume-Uni et en Afrique
du Sud.
Efficacité contre les variants :
les chercheurs de Moderna ont examiné les prélèvements sanguins de huit
personnes qui avaient reçu deux doses du vaccin, et de deux singes vaccinés.
Les anticorps neutralisants ont été aussi efficaces contre le variant B1.1.7
(anglais) que contre la forme originale du coronavirus. Face au variant
B1.351 (Afrique du Sud), l'efficacité de ces anticorps a été divisée par six. Ces
tests biologiques ne reflètent qu'une seule partie de la réponse immunitaire et
ne permettent pas de chiffrer une baisse d'efficacité dans la population déjà
vaccinée. Moderna annonce travailler, par précaution, sur une nouvelle forme de
son vaccin contre le Covid-19 pour lutter contre le variant du Sars-CoV-2
apparu en Afrique du Sud.
Avantage et limites : comme pour
Pfizer/BioNTech, il n'y a jamais eu de campagne de vaccinations reposant sur
cette technologie. Il n'existe donc pas de données sur l'efficacité ou la
sécurité à long terme, même si les informations préliminaires sont rassurantes.
Ce vaccin doit être conservé à moins 20 degrés. Face à la menace des
variants, il bénéficie de l'avantage de la rapidité pour la préparation d'une
nouvelle formulation du vaccin.
Vaccin à
vecteur viral
Laboratoire AstraZeneca
Autorisé : en Europe et dans d'autres
pays (Inde, Mexique…), en cours d'autorisation aux États-Unis.
Principe : dans le vaccin AZD1222, le
vecteur viral choisi est un adénovirus de chimpanzé modifié génétiquement pour
limiter sa réplication. Le gène de la protéine « spike » du virus
Sars-CoV-2 est ensuite introduit dans le génome de ce vecteur viral. Une fois
injecté, le virus pénètre dans des cellules musculaires. Elles produisent alors
la protéine « spike » qui permet au système immunitaire d'apprendre à
reconnaître et combattre le Sars-CoV-2.
Efficacité mesurée lors des essais cliniques :
fin janvier 2021, il reste plus d'incertitudes sur l'efficacité de ce vaccin
qu'avec les deux premiers vaccins autorisés dans l'Union européenne ;
notamment chez les plus de 55 ans. Globalement, l'efficacité du
vaccin AstraZeneca est d'environ 60 % pour prévenir les formes
cliniques du Covid-19 chez les moins de 55 ans. Ce résultat est bien en
deçà des impressionnants 95 % des deux vaccins à ARNm ou des 91,6 %
affichés par le vaccin russe, mais il est largement au-dessus du seuil des
50 % réclamés par l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Une erreur
dans le protocole a permis de pointer une efficacité de 90 % lorsque la
première injection ne contient qu'une demi-dose. Mais, les agences du
médicament n'ont pas pris en compte ce pourcentage en raison d'un manque de
suivi des volontaires concernés.
Efficacité contre les variants :
une étude non encore publiée pointe l'absence d'efficacité du vaccin pour
protéger contre les formes modérées du Covid-19 provoquées par le variant
sud-africain. L'Afrique du sud a décidé de suspendre son utilisation.
Avantages et limites :
son atout de taille est sa conservation dans un frigo classique
entre 2 et 8 °C qui permet de l'administrer facilement dans les
cabinets médicaux ou les pharmacies. Le recul d'utilisation sur ce vecteur
viral chez les êtres humains est plus grand que pour la technologie à ARNm,
mais elle reste limitée à quelques essais cliniques. Ces derniers ont montré
que la réaction immunitaire était complète, c'est-à-dire qu'elle est à la fois
humorale (anticorps) et cellulaires (lymphocytes T). La mise au point du vecteur
génétiquement modifié nécessite plusieurs mois d'élaboration, c'est donc plus
long que pour les vaccins à ARNm. À la différence du Royaume-Uni, la France,
l'Allemagne et d'autres pays européens ne le recommande qu'aux personnes de
moins de 65 ans, faute de données robustes sur son efficacité chez les
plus âgés. Pour espérer y voir plus clair, il faudra attendre mars 2021 et
des résultats complémentaires non seulement sur le niveau de protection chez
les personnes les plus âgées mais aussi sur les effets des dosages.
Vaccin à vecteur viral
Laboratoire Johnson & Johnson (États-Unis)
Demande d'autorisation :
aux États-Unis.
Principe : connu sous le nom de
JNJ-78436735 ou Ad26.COV2.S, ce vaccin utilise comme vecteur viral l’adénovirus
de rhume Ad26 modifié génétiquement pour limiter sa réplication. Le gène de la
protéine « spike » du virus Sars-CoV-2 est introduit dans le génome
de ce vecteur viral. Une fois injecté, le virus pénètre dans des cellules
humaines. Ces cellules produisent alors la protéine « spike », ce qui
permet au système immunitaire d’apprendre à reconnaître et combattre le
Sars-CoV-2. Grande différence avec ses concurrents qui ont tous recours
à 2 doses pour obtenir une forte protection, le laboratoire Johnson
& Johnson table sur une unique injection.
Efficacité mesurée lors des essais cliniques :
les données de la phase 3 n'ont pas encore été, mais un communiqué du
laboratoire affiche un résultat global de 66 % d'efficacité contre les
formes symptomatiques du Covid-19 à partir du 28e jour suivant
l'injection. Ce pourcentage est proche de celui obtenu après deux doses
d'AstraZeneca, mais bien loin des 95 % avancés par les deux vaccins à ARN
messager ou des 91 % du vaccin russe. Il reste nettement au-dessus du
seuil des 50 % réclamés par l'Organisation mondiale de la santé (OMS).
Selon le laboratoire, le vaccin diminuerait de 84 % le risque des formes
sévères.
Efficacité contre les variants :
selon le laboratoire Johnson & Johnson, le vaccin présente une
efficacité globale de 57 % en Afrique du Sud, là où circule le variant
B1.351. Il conférerait une protection identique sur tous les continents contre
les formes sévères. Mais, là encore, la prudence s’impose, car les résultats ne
sont pour l’instant pas publiés.
Avantages et limites :
en dehors des limites communes à tous les vaccins basés sur les vecteurs
viraux, son administration est plus simple grâce à la dose unique. Sa
conservation est également possible dans un simple frigo.
Vaccin à vecteur double viral
Spoutnik V (laboratoire Gamaleya, Russie)
Autorisé : en Russie, en Algérie, en
Argentine, en Iran… En attente d'autorisation en Europe.
Principe : comme le vaccin du laboratoire
AstraZeneca, le vaccin russe utilise le principe du vecteur viral pour faire
produire aux cellules humaines la protéine « spike » du Sars-CoV-2 et
déclencher une réponse immunitaire protectrice. Mais dans le cas de Spoutnik,
la première et la deuxième dose vaccinale contiennent deux virus différents.
Appelés respectivement Ad26 et Ad5, il s'agit de deux adénovirus bénins,
responsables de simples rhumes, modifiés génétiquement pour ne pas se répliquer
et dans le génome desquels un gène codant pour la protéine « spike »
a été intégré.
Efficacité mesurée lors des essais cliniques :
selon les résultats publiés dans le Lancet, le risque de contracter une forme symptomatique
du Covid-19 est réduit de presque 92 %, y compris chez les plus de
60 ans, même s'il faut rester prudent dans cette tranche d'âge en raison
du faible nombre de participants. Des données partielles semblent montrer qu'il
protège extrêmement bien contre les formes modérées à sévères de la maladie. Il
ne s'agit encore que de résultats intermédiaires de la
phase 3 obtenus sur près de 20 000 participants. « Les
résultats rapportés ici sont clairs et le principe scientifique de cette
vaccination est démontré », estiment deux spécialistes britanniques, les
professeurs Ian Jones et Polly Roy, dans un commentaire joint à l'étude.
Efficacité contre les variants : pas
de données pour l'instant.
Avantages et limites : parmi
ses atouts, il est facile à stocker dans un frigo entre 2 et 8
degrés. De plus, le choix d'utiliser deux adénovirus différents permet d'éviter
un écueil, celui d'une réaction trop forte de l'organisme contre le virus du
rhume de la première dose qui limiterait son action dans la deuxième dose. Pour
l'instant, son utilisation est limitée, car l'institut de recherche Gamaleya
n'est pas calibré pour répondre aux exigences de sécurité des agences du
médicament européennes lors de sa production industrielle.
Vaccin à base de protéines
Laboratoire Novavax (États-Unis)
Pas encore d'autorisation.
Principe : appelé NVX-CoV2373, il se
compose de fragments de la protéine « spike » présente à la
surface du Sars-CoV-2 et d'un adjuvant, le Matrix M, de la famille des
saponines. Grâce à une petite modification, les protéines s'assemblent sous la
forme de rosettes, appelées « nanoparticules » par le laboratoire.
Elles provoquent une réaction immunitaire qui apprend à l'organisme à se
défendre contre le virus.
Efficacité mesurée lors des essais cliniques :
selon un communiqué du laboratoire, des résultats de
phase 3 impliquant plus de 15 000 personnes au Royaume-Uni (non
publiés à ce jour) ont montré une efficacité de 89,3 % contre les formes
symptomatiques de Covid-19. Novavax mène toujours un vaste essai financé par le
gouvernement fédéral aux États-Unis et au Mexique. La société prévoit d'inclure
30 000 personnes dans cet essai à la mi-février.
Efficacité sur les variants :
l'efficacité de 89,3 % porte également sur le variant B.1.1.7, repéré dans
le sud de l'Angleterre, en décembre 2020, puisque 50 % de cas
recensés dans l'essai préliminaire mené au Royaume-Uni ont été infectés par ce
nouveau variant. Les résultats contre le variant B1.351 identifié en Afrique du
Sud sont plus préoccupants. Un second essai conduit en Afrique du Sud sur
4 400 volontaires montre une efficacité limitée entre 48 % et
60 %.
Avantages et limites : ce
vaccin peut être conservé entre 2 et 8 degrés, ce qui
devrait faciliter sa distribution. Par ailleurs, les vaccins à base de
protéines sont réputés moins chers à produire, mais ils peuvent potentiellement
provoquer une réponse immunitaire incomplète.
Vaccin inactivé
Sinopharm
(Chine)
Autorisé : en Chine et d'autres pays,
dont la Hongrie et la Serbie.
Principe : le vaccin
BBIBP-CorV contient des Sars-CoV-2 tués (ou inactivés) par
différents processus chimiques en laboratoire. Leur enveloppe reste la
même, et lors de l'injection, le système immunitaire apprend à la
reconnaître et à se défendre contre le virus.
Efficacité lors des essais cliniques :
il n'y a pas eu de publication, pour l'instant, de ces résultats intermédiaires
de la phase 3. Dans un communiqué, l'Institut des produits biologiques de
Pékin, la filiale du groupe pharmaceutique chargée de sa conception,
indique que « l'efficacité [de leur vaccin] est de
79,34 % ».
Efficacité contre les variants :
pas de données pour l'instant.
Avantages et limites :
la technique est classique, donc bien connue, mais la réponse immunitaire de ce
type de vaccin n'est pas toujours suffisante.
Vaccin inactivé
Sinovac (Chine)
Autorisé : en Chine.
Principe : le vaccin baptisé
CoronaVac contient des Sars-CoV-2 tués (ou inactivés) par différents processus
chimiques en laboratoire. Leur enveloppe reste la même, et lors de
l'injection, le système immunitaire apprend à la reconnaître et à se défendre
contre le virus.
Efficacité mesurée lors des essais cliniques :
difficile d'interpréter les résultats d'un vaccin sans publications précises.
Même si « les résultats en termes d'efficacité et de sécurité doivent être
encore confirmés », rapporte Sinovac dans un communiqué, les tests à
grande échelle au Brésil ont montré un taux d'efficacité globale du vaccin
d'environ 50 % pour empêcher l'infection et de 80 % pour éviter les
cas nécessitant une intervention médicale.
Efficacité contre les variants :
pas de données pour l'instant.
Avantages et limites :
la technique est classique, donc bien connue, mais la réponse immunitaire de ce
type de vaccin n'est pas toujours suffisante.
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Notre
gouvernement et nos dirigeants E.MACRON en tête essaient de se convaincre dans
une sorte de méthode Coué débile !
Ils
devraient se taire, car quand on a rien dire de plus on ferme sa g..... !
Désolé d'être trivial !
Car en
plus notre président encore lui, dit que pour l'été tous les français seraient
vaccinés vieux pieux, car promesse qu'il est loin de pouvoir tenir !?
Et d’ici
là, les virus auront encore fait de nombreuses victimes !
Pour
cause le calendrier vaccinal décidé par le gouvernement et donc notre président
« je sais tout, mais en fait rien, depuis le début » car ce n’est
pas de sa faute, il n’est ni scientifique, ni médecin, mais il décide et patauge
avec ces indécisions et contradictions qui correspond bien à son caractère et
son égo que l’on retrouve chez nos anciens présidents de notre V eme république
surtout depuis ces derniers quinquennats, sauf que là, il s’agit de la
santé et la vie des français !
Donc
le bilan actuel de cette vaccination, est faible, car il est convenu et affirmé
par les scientifiques que seule une de masse est la seule efficace pour stopper
ces Coronavirus !
Car
trop peu de nos concitoyens de tous âges sont vaccinés aujourd’hui et en plus
on met de coté les plus de 65 ans et moins de 75 ans pour des raisons fumeuses
non étayées, mais surtout en fait par manque de doses de ceux plus efficaces et
ces laissés pour compte sont environ 7,800000 millions français (de peu...)
Donc,
alors que la pandémie et la contamination augmente dans certains départements
de France, les pseudos couvre feux ou confinements à la carte ne sont que des
pis-aller aléatoires provisoires !?
Si
nous étions en vraie guerre comme le dit notre président et son 1er
ministre on travaillerait jour et nuit pour défendre notre pays et on ne
bavarderait moins en s’écoutant parler pour ne rien dire sur les plateaux télés,
comme le font nos élus et scientifiques dit émérites !
Jdeclef
23/02/2021 10h14

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