mercredi 29 janvier 2020

Si on nomme ce communautarisme par son nom on est censuré dans les médias !


Quand l'école est assiégée par le communautarisme

VIDÉO. Les valeurs républicaines n'ont plus la cote dans certaines écoles. Choses vues et entendues.

Du haut de ses 9 ans, Aurélien ne s'est pas démonté. Scolarisé dans une école élémentaire de Bagnolet, en Seine-Saint-Denis, le petit garçon a expliqué à son camarade de classe que chacun était libre de croire ce qu'il voulait. « Maman m'a emmené voir une exposition sur la création de l'Univers avec le big-bang et les météorites, se souvient Aurélien. J'en ai parlé à mon copain Medhi à la récré, mais il s'est énervé en m'expliquant que tout ça était faux, et que Dieu avait tout créé : la Terre, la nature, moi, lui, sa mère, la mienne et la mère de ma mère, etc. Moi, je crois en la science. Mais il ne voulait pas m'écouter. » Cette anecdote, ambiance « Guerre des boutons », traduit une réalité troublante : l'irruption du religieux jusque dans la sphère scolaire publique, pourtant censée être laïque. Si ces conversations de cour de récréation s'apparentent plus à des chamailleries qu'à des débats philosophiques sur Dieu et la république, ces échanges s'invitent dans le quotidien de l'Education nationale. Un constat partagé par Hayat, que nous avons rencontrée. Cette mère de deux enfants scolarisés à Saint-Denis (93) refuse de composer avec cet état de fait. « Entre les dealers et les religieux, je suis obligée de surveiller mes enfants de très près, explique Hayat. Une des copines de ma fille lui a offert… une burqa rapportée d'Arabie saoudite, ainsi que des livres religieux wahhabites. Quelle idée ! Elle n'aurait pas pu lui trouver un truc plus sympa ? A la maison, ma fille a commencé à imposer des interdits religieux, à édicter ce qui était haram (illicite) ou pas. J'ai compris qu'elle était sous l'influence de ses camarades. Je n'ai rien lâché. Ça va mieux maintenant. » Mais Hayat ne baisse jamais la garde et relate comment le communautarisme rattrape même le personnel éducatif de certaines écoles : « La dame de la cantine a refusé de servir du porc à mon fils alors qu'il en mange à la maison. Il lui a pourtant expliqué, mais elle ne voulait rien savoir. » Et l'agent de service de rétorquer à l'élève : « Non, j'ai vu ta mère, et elle est forcément musulmane. »« Je suis allée m'expliquer avec cette dame de la cantine, reprend Hayat, elle m'a sermonnée en m'expliquant que j'étais une mauvaise musulmane. J'étais furieuse. » 
UN RÉFÉRENT RADICALISATION DE L’ÉDUCATION NATIONALE « L’Education nationale, c’est 1 million de personnels, 12 millions d’élèves et 20 millions de parents d’élèves. Cela représente au total presque la moitié de la population française, et ça comprend les populations les plus jeunes et donc les plus susceptibles de commettre des attentats. L’Education nationaleest donc le premier service public en capacité de pouvoir détecter d’éventuels terroristes. » Documents. Extraits des auditions sur l’école conduites à huis clos par la mission parlementaire des députés Eric Diard (LR) et Eric Poulliat (LREM)
Des histoires de ce genre, on en ramasse à la pelle. En octobre dernier, une note confidentielle des services de renseignement pointait du doigt nombre de dérives communautaristes au sein des établissements scolaires. Les typologies d'incidents sont connues : des élèves qui refusent de dessiner des représentations humaines - un interdit religieux dans l'islam rigoriste - ou encore de s'asseoir à côté de leurs camarades de cantine qui ont du porc dans leur assiette.
EXCLUSIF. Le document-choc sur l'État face à l'islamisme
Dépassés. Le corps enseignant est-il outillé pour faire face à ces situations ? Certains profs reconnaissent être parfois dépassés : « Des faits religieux et communautaires, il y en a tout le temps et tous les jours, mais nous n'avons jamais été formés à régler ce genre de choses », raconte Alice. Professeure de collège à Evry, elle se sent quelquefois dépassée et un peu seule pour gérer ces questions, en dépit de la plateforme mise en place pour aider les enseignants.
Plus embêtant, il arrive que l'administration elle-même s'enlise dans des situations pour le moins maladroites, comme l'a fait le collège du Fort de Sucy- en-Brie (94) en diffusant un formulaire surprenant à l'attention des parents d'élèves avant le ramadan. Les parents qui attestaient que leur « enfant demi-pensionnaire au collège fera le ramadan cette année » avaient la possibilité de bénéficier d'une « demande de remise exceptionnelle au titre de la pratique d'un jeûne cultuel (…) si aucun repas n'est consommé durant cette période ». S'il semble peu probable qu'il s'agisse là d'un cas de prosélytisme ou de fichage de la part de l'administration de l'établissement, cette communication qui tend à banaliser la présence du phénomène cultuel dans l'enceinte de l'établissement semble peu conforme aux principes de laïcité qui prévalent dans les établissements publics. Contacté, l'établissement n'a pas donné suite pour le moment à nos sollicitations.
« Mon enfant (...) fera le ramadan cette année. Il ne déjeunera donc pas au collège pendant cette période. » « Je souhaite que ces repas soient déduits de ma facture de cantine du 3e trimestre 2018-2019 (avril-juillet 2019). » Exception. Un formulaire du collège du Fort de Sucy-en-Brie (94) donne la possibilité aux parents de bénéficier d’une « demande de remise exceptionnelle au titre de la pratique d’un jeûne cultuel (…) si aucun repas n’est consommé durant cette période de ramadan ».
« Portrait robot ». Autre témoignage que nous avons pu recueillir, celui de Farida, agent territorial des écoles maternelles, au sujet d'une école maternelle du nord de Paris. Elle raconte encore estomaquée cet épisode avec un enseignant remplaçant : « Dans sa classe, il a séparé les filles des garçons. Les toilettes sont mixtes, mais il interdit aux petites filles de s'y rendre quand des garçons y sont. Mais ils ont 3 ans ! » Zélé, l'enseignant a même empêché ses collègues féminines de s'occuper des garçonnets aux toilettes et s'est laissé aller à quelques conseils : « Il parlait de préceptes coraniques à une collègue très religieuse devant les enfants qui entendaient tout de la conversation. »
Les services publics face aux islamistes : le cas du sport
Dans les Bouches-du-Rhône, un cas de prosélytisme d'un enseignant de langue et culture d'origine - un contractuel nommé par un consulat ou une ambassade - est remonté jusqu'à la préfecture de police. Un référent radicalisation a dressé devant les députés le « portrait-robot » des personnels de l'Education nationale déjà signalés : « Homme, enseignant de mathématiques, non titulaire ou titulaire remplaçant, il change souvent d'affectation et se conforme le plus possible aux demandes de l'institution pour ne pas faire de vagues. »
Une fois encore, il ne suffit pas de savoir qu'un individu est radicalisé pour que le risque disparaisse. « Nous avons une difficulté : démontrer la matérialité des faits de radicalisation », explique ce référent académique, qui dit avoir signalé sur l'année passée « dix adultes, dont huit enseignants et deux personnels techniques. (…) La difficulté est que le gros du travail porte sur la laïcité et sur des pratiques éventuellement rigoureuses qui peuvent parfois être prises pour de la radicalisation ». Radicalisation, prosélytisme, communautarisme, laïcité bousculée… Les frontières entre ces différents phénomènes sont bien souvent brouillées, mais une chose est certaine : l'école reste encore le rempart le plus efficace face aux obsessions du repli !
UN RÉFÉRENT RADICALISATION DE L’ÉDUCATION NATIONALE « Sur la question des minutes de silence, j’ai connu en 2001 une situation où elle a été refusée par l’ensemble des élèves dans un établissement des quartiers Nord de Marseille. C’était un mouvement de fond, un sentiment d’exclusion des élèves par rapport à la société occidentale, et pas seulement une provocation. Une partie de la population, au sein de ces quartiers, considérait qu’elle n’était pas membre à part entière de la société française. »
Activités culturelles, animations, aide aux devoirs, cours d’arabe dispensés au sein des mosquées… Les religieux, dans certains quartiers, multiplient les offres à travers différentes structures pour occuper ou éduquer les plus jeunes. Une situation dénoncée par Salima, une militante associative féministe basée en Seine-Saint-Denis. Elle souhaite rester anonyme à cause des multiples pressions venant des religieux, mais ne décolère pas. « On voit des offres en tout genre fleurir dans les quartiers, explique la jeune femme. Elles concurrencent directement celles du service public. Certaines associations communautaristes proposent de l’aide aux devoirs. Mais, dans les faits, on bourre le crâne des enfants avec la religion. Des mosquées dispensent, au sein de leurs locaux, des cours d’arabe. Tous les jours, après l’école, les enfants s’y rendent, kamis pour les garçons et voiles pour les filles, parfois très jeunes. Le problème, selon moi, ce n’est pas d’apprendre l’arabe, mais ce qu’on enseigne véritablement aux enfants durant ces cours de langue qui sont, en réalité, l’apprentissage d’un islam rigoriste qui enferme ces enfants dans un schéma communautariste, les menant à l’impasse d’une assignation identitaire. » N. C. 
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Car nous sommes dirigés par des kyrielles de bien-pensants hypocrites donneurs de leçons !

Pour le reste il n'y a qu'à vivre dans les grandes villes de France et surtout dans les départements connus comme en IDF par exemple qui sont fréquentés dans les écoles publiques de France par des enfants qui y habitent et qui sont bien sûr éduqués religieusement par l'origine de leurs parents et qui souvent vivent dans des citées les regroupant, ceux-ci par communautés connues !

Inutile de faire comme si on ne le voulait pas le voir, en pratiquant le politiquement correct la pire hypocrisie qui soit !

Cela fait trente ans que ça existe et augmente, alors il ne faut pas se plaindre après, car c'est déjà trop tard !
Puisque l'on n'a rien fait pour assimiler ces gens et leurs enfants français correctement !

Jdeclef 29/01/2020 12h38LP

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