mercredi 1 janvier 2020

Ça c'est sur E.MACRON n'est pas à court de discours pour essayer de faire passer ces réformes fumeuses qui braquent tant de français...


Vœux présidentiels : Macron n'a pas dit son dernier mot

Le chef de l'État a réaffirmé sa volonté de mener à bout sa réforme des retraites et compte toujours montrer sa stature de réformateur.

« L'acte II sera-t-il synonyme de décélération », « Que reste-t-il désormais de l'ambition réformatrice du macronisme ? », « Le quinquennat est-il d'ores et déjà terminé ? »… Ces questions, médias, analystes, voire parlementaires de La République en marche, se les sont posées au lendemain du grand débat national. De toute évidence, le président de la République les a entendues. Et ce 31 décembre, lors de ses vœux pour l'année 2020, il y a répondu.
L'année dernière, en plein chambardement, inédit par sa forme et son intensité, Emmanuel Macron avait, comme squelette de son allocution, formulé trois vœux : de « vérité », de « dignité » et d'« espoir ». Cette fois, changement de pied. Il a construit son discours autour d'une seule promesse, qui ravira ses sympathisants et révulsera ses opposants : je ne compte pas m'arrêter là. « D'habitude, c'est le moment du mandat où l'on renonce à agir avec vigueur, pour ne surtout plus mécontenter personne, à l'approche des futures échéances électorales. [...] Nous n'avons pas le droit de céder à cette fatalité. C'est l'inverse qui doit se produire », a-t-il assuré en introduction. En reprenant l'un des termes les plus chers au macronisme originel : non pas réformer, mais « transformer le pays », encore et toujours. Pour « nos enfants, et leurs enfants après eux », a-t-il poursuivi, dans une référence non dissimulée, tout ce qu'il y a de plus calculé, à l'ouvrage de Nicolas Mathieu qui remporta le Goncourt 2018 en décrivant si bien la détresse d'une « France périphérique » que le pouvoir semblait jusque-là avoir délaissée.
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Cette ligne directrice, le président l'a posée en défendant son bilan. Certes, celui de 2019 est plus maigre que celui de 2018 : alors qu'il avait mis en avant la réforme du Code du travail, de la SNCF, du baccalauréat, et mis en place la division par deux des effectifs dans les classes de REP et REP+, Emmanuel Macron a surtout souligné la bonne santé économique du pays – avec 500 000 emplois créés et le retour des investisseurs – et la suppression de la taxe d'habitation. « Ces chiffres constituent un encouragement à poursuivre le chemin engagé », en a-t-il conclu.

« La réforme des retraites sera menée à son terme »

Ce fut sans aucun doute le passage le plus attendu et le plus scruté dans le choix des mots du président de la République : celui concernant la réforme des retraites, bien sûr. D'emblée, il l'assure : « Elle sera menée à son terme.  » Sans s'épancher davantage. Le chef de l'État a martelé ce qui constitue l'ADN de son grand projet, que ministres et députés ont défendu depuis plusieurs mois maintenant : une exigence de « justice et [de] progrès social », la défense de « l'universalité » tout en « prenant en compte les tâches difficiles ».
Certains attendaient des annonces. Des détails, sur l'âge pivot notamment, au cœur des dissensions entre le gouvernement et la CFDT. Ils ont été déçus, évidemment, car l'exercice des vœux présidentiels du 31 décembre n'est ni le moment ni le format pour de tels détails, de telles prises de position unilatérales, d'autant plus au moment où les négociations menées par le Premier ministre sont en cours et trouveront leur prochain point culminant le 7 janvier. Tout juste Emmanuel Macron a-t-il souhaité que les organisations syndicales et patronales « qui le veulent » – sous-entendu : exit la CGT de Philippe Martinez – et le gouvernement puissent trouver « la voie d'un compromis rapide ». D'aucuns y verront une légère pression mise sur les épaules d'Édouard Philippe…
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Réformateur, Emmanuel Macron souhaite l'être tout autant sur le sujet de la défense de l'environnement, sur lequel son action peine à imprimer. Il appelle à ce que « 2020 soit l'année où un nouveau modèle écologique doit se déployer », affirmant que « des choix nouveaux et forts » seront annoncés, à la suite des conclusions qui seront rendues dans la première moitié de l'année par les cent cinquante Français engagés dans la Convention citoyenne pour le climat. Autre zone grise du macronisme, autre déclaration : le chef de l'État a également soutenu qu'il prendrait de « nouvelles décisions » dans les prochaines semaines contre « les forces qui minent l'unité nationale », à savoir le communautarisme et les atteintes à la laïcité. Il y associera pleinement les maires du pays, ces « piliers de la République, du quotidien, des territoires ». Sur le volet aussi bien économique, sociétal que régalien, Emmanuel Macron, debout durant dix-huit minutes – ses vœux les plus longs depuis son entrée à l'Élysée –, n'a concédé aucun regret ni aucune volonté de changer de braquet. Est-ce cela, le fameux « apaisement » que l'Élysée promettait ? Ce n'est vraisemblablement pas la première stratégie du président.
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Pour son allocution pour ses vœux aux français aucune surprise, il a confirmé et enfoncé le clou notamment sur celle des retraites et autres !

Ces belles paroles bien tournées n'abusent personne, mais permettre de voir que ce monarque sans couronne avec trop de pouvoir peut faire à peu près tout ce qu'il veut ce qui devrait faire réfléchir nos concitoyens dans notre V eme république obsolète qui ne répond plus à ce qu'attende les français dans un monde qui a changé et qui devient de plus en plus dangereux dans le quotidien de nos concitoyens dont certains ont perdu le respect d'autrui et cultive le chacun pour soi sans compter le mystique qui s'est greffé sur leur vie quotidienne comme un virus dangereux !

Pour le reste, il y a nos syndicats rétrogrades qui sèment le désordre avec ce MARTINEZ qui pousse et appelle à faire la grève partout le court chemin à l'anarchie comme on a vu avec cette émergence de ces casseurs blacks blocs ou autres !

Donc il faut souhaiter, une bonne année 2020 à tous en espérant qu'ils ne se laisseront pas trop manœuvrer par ces politiciens élus qui ne pensent qu'à eux, mais çà ce n'est pas acquit, car leurs versatilités et le chacun pour soi jouent contre eux depuis toujours, malgré qu'ils votent, mais se dispersent trop, car influençables à ceux qui parlent bien et les enfument à chaque fois !

Jdeclef 01/10/2019 11h09 LP

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