samedi 18 janvier 2020

Un pseudo journaliste anarchiste qui ne voulait que semer le trouble en s'attaquant au symbole de l'autorité en France du président de la république !?


Paris : le couple Macron exfiltré d'un théâtre sous les huées

VIDÉO. Le président et son épouse assistaient vendredi à une représentation dans le nord de Paris. Le journaliste militant ayant signalé leur présence a été placé en garde à vue.

E.MACRON a connu une soirée agitée vendredi. Alors qu'il assistait avec son épouse à une représentation de la pièce La Mouche au théâtre des Bouffes du Nord, dans le 10e arrondissement de Paris, des manifestants ont tenté de pénétrer dans la salle. Devant les portes du théâtre, des dizaines de protestataires ont entonné des chants pour réclamer la démission du chef de l'État et le retrait de la réforme des retraites. « Et on ira, et on ira, et on ira jusqu'au retrait », ont notamment chanté les personnes sur place.
Très vite, les forces de l'ordre sont intervenues au moment où plusieurs manifestants ont forcé l'entrée du théâtre. Ceux qui avaient réussi à pénétrer dans l'enceinte ont été rapidement évacués. Présent sur place, le journaliste de Brut Remy Buisine a pu constater qu'une charge policière a eu lieu pour exfiltrer Emmanuel Macron et sa femme.

Les manifestants évacués

France Info rapporte que le couple a finalement pu assister à la fin de la pièce. Ils ont été protégés et mis à l'abri pendant quelques minutes le temps que le calme revienne sur place. Son entourage indique « que le président continuera de se rendre au théâtre comme il a l'habitude de le faire et veillera à ce que des actions politiques ne perturbent pas la liberté d'expression, la liberté des artistes et la liberté de création ». Le président a quitté les lieux en voiture vers 22 heures sous escorte policière.
Emmanuel et Brigitte Macron assistaient à la représentation quand le journaliste militant Taha Bouhafs, assis trois rangs derrière, a twitté des photos qui ont incité des militants à venir perturber le spectacle, selon un proche du président. Le journaliste David Dufresne a signalé sur Twitter un autre message paru une dizaine de minutes avant celui de Tahar Bouhafs, signalant la présence du président dans le théâtre et appelant à venir manifester devant l'établissement.
Selon une source judiciaire, le journaliste militant Taha Bouhafs a été ensuite interpellé et emmené au commissariat. Samedi matin, une source judiciaire a précisé que le jeune homme de 22 ans avait été placé en garde à vue pour « participation à un groupement formé en vue de commettre des violences ou des dégradations ». Après son premier message signalant la présence du chef de l'État, Taha Bouhafs avait ensuite demandé à ses dizaines de milliers d'abonnés s'il devait ou non lancer ses chaussures sur le président, à l'image du célèbre geste d'un journaliste irakien contre le président américain George W Bush en 2008. « Je plaisante (…) la sécu me regarde bizarre là », avait-il ensuite précisé.

La classe politique réagit

L'incident n'a pas manqué de faire réagir plusieurs personnalités de la classe politique française. « Président @EmmanuelMacron @BouffesDuNord, intrusion @CFDT, cérémonies de vœux des députés @LaREM_AN et ministres empêchées ou annulées. Les auteurs de ces agressions sèment la violence et la discorde. Nous les ferons reculer par le rassemblement des Français et la solidarité », a réagi le patron des députés LREM Gilles Le Gendre.
L'arrestation de Taha Bouhafs a également fait réagir. « Dans quel régime sommes-nous pour qu'un président, furieux que des manifestants le conspuent à l'extérieur d'un théâtre, fasse arrêter un journaliste qui s'y trouvait et qui avait osé communiquer sur sa présence ? #monarchie #liberezTaha », a accusé le député Insoumis Éric Coquerel. « On arrête un journaliste pour avoir tweeté sur la présence du Méprisant au théâtre. Bienvenue en #Macronie », a réagi sur Twitter la députée France Insoumise Danièle Obono. Peu visible en public depuis des semaines, Emmanuel Macron n'a pas fait de bain de foule depuis son passage à Amiens les 21 et 22 novembre, avant la réforme des retraites.
Taha Bouhafs, connu pour avoir filmé Alexandre Benalla en train de violenter un couple à Paris le 1er mai 2018, avait déjà été placé en garde à vue en juin alors qu'il couvrait une manifestation en banlieue parisienne, s'attirant le soutien d'une partie de la profession. Il doit être jugé le 22 février à Créteil pour « outrage et rébellion ».
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Comme certain élu d’extrême gauche qui disent en vociférant « la république c'est moi »!

Ils n'ont fait que du tort aux acteurs empêchés un temps je jouer leur pièce de théâtre une atteinte à la liberté d'expression déjà écornée dans notre pays !

D’ailleurs le président après a pu assister cette pièce après l’arrestation de ce trublion de journaliste et dispersion des manifestants demandant la démission du président qui selon sa profession de journaliste était là pour rapporter des faits pas pour semer le trouble !

Ce qui prouve que la fonction de président de la république française est dévoyée et n’est plus respectée peut-être parce que les derniers présidents élus se prenaient trop pour des monarques sans couronne de l’ancien régime avec trop de pouvoir et en bien-pensants donneurs de leçons n’arrivent plus à se faire respecter !

En France trop de liberté mal encadrée mène à l’anarchie et à la violence qui va avec ou chacun veut faire sa loi et cela devient préoccupant !

De plus notre justice totalement inefficace sanctionne peu de tels agissements qui font déraper certains français lambda avec un code pénal inadapté ou l’on minimise tout !

Jdeclef 18/01/2020 11h12LP

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