lundi 16 avril 2018

Deux pitbulls mal élevés qui ne méritent pas le nom de journalistes et qui n'étaient là que pour faire de l’audimat pour BFM TV !


Macron : un « corps à corps » face à « deux pitbulls de l'interview »

Pour les quotidiens, l'interview du chef de l'État par Jean-Jacques Bourdin et Edwy Plenel était d'une « intensité rare ». Mais qui a gagné sur le ring ?


Dimanche, Emmanuel Macron était un boxeur qui défendait son titre. La métaphore est la même presque partout, lundi, dans la presse française, au lendemain du face à face entre le président de la République d'un côté et Jean-Jacques Bourdin et Edwy Plenel de l'autre. Selon les journaux français, le chef de l'État a livré un véritable « corps à corps » lors de cette rencontre. La presse estime que cette interview télévisée était même d'une « intensité rare » et que le président a su « encaisser » et « répondre », à défaut d'avoir pleinement convaincu.
« Macron encaisse et castagne », titre en pages intérieures Le Parisien, qui a trouvé l'interview « parfois brutale » et qui n'est pas certain que « le téléspectateur s'y retrouve ». Pour Libération, « Macron s'est présenté sur le ring » pour une interview présidentielle « d'une intensité rare », un débat « corps à corps ». Il « s'est montré pugnace à défaut d'être convaincant », ajoute le journal. Le Figaro a vu un « débat virant souvent au pugilat verbal » et « une fonction présidentielle malmenée par deux journalistes très agressifs ».

Le calme du chef de l'État face à la tempête

Pour de nombreux éditorialistes, l'entretien s'est véritablement apparenté à un combat de boxe, et ils parlent de ring et de termes liés au noble art. « On a retrouvé Emmanuel Macron, hier soir, sur un ring face à deux pitbulls de l'interview », affirme dans la Montagne Centre France Florence Chédotal, qui se demande ce qui « restera de cette épuisante distribution de baffes ? Un combat d'ego souvent inaudible ».
Certains estiment que l'opération est réussie pour Emmanuel Macron, qui ne s'est pas laissé démonter face aux deux journalistes. Le chef de l'État « a dû monter sur le ring. Et il a montré qu'il savait encaisser, mais surtout répliquer, rendre les coups », observe ainsi Yolande Baldeweck, de L'Alsace. « De ce long match de boxe, Emmanuel Macron est ressorti sans égratignure ni goutte de sueur. Il a montré le visage d'un président calme, déterminé et précis », estime Denis Carreaux, dans Nice Matin. « Notre jeune président de la République possède une qualité rare : le courage », assure de son côté dans La Charente libre Jean-Louis Hervois, pour qui hier soir le chef de l'État « a dominé au corps à corps » le débat.

Une interview règlements de comptes ?

« Jupiter ne craint rien ni personne. Hier soir, il affrontait le redoutable tandem Bourdin-Plenel, un brin débraillé et souvent trop agressif. Le chef de l'État semblait se délecter de sa technique et de son inébranlable confiance en soi », relève, pour sa part, Pierre Frehel, du Républicain lorrain. Pour Alain Dusart, de L'Est républicain, Emmanuel Macron a surtout pris « plaisir à batailler pour expliquer, décrypter et amplifier son élan politique ».
D'autres regrettent que l'esprit de confrontation ait été trop présent, prenant parfois le pas sur le fond du débat. Ainsi, dans les colonnes de La Nouvelle République du Centre Ouest, Olivier Pirot se désole et évoque « un débat parfois brouillon, où quelques échanges ont ressemblé à des règlements de comptes ». Jean-Michel Helvig, pour La Nouvelle République des Pyrénées, va même plus loin en affirmant que cet entretien n'était qu'« une sorte de politique-corrida ». « La vivacité et l'excitation ont transformé parfois l'interview en véritable confrontation », s'exclame Patrice Chabanet, du Journal de la Haute-Marne.
Au final, « si Emmanuel Macron voulait une confrontation qui montre sa connaissance des dossiers, l'opération est en partie réussie. S'il voulait répondre à la colère populaire, l'exercice aura sans doute eu davantage de mal à convaincre », conclut Éric Marty, du Midi Libre.

Pour le reste E.MACRON s’est comporté en président de notre république ce qui change de ses prédécesseurs en patron de l’état et du gouvernement de la France !

Il a confirmé son interview de jeudi avec JP PERNAUT en mettant les points sur les « i » de sa ligne de conduite en 2h40 de réponses détaillées aux questions bateau de ses interlocuteurs qui n’apportaient rien de nouveau agrémenté bien sûr de la tension vindicative de J.J. BOURDIN l’excité qui devrait faire un autre métier et qui a essayé de le déstabiliser en vain !

Et il a fait comprendre aux français qu’il maintiendrait sa marche pour réformer le pays même si cela ne peut plaire à tout le monde et déclenche des colères de certains de nos concitoyens bien sûr comme dans toute démocratie en martelant le « ce que je dis-je le fait » déjà entendu de sa part !

Et surtout il a fustigé ceux qui font la grève pour la grève et bien sur les casseurs divers cagoulés trublions qui dans la ZAD (zone à désordre) NDDL continuent leurs exactions violentes inadmissibles dans un état de droit à faire respecter !

Il a admis que son élection n’avait pas obtenu une large majorité, mais ce n’est pas la 1ere fois que cela se produit, un certain CHIRAC en avait aussi profité quand le parti d’extrême droite est arrivé contre lui au 2eme tour de la présidentielle, car nos concitoyens ne veulent pas du FN (comme d’habitude) parti qui ne sert qu’à protester pas à gouverner !

Le système électoral n’est pas au top, une preuve de plus dans cette V eme république obsolète et les médias sont presque un 2eme pouvoir qui influence trop les électeurs et favorise l’abstention !

Donc bien que je ne sois pas pro Macron, il faut admettre que peut être le changement que voulaient les français c’est maintenant, car ils l’ont confirmé par les élections en se débarrassant presque de tous les grands et gros tout mou qui se sont assez engraissés pendant des décennies sur les bancs de nos assemblées et des dirigeants médiocres !

Jdeclef 16/04/2018 10h25 LP

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