lundi 6 septembre 2021

Les verts vont devenir infréquentables car glissant vers un extrémiste borné totalitaire ! (ce sont "des empêcheurs de tourner en rond" incurables !)

 

Cotta – Des Verts un peu trop gris (car faux jetons. .!)

Le premier débat entre les candidats à la primaire d’Europe Écologie-Les Verts fut policé. Mais les désaccords entre les impétrants restent nombreux.

 

Gentils, gentils au cours du premier de leur débat avant l’élection primaire qui doit les départager, diffusé sur France Info et France Inter, ils ont été tous très gentils les uns avec les autres. Tous les cinq, conscients des fractures, des divisions, parfois mortelles, qu’une élection primaire peut entraîner, écartant les électeurs plutôt que les attirant, ont d’abord fait attention à se ménager les uns les autres, à donner d’eux l’apparence la plus exquise possible, y compris Sandrine Rousseau dont la radicalité naïve en a fait sourire plus d’un la semaine dernière. Yannick Jadot, ragaillardi par des sondages favorables, était sans doute le plus à l’aise, dominant de sa haute taille la partie, tandis que l’ex-ministre Delphine Batho, chargée de l’écologie dans le gouvernement socialiste de Jean-Marc Ayrault, expérience politique aidant, prenait dès le début la place de challenger. Une déception, celle du maire de Grenoble, Éric Piolle, pourtant bien placé jusqu’à maintenant dans la compétition, qui n’est pas parvenu à structurer assez sa pensée pour l’imposer. Et un ovni méridional très content de lui, Jean-Marc Governatori, coprésident, avec Corinne Lepage, de Cap Écologie, dont on s’est demandé jusqu’au bout ce qu’il faisait là, encore qu’il ait su cacher, pour l’occasion, ses positions plus qu’ambiguës vis-à-vis du vaccin et du pass sanitaire. Bref, une attitude collective exemplaire, dont devraient s’inspirer tous les candidats à des primaires, quelles qu’elles soient. D’ailleurs, à l’issue de leur première rencontre, ils avaient tous l’air contents d’eux et de la qualité de leur débat.

Coignard – Sandrine Rousseau : radicale ou bancale ?

Une décroissance qui « améliore le bien-être humain » ?

Et pourtant, derrière cette belle démonstration audiovisuelle, bien des divergences exprimées, certes sans aboiements, au cours d’échanges policés sont plus profondes qu’elles ne sont apparues hier. Un exemple : celui de la décroissance, terme cher à Delphine Batho. De quoi s’agit-il ? En réalité, le concept de décroissance telle qu’elle s’est efforcée de le développer est resté bien flou. Il s’agit, a-t-elle plaidé, d’une politique de décroissance qui « améliore le bien-être humain ». Comment ? Cela, on ne le sait pas, car la candidate à la candidature n’est pas entrée dans le détail, remettant à plus tard, si elle gagne, la construction de son programme avec les citoyens. L’essentiel, on l’a compris, est que, selon elle, la France doit abandonner son « obsession de la croissance du PIB » pour viser d’autres objectifs, « la pleine santé, la lutte contre la pauvreté, la réduction des gaz à effet de serre et la régénération de la biodiversité ».

Certes. Qui peut être contre ?

En réalité, c’est à Yannick Jadot en priorité qu’elle s’adressait pour souligner le désaccord fondamental qui les oppose. Selon elle, Jadot n’a pas l'intention de renoncer à l’obsession de la croissance du PIB, mais plutôt d’imposer ses règles à l’économie et à la société : primes aux énergies renouvelables, surveillance de l’attribution des fonds publics à ceux qui font usage de pesticides, tout cela basé sur une revendication de la justice sociale, le député européen vert prônant la nécessité d’un revenu citoyen. Insuffisant, selon Delphine Batho, pour laquelle la seule idée de croissance est incompatible avec l’écologie. « C’est tout le logiciel qu’il faut changer », a-t-elle redit plusieurs fois, cachant à peine que, selon elle, Yannick Jadot restait, lui, obsédé par la compétition économique.

Gernelle – Éric Piolle, candidat le plus anti-écolo de France

Des divergences sur la laïcité

Des divergences, on en a aussi senti, toujours certes dans la politesse, sur la laïcité. Sur le droit au blasphème, qui avait pourtant été critiqué avec horreur par Jean-Marc Governotari, et que les quatre autres ont au contraire revendiqué. Mais aussi lorsque Delphine Batho a constaté que l’interdiction du foulard était bel et bien émancipatrice pour la femme, tandis que Sandrine Rousseau, de manière compliquée, a semblé dire que l’émancipation de la femme passait d’abord par la liberté d’usage de son corps. Cette dernière, donnant le seul coup de canif à l’apparence d’unité, a d’ailleurs laissé entendre au détour d’une phrase qu’il y avait bel et bien deux types de Verts, deux groupes « qui n’ont pas le même rapport avec la laïcité ».

Hormis le refus horrifié du nucléaire, commun aux cinq protagonistes d’hier, on compte donc bien des différences dans ce groupe qui a su éviter les oppositions sans parvenir donc à les cacher.

Une question demeure, si tant est qu’on ait l’humeur un tantinet provocatrice : chacun des leaders, à gauche à droite et au centre, semblant faire sienne la bataille de la biodiversité, de la lutte contre le CO2, et d'autres maux de la planète, faut-il encore des Verts pour s’occuper d’écologie ?

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Pour essayer de « plaisanter un peu ils ne sont pas encore murs pour gouverner la France plutôt blette » avec leurs divisions de cours d'écoles !

Si les verts n'étaient plus divisés, ce ne serait plus les verts style EELV écolos utopiques faisant de la mauvaise politique politicienne qui ont eu des ministres de l'écologie dans le passé !

On en a eu pas mal de ces politiciens ou apprentis ministres plus médiocres les uns que les autres avec en plus certains pas très nets faut-il les nommer ?!

C’est facile, jusqu’à le fameux N.HULOT star médiatique télévisuelle  par ces documentaires qui ont fait sa fortune et qui engrange les fruits de ses produits, dérivés de son émission Ushuaia !

Personnage utopique qui a fait pschitt après que E.MACRON et son mauvais choix habituel l’avait choisi, ce collaborateur médiatique parce qu’il plaisait aux français, l’a remercié !

L’écologie, l’environnement, la lutte contre le dérangement climatique dans la vie quotidienne c’est utile et bien, mais il faut savoir les pratiquer intelligemment, eux ne savent pas, ils font de la mauvaise politique politicienne comme d’autres partis connus (ou nos dirigeants et gouvernements actuels bien-pensants donneurs de leçons hypocrites !) 

En plus nos médias nous serinent avec leurs sondages en mettant encore en avant le duel M.LE PEN et E.MACRON en lice au 2eme tour de la présidentielle, ce qui effraie la majorité silencieuse qui s’abstient de voter au mieux, car désespéré !

La France va mal, car les français ne se remuent pas, car encore trop gâtés malgré les crises actuelles sanitaires et autres et les médias n’arrangent pas cela pour les gogos qui s’y laissent prendre !

Les 7 mois avant la présidentielle ne vont pas être sereins, car politisés à outrance !

Jdeclef 06/09/2021 10h12


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