vendredi 17 septembre 2021

Le président confirme qu'il ne décide pas et se contente de faire des paris sur l’avenir !?

 

Coignard – Pass sanitaire : le pari – osé – d’Emmanuel Macron

CHRONIQUE. La fin du pass est évoquée par le président qui envisage un allégement des contraintes sanitaires. Mais attention à ne pas décevoir.

Deux jours d’affilée ! Mercredi en déplacement en Eure-et-Loir, Emmanuel Macron avait évoqué un prochain « allégement des contraintes » sur le pass sanitaire. Hier jeudi, aux Rencontres de l’Union des entreprises de proximité, il sert montré plus précis : « Dès que les conditions sanitaires le permettront et, à mon avis, quand je vois les chiffres, ça ne va pas venir si tard, on pourra se permettre sur les territoires où le virus circule moins vite de lever certaines contraintes et de revivre normalement. »

Cette promesse d’un retour prochain aux « jours heureux », d’un quotidien à la danoise, pays où un « coronapass » avait été instauré au printemps et où toutes les contraintes sanitaires ont été levées le 10 septembre dernier, est à double tranchant.

Coignard – Plaidoyer pour le pass sanitaire

Côté face, le président veut capitaliser sur l’incontestable réussite globale de sa stratégie sanitaire au cours des derniers mois. Son discours du 12 juillet dernier sur l’extension du pass sanitaire, l’obligation vaccinale pour les soignants et la fin de la gratuité des tests de convenance à partir du 15 octobre prochain a conduit plus de 15 millions de Français vers le vaccin. Mieux, les soignants réfractaires à toute injection, frappés de suspension d’activité depuis ce mercredi, représentent une infime minorité. La stratégie de persuasion par la manière forte a donc fonctionné. Et le président aurait tort de ne pas s’en féliciter.

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Le risque de décevoir

Mais, côté pile, la promesse d’un retour prochain aux « jours heureux », selon l’expression remarquée qu’il avait employée le 13 avril 2020, n’est pas sans risque.

D’une part, le chef de l’État ne peut désormais que décevoir, si d’aventure la baisse des contaminations venait à marquer le pas, voire à s’inverser. L’hypothèse n’est pas farfelue. Elle est évoquée par les modélisations de l’Institut Pasteur et par de nombreux médecins, qui craignent l’arrivée de l’automne et la baisse des températures qui l’accompagne. Elle est étayée par la proportion de personnes fragiles non vaccinées, 15 % environ, soit infiniment plus qu’au Danemark. Des personnes qui pourraient, demain, venir saturer de nouveau les services hospitaliers. Or, ne pas tenir un engagement optimiste, à quelques mois de la présidentielle, se révélerait fort embarrassant.

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D’autre part, le message selon lequel le passe sanitaire peut être oublié parce qu’il a accompli sa principale mission, pousser le plus grand nombre vers les centres de vaccination, recèle une grande part d’ambiguïté. Parmi ses infatigables détracteurs, certains prétendront qu’il n’était donc pas si nécessaire que cela. D’autres s’indigneront que les soignants aient été contraints à la vaccination juste au moment où tout va mieux. D’autres encore risquent d’interpréter cet assouplissement comme le signal d’un relâchement général… La machine à critiquer menace de fonctionner de nouveau à plein régime dans les jours à venir.

L’annonce est-elle prématurée ? Nul ne le sait aujourd’hui, pas même Emmanuel Macron, qui a « pris son risque ». Il était, certes, essentiel d’indiquer une sortie à cet interminable rétrécissement du quotidien. À condition, toutefois, de bien choisir son moment !

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Bien sûr, il est en campagne électorale il ne pense qu’à cela, bien qu’il ne l’ait pas confirmé, alors en bon politicien chef d’état pleutre, il ne décide pas, il tergiverse car la vaccination faussement obligatoire par se passe sanitaire n’est qu’un moyen détourné, car s’il se trompe on lui reprochera, mais il a le droit de se tromper, ce n’est qu’un homme non scientifique et çà cela s’appelle manque de courage ou volonté de « président » pas des politiciens médiocres comme toute la classe politique française est lotie car ils se battent pour eux  !?

Il se dégonfle comme son prédécesseur HOLLANDE, des baudruches crevées qui devant les problèmes perdent de leur ampleur artificielle dû à leurs égos démesurés !

Car tous courent après les honneurs ou conforts et ors des palais de la république pseudo monarchique qui leur donnent trop de pouvoir donné par nous français, dont on ne peut se débarrasser par notre histoire ancienne pourtant ponctuée par une révolution qui a en fait débouché sur l’empire pour finir après des épisodes chaotiques sur ces républiques qui maintenant accouchent de bienpensant donneur de leçons hypocrites qui se prennent pour des monarques sans couronne de l’ancien régime !

Mais ces élus professionnels de la politique ne sont pas stupides, même s’ils se déchirent pour le pouvoir suprême, ils ne pensent qu’à eux et profitent de la versatilité et du « chacun pour soi » individualistes typique d’une majorité de français lambda !

En 2022 on vote pour l’élection présidentielle, ce serait très étonnant que cela change, car quand des mauvaises habitudes sont prises, il est difficile d’en changer !?

Jdeclef 17/09/2021 11h04


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