mardi 21 mars 2023

Le président poursuit sa fuite avant avec le risque d’un embrasement d’une partie des Français qu’ils ne faut pas pousser à bout !?

 

EN DIRECT. Réforme des retraites : Macron n'envisage ni dissolution ni remaniement !?

Après le tour de force du gouvernement, Emmanuel Macron ne jouera pas l'apaisement. Il n'entend ni dissoudre l'Assemblée, ni remanier, ni convoquer un référendum.

NOTRE PRESIDENT JOUE AVEC LE FEU OU IL RISQUE DE SE BRULER SUR LA COLERE DE TOUS LES FRANÇAIS QU’IL N’ECOUTE PLUS ?!

L'essentiel :

  • Après le rejet de deux motions de censure – dont une à neuf voix près – à l'Assemblée nationale, le projet de réforme des retraites est considéré comme adopté.
  • Les manifestations et mouvements de grève se durcissent à travers la France. 171 interpellations ont eu lieu à Paris hier, lundi 20 mars.
  • Emmanuel Macron multiplie les rencontres ce mardi 21 mars. Il va recevoir la Première ministre, Élisabeth Borne, dans la matinée, ainsi que les chefs de la majorité. Puis, il recevra les députés et sénateurs de la majorité dans la soirée. Il sera l'invité des journaux télévisés de 13 heures de TF1 et France 2, demain, mercredi 22 mars.
  • Face au début de la pénurie de carburants, le ministère de la Transition énergétique a annoncé des réquisitions au dépôt pétrolier de Fos-sur-Mer. En Loire-Atlantique, les forces de l'ordre sont intervenues dans la nuit de lundi à mardi pour débloquer le terminal pétrolier de Donges, qui était occupé depuis une semaine par des grévistes.

12 h 05 - La situation est tendue entre manifestants et CRS à Fos-sur-Mer

      Selon des journalistes présents sur place, la situation est tendue à Fos-sur-Mer après la demande de réquisition du préfet. 
 
          

11 h 44 - "Macron ne va ni dissoudre, ni remanier, ni convoquer de référendum sur les retraites"

      Emmanuel Macron a affirmé mardi qu'il n'entendait ni dissoudre l'Assemblée nationale, ni remanier le gouvernement, ni convoquer un référendum sur sa réforme des retraites pour éteindre la contestation, ont rapporté à l'AFP des participants à une réunion du camp présidentiel à l'Élysée. Selon l'un de ces participants, le chef de l'État a demandé à ses troupes de faire "d'ici deux à trois semaines maximum" des "propositions" en vue d'un "changement de méthode et d'agenda des réformes".

Ce cadre du camp présidentiel a estimé que le président voulait "identifier quelques projets clairs, sur un agenda clair", par exemple jusqu'aux Jeux olympiques de l'été 2024, "avec une méthode claire", pour "éviter de se retrouver dans une contestation de la légitimité d'un texte".
      

11 h 41 - "Pas d'interpellation injustifiée", selon Laurent Nuñez

      Alors que 234 personnes ont été interpellées lundi dans la capitale, le préfet de police de Paris, Laurent Nuñez, a affirmé sur BFMTV qu'"il n'y a pas eu d'interpellation injustifiée". "Les infractions des personnes arrêtées en marge des manifestations sont à nos yeux constituées", a-t-il assuré.      

11 h 39 - Éric Ciotti reconnaît "un échec" pour son parti

      Alors que 19 députés LR ont voté en faveur de la motion de censure contre le gouvernement lundi soir, le président des Républicains, Éric Ciotti, reconnaît que son parti a "subi une épreuve, quelque part aussi un échec".       

11 h 34 - Le RN a déposé un recours devant le Conseil constitutionnel

      Les députés du Rassemblement national ont déposé, ce mardi, un recours devant le Conseil constitutionnel contre la réforme des retraites pour "que ce texte tombe dans les oubliettes de l'histoire et soit mis à la poubelle". 

Laure Lavalette et Thomas Ménagé, porte-parole du RN, ont dénoncé à cette occasion une "réforme injuste, brutale, qui va pénaliser les retraités français". "L'objectif, c'est de mettre en échec le gouvernement sur ce texte et donc on utilise tous les moyens en notre pouvoir", a insisté Laure Lavalette. 

Le recours vise notamment le choix du "véhicule législatif" du gouvernement pour porter ce texte très controversé, un projet de loi de financement rectificative de la Sécurité sociale (PLFRSS) "puisqu'il n'y a aucun impact sur le budget en cours", a estimé Thomas Ménagé. Il a également pointé "la sincérité des débats", selon lui altérée par "l'abus du droit d'amendement de la part de la Nupes qui a empêché" qu'ils aient un vote. Les députés RN ont encore soulevé la question de l'index sénior, selon eux un "cavalier législatif" sans rapport avec un PLFRSS.

Le RN "appelle encore une fois le président de la République à retirer ce texte", a poursuivi Laure Lavalette. "Les Français souhaitent le départ d'Élisabeth Borne. On appelle de nos vœux une dissolution."
      

11 h 32 - La gauche attend Macron au tournant

      "49.3 verbal", "déni", "entêtement", plusieurs personnalités de gauche ont enjoint mardi à Emmanuel Macron d'"apaiser" la colère mercredi, lors de son entretien télévisé, après la très douloureuse adoption de sa réforme des retraites par le Parlement. 

"S'il refait une espèce de 49.3 verbal, c'est-à-dire qu'il revient à la télé pour dire la même chose, je m'en fiche de votre opinion, j'impose, la manif de jeudi sera encore plus forte", a déclaré le député LFI Alexis Corbière sur CNews, appelant le président à "faire de la politique" plutôt que de se "draper dans la Ve République et dire 'j'ai le droit, j'ai le droit parce que je peux vous imposer...'". 

"Si c'est une nouvelle intervention pour dire vous n'avez pas bien compris et moi, je vais mieux vous expliquer, il va se carboniser", a-t-il résumé. "Les gens ont compris, ça va."      

11 h 07 - Un barrage filtrant dans le Cantal

      Dans le Cantal, une cinquantaine de militants en intersyndicale ont organisé un barrage filtrant sur la RN122 à proximité du tunnel du Lioran, a constaté un correspondant de l'AFP.      

11 h 06 - La raffinerie TotalEnergies de Feyzin toujours à l'arrêt

      Dans la région lyonnaise, la raffinerie TotalEnergies de Feyzin, dans le Rhône, a cessé depuis lundi les expéditions. D'après Jeff Vapillon, syndicaliste FO et salarié du site, le préavis est maintenu et les cuves de stockage sont proches d'être remplies, ce qui pourrait entraîner un arrêt de la production dans l'après-midi. 

Dans la matinée, la circulation a aussi été perturbée autour de l'agglomération de Lyon en divers points lors de distributions de tracts. 

En gare de Perrache, environ 150 manifestants ont ainsi provisoirement envahi la voie, dans le calme. En partie équipés de chasubles syndicales, ils ont aussi tenté de bloquer le boulevard urbain M7 à proximité immédiate, ce qu'ils ont réussi à faire une première fois, mais pas une seconde, empêchés par les forces de l'ordre. Une distribution de tracts a également provoqué un important bouchon sur le périphérique à Villeurbanne.      

11 h 05 - L'accès à la centrale nucléaire du Bugey bloqué

      L'accès à la centrale nucléaire du Bugey, dans l'Ain, est bloqué mardi matin par les salariés s'opposant à la réforme des retraites, a-t-on appris de sources concordantes. Les grévistes, entre 300 et 400 selon le secrétaire du CSE Christophe Paul (CGT), laissent passer seulement le personnel d'astreinte dédié aux activités liées à la sûreté.

La direction de la communication a confirmé le blocage, sans donner de chiffre, insistant sur le fait que "le respect de la sûreté des installations" était assuré. 

"C'est la première fois qu'on bloque l'accès au site de l'extérieur depuis le mouvement contre la réforme des retraites", a précisé Christophe Paul. Selon le responsable syndical, l'action mardi n'affecte pas la production de la centrale.      

11 h 01 - Élisabeth Borne veut saluer la "ténacité" de ses députés

      Élisabeth Borne est de retour à l'Assemblée. La Première ministre devait participer à 10 h 30 à la réunion du groupe des députés Renaissance, puis à 11 heures à celle du groupe MoDem et enfin, à 11 h 30, à celle du groupe Horizons, avant de tenir à 13 heures, comme prévu, une "réunion de travail" à Matignon avec plusieurs de ses ministres. Elle va "remercier les députés de leur mobilisation sans faille, leur ténacité dans l'Hémicycle, leur unité et leur courage face aux intimidations", a indiqué son entourage.
Le texte sur la réforme des retraites "est un bon compromis et il n'y a pas de majorité alternative", devait faire valoir Élisabeth Borne. "À ce titre, les groupes de la majorité ont une responsabilité : celle de rester des réformateurs tout en cherchant des sujets de concorde", selon entourage. 
"Parmi les enseignements, il faudra tenir compte de ce qui s'est passé pour la suite au Parlement : partager davantage les séquences et les sujets dont la majorité se saisit et faire preuve de plus d'anticipation sur les textes", devait-elle insister.
      

10 h 31 - La zone industrielle du Havre bloquée

      Selon l'AFP, tous les ponts d'accès menant à la zone industrielle du Havre, en Seine-Maritime, ainsi que celui du port sont bloqués ce mardi matin.      

10 h 27 - Une conseillère régionale "violemment plaquée au sol par la police"

      Selon France Bleu Nord, la conseillère régionale communiste Héloïse Dhalluin a été violemment plaquée au sol par la police lors de la manifestation de lundi soir à Lille. "Cette réforme est déjà une réforme violente envers les femmes, mais là, ce qu'ils viennent de me faire, c'est de la violence gratuite ! J'ai honte de mon pays", a-t-elle déclaré auprès de nos confrères.      

Car là il augmente les erreurs qu’il a faite et souligne tous les problèmes qui se sont accumulés depuis 2018 peu de temps après le début de son 1er quinquennat qu’il n’a pas réglé n’y même tenté de commencer à résoudre en interne et national auquel s’est ajouté cette situation internationale tendue sous fond de guerre larvée Russo Ukrainienne et de gesticulations de dictateurs dangereux dans le monde !?

Les Français sont quelquefois lents à se mettre en route mais quand cela dépasse le supportable pour eux il est difficile de les arrêter !?

Le peuple de France lambda ne veut pas voir son pays basculer dans une démocrature comme dans d’autres grands pays connus qui ne veut pas dire son nom par un président à qui on a donné trop de pouvoir qui leur disent « Non à tout » !?

Il devrait s’attacher à calmer ce jeu dangereux pour la paix et la sécurité sociale et le quotidien de la vie des Français lambda dans notre pays et en ne les soulant pas d’un de ses discours creux alambiqués habituels !

Car la France et les Français vont mal c’est cela la réalité et qu’il oublie son orgueil mal placé de petit chef d’état pseudo monarque dépassé pour le bien de tous svp !?

Jdeclef 21/03/2023 13h16LP


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