mercredi 8 mars 2023

Les allemands roulent pour eux depuis toujours donc encore plus avec leur industrie de pointe sur l’automobile déjà Mme MERKEL ne cédait rien et faisait la pluie et le beaux temps allemand et le nouveau chancelier SCHOLZ est aussi retord qu’elle en prenant sa suite les allemands n’ont jamais été de bon partenaire dans ce couple franco-allemand bidon « et c’est elle qui portait la culotte » n’en déplaise à notre tout petit président se prenant pour un monarque sans couronne dans notre Veme république monarchique qui ne compte pas !?

 

Le « coup de Lindner » qui secoue l’Union européenne !?

En imposant à Berlin de revenir sur un accord au Conseil européen, Christian Lindner, le leader des libéraux allemands, ouvre une crise sans précédent. Explications.

TRAITER AVEC L’ALLEMAGNE A SOUVENT ÉTÉ MISSION IMPOSSIBLE ET MALGRE LA FIN DE LA 2EME GUERRE MONDIALE ELLE S’EST BIEN RELEVEE CAR BIEN AIDEE PAR LES USA MAIS NE SE LAISSE PLUS FAIRE DEPUIS LA FIN DE LA GUERRE FROIDE ET LA CHUTE DU MUR DE BERLIN EN 1989 ?!

Christian Lindner, 44 ans, est tombé dans la marmite de la politique à l'âge de 16 ans. Le jeune homme, rusé, habile, très sympathique selon ceux qui l'ont croisé, n'ignore aucune des ficelles du métier. Européen convaincu depuis toujours, il s'autorise aujourd'hui un « coup » que même les gouvernements les plus eurosceptiques n'ont jamais osé : revenir sur un accord au Conseil quand toutes les délibérations sont bouclées. En l'occurrence, l'Allemand tente de torpiller l'accord sur la fin des moteurs thermiques en 2035, obtenu en octobre 2022, sous présidence tchèque. Une décision monumentale par ses multiples conséquences industrielles que le patron des libéraux allemand avait jusqu'ici acceptées, certes de très mauvais gré.

Le « coup de Lindner » entre directement dans l'histoire des institutions européennes : le leader des libéraux allemands impose à l'Allemagne de renier sa signature. Un coup de tonnerre aussi bruyant que les décisions « nationales » de la Cour constitutionnelle de Karlsruhe sur la BCE ou l'endettement commun !

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« Il avait fallu lui marcher dessus… »

« Il rejoue le match, commente un diplomate. Il avait fallu lui marcher dessus pour l'accord au Conseil. » Les doutes de Lindner sur les véhicules électriques sont anciens. Lors de la campagne électorale des législatives de septembre 2017, il avait déjà mis en garde, estimant qu'on en attendait trop. Le FDP réalise alors un bon score, 10,7 % des voix (80 sièges), qui lui permet d'envisager un retour dans la majorité gouvernementale. Il entame des pourparlers avec la chancelière sortante, Angela Merkel, et les Verts.

Las ! Le 19 novembre 2017, à l'approche de minuit, Christian Lindner rompt les pourparlers. « Il vaut mieux ne pas gouverner que mal gouverner », répète-t-il alors en guise d'autojustification. Il laisse entendre qu'Angela Merkel aurait trop concédé aux Verts. Lindner souhaitait notamment sauver les centrales à charbon dans son Land de naissance et d'élection, la Rhénanie-du-Nord-Westphalie. Qu'il se rassure, avec la guerre en Ukraine, elles sont sauvées !

En Allemagne, le charbon plutôt que l'atome

En septembre 2021, après quatre ans dans l'opposition, Christian Lindner, cette fois, piaffe de gouverner. Son parti obtient 11,45 % des voix. Mais, entre-temps, les préoccupations environnementales ont pris le dessus et le FDP se trouve à la remorque des Verts, qui sont passés devant avec 14,75 % des suffrages. Le rapport de force n'est plus du tout celui de 2017.

Lindner, tout à sa soif de gouverner, entre dans les négociations d'une coalition cette fois conduite par le SPD d'Olaf Scholz. Les Verts, alors codirigés par le tandem Robert Habeck-Annalena Baerbock, ont la main plus lourde. Christian Lindner avale les couleuvres de la fin du moteur thermique à l'horizon 2035. Il obtient cependant que les biocarburants y échappent. C'est exactement le même compromis qui est reproduit, ensuite, sous son impulsion au niveau européen quand le Parlement et le Conseil négocient en trilogue avec la Commission. Les biocarburants feront l'objet d'une proposition séparée de la Commission. Lindner donne son aval mais n'est assuré de rien. La Commission demeure maîtresse de ses propositions.

Le parti des « faiseurs de rois »

Alors, pourquoi revenir dessus ? Il faut se plonger dans les racines du parti libéral allemand pour comprendre la mentalité de ses dirigeants. Les libéraux allemands se sont structurés en 1948, à Heppenheim, après la guerre, dans une configuration politique où, en tant que parti charnière, ils pouvaient jouer les « faiseurs de rois ».

Aucun leader libéral n'est parvenu à la chancellerie. En revanche, depuis 1949, ils ont très souvent gouverné au niveau fédéral : près de quarante-cinq ans au pouvoir, dont une longue tranche de vingt-neuf ans entre 1969 et 1998. Leurs idées ont largement imprimé la politique allemande : l'ouverture sur le monde, le respect sourcilleux des libertés individuelles, la mondialisation des échanges, la déréglementation, le frein à la dette, la limitation des impôts… L'Union européenne a été longtemps guidée par les points cardinaux du FDP.

Les revirements programmatiques toujours sanctionnés

Toutefois, au cours de sa longue histoire, le FDP a effectué des virages programmatiques pour pouvoir gouverner tantôt avec la CDU-CSU, tantôt avec le SPD. À chaque fois qu'il change de cap, ses électeurs le lui font payer cher. Ainsi, en 1969, le FDP tente un rapprochement avec le SPD de Willy Brandt. Dans les urnes, la sanction tombe : 5,8 % des voix. En 2009, c'est avec Merkel que le FDP, alors dirigé par Guido Westerwelle, accepte de monter à bord. Compromises par la crise financière, les promesses de baisse des impôts sont intenables. Les électeurs sanctionnent brutalement le FDP aux législatives suivantes : les libéraux n'atteignent pas le seuil des 5 % et disparaissent du Bundestag.

C'est à la lumière de cette expérience traumatique que Christian Lindner réagit aujourd'hui. Or tous les signes électoraux d'une cuisante défaite à venir sont là. Les électeurs FDP sont déjà en train de partir… Lors de l'élection régionale en Basse-Saxe, le 9 octobre 2022, le FDP, avec 4,70 % des suffrages, n'a pas pu franchir le seuil électoral. Le 15 mai 2022, en Rhénanie-du-Nord-Westphalie, le FDP n'obtient que 5,86 % des voix (contre 12,6 % en 2017).

Un pragmatique embarqué sur une ligne antirusse

Christian Lindner avait réussi à prendre le pouvoir en 2013, à l'issue du cuisant échec de son prédécesseur, Philipp Rösler (qui a, depuis, quitté la politique). Pas question de renouveler la même erreur et de disparaître en 2025. Le leader des libéraux allemands rue dans les brancards, et ce n'est sans doute pas fini ! Les libéraux ne peuvent pas être entraînés vers le fond en se vidant de toute substance.

Même sur la guerre en Ukraine, Lindner est allé très loin dans les concessions aux Verts. Il s'était déclaré favorable à la reconnaissance de l'annexion de la Crimée par la Russie et militait pour l'assouplissement des sanctions européennes afin de préserver les intérêts économiques germano-russes. C'est dire à quel point les électeurs libéraux sont perdus par l'engagement du FDP sur la ligne du gouvernement Scholz…

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Logique en 2035 c'est dans 12 ans étant une décision arbitraire trop rapide qui handicape grandement les propriétaires de voitures roulant au diesel ou à l'essence anciennes nombreuses en circulation qui toucheront un maximum d'automobilistes dont beaucoup de modestes s'en servent pour aller travailler chaque jour qui n'auront pas les moyens de s'acheter des véhicules électriques bien plus chers et avoir des points pour recharger leurs batteries qui ne garantissent qu'une autonomie de 400 km en moyenne et l'électricité pas gratuite il faudra la produire en la mettant a dispos partout en France des bornes de recharge !?

Une annonce de notre monarque sans couronne illuminé avait annoncé en fanfare sans se soucier de la vie quotidienne des Français a qui on a promulgué la voiture à tous va pendant les 60 ans précédents et celles motorisées au diesel en plus alors que ce président pourtant n'étant pas le chantre de l'écologie pratiqué par les empêcheurs de tourner en rond vert EELV mais qui change de politique comme ça l'arrange girouette ne sachant pas ou il va !?

Quant à la politique de l'ALLEMAGNE et de ce fameux couple franco-allemand bidon du temps de MERKEL qui s'était mise dans les bras de la Russie logique en en fait née en RDA elle n'était jamais d'accord et nos dirigeants niais disaient toujours amen à ce qu'elle décidait !

Là on voit ce que donne l'Allemagne elle n'est pas un allié fiable qui traine déjà les pieds avec son chancelier que ce soit pour l'aide militaire de pointe à l'Ukraine et ses chars ou ses préférences au gaz russe et la réaction de ce leader libéral qui revient sur cet accord européen n'est pas étonnant l’Allemagne étant dirigée par une coalition de divers partis!?

Ce problème de véhicules électriques une phobie macronienne on fait fausse route et je critique (pourtant je suis retraité ne conduit pas et n'est pas de voiture) mais la bêtise politicienne çà suffit il faut changer de dirigeants qui mettent la charrue avant les bœufs !?

Jdeclef 08/03/2023 13h51

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