samedi 11 mars 2023

Les carottes sont cuites pour les syndicalistes qui appellent MACRON et le peuple lambda qui manifeste encore car avec l’inflation les Français ont froid et vont avoir pour certains aussi faims de plus en plus nombreux !?

 

Réforme des retraites : les responsables syndicaux appellent le président Emmanuel Macron à « consulter le peuple » ?!

Les opposants au projet de réforme se mobilisent pour une 7e journée, à l’orée d’une semaine qui pourrait bien voir l’adoption du texte par le Parlement.

LE GOUVERNEMENT JOUE LE POURISSEMENT VIEILLE METHODE QUI MARCHE SURTOUT EN HYVER C’EST TRISTE MAIS LES FRANCAIS NE SAVENT PLUS SE DEFENDRE EFFICACEMENT CE SONT DES PERDANTS CAR LE CHACUN POUR SOI EST DEVENU LA REGLE !?

Les responsables syndicaux ont appelé samedi le président Emmanuel Macron à « consulter le peuple » sur la réforme des retraites, lors d'un point presse en amont de la manifestation parisienne contre le projet du gouvernement.

« Puisqu'il est si sûr de lui, le président de la République, il n'a qu'à consulter le peuple. On verra la réponse du peuple », a lancé le secrétaire général de la CGT, Philippe Martinez. « Sans doute il faut aller vers une consultation citoyenne », a aussi estimé son homologue de la CFDT, Laurent Berger. « J'implore ceux qui dirigent ce pays de sortir de cette forme de déni du mouvement social », a-t-il aussi déclaré, faisant part de la « sidération » des militants face à la fin de non-recevoir du président de la République.

À l'appel des syndicats, les opposants à la réforme des retraites manifestent dans tout le pays samedi 11 mars, pour la septième fois depuis le début du mouvement. Une journée de mobilisation clé à l'approche d'une semaine décisive, où le gouvernement espère voir la réforme définitivement adoptée après un parcours parlementaire chaotique. Interrogée sur France Info samedi, la secrétaire générale ajointe de la CFDT, Marylise Léon, a appelé les Français à se mobiliser : « C'est la dernière ligne droite […] C'est maintenant que ça va se jouer », a-t-elle insisté.

« Il faut mobiliser, y compris par le blocage », a de son côté affirmé sur RMC le secrétaire général de Force ouvrière, Frédéric Souillot, soulignant que « sur les ronds-points, les zones industrielles, les équipes sont là et la mobilisation, elle est massive et déterminée ».

Toujours déterminés

Selon un sondage Elabe pour BFMTV publié samedi, 63 % des Français approuvent la mobilisation contre la réforme, 54 % soutenant le recours à la grève et au blocage de certains secteurs. « Je suis toujours très déterminée, car on a l'expérience des lois passées qui ont ensuite été abrogées », assurait vendredi Élodie Boussarie, une professeure de Marseille syndiquée chez SUD, rencontrée lors d'une action de blocage d'un péage urbain.

De source policière, la participation samedi pourrait atteindre 800 000 à un million de personnes dans les 230 manifestations prévues en France, dont 70 000 à 100 000 à Paris, où la manifestation s'élancera à 14 heures de la place de la République vers celle de la Nation. Samedi marquera la deuxième journée de mobilisation pendant le week-end, afin de permettre aux salariés d'y participer sans avoir à poser un jour de grève. Le 11 février, 963 000 personnes étaient descendues dans la rue selon le ministère de l'Intérieur, et plus de 2,5 millions selon la CGT.

Réforme des retraites : les syndicats peuvent-ils mettre la France à l'arrêt ?

Mardi 7 mars, les syndicats avaient une nouvelle fois fait la preuve de l'opposition très forte au projet de réforme, avec un record de manifestants (1,28 million de personnes selon le ministère de l'Intérieur, plus de trois millions selon l'intersyndicale) – sans parvenir à mettre le pays « à l'arrêt » comme ils en avaient émis le souhait.

Des grèves reconductibles ont été enclenchées ou intensifiées dans plusieurs secteurs, notamment les trains et le secteur aérien, ainsi que les centrales de production d'électricité, l'infrastructure gazière ou le ramassage des poubelles. Mais le trafic est annoncé quasi normal à la RATP samedi sauf sur les RER A et B.

Colère attisée par le « vote unique » au Sénat

L'opposition à la réforme pourrait être attisée par la « surdité » de l'exécutif et la tentation d'accélérer le débat parlementaire, ont prévenu les syndicats. Vendredi, le ministre du Travail, Olivier Dussopt, a dégainé l'arme constitutionnelle du vote unique au Sénat, face à « l'opposition méthodique » de la gauche.

Retraites : la gauche sénatoriale, atteinte de « mélenchonite » ?

La Chambre haute a jusqu'à dimanche minuit pour se prononcer, une commission mixte paritaire réunissant députés et sénateurs devant se tenir mercredi avant un vote définitif dans la foulée dans les deux chambres. Mais il semble incertain que le gouvernement parvienne à trouver une majorité de députés pour approuver le texte, et il pourrait recourir une nouvelle fois à l'article 49.3 (adoption sans vote), ce qui le placerait dans une situation politique périlleuse.

« Qu'est-ce qu'il faut faire de plus pour être entendu ? »

« Le recours au 49.3 pour un projet de loi qui n'aura pas été discuté serait une forme de blocage démocratique inacceptable », a prévenu mardi Laurent Berger. Le secrétaire général de la CFDT a regretté vendredi le refus du président de la République de rencontrer les syndicats, comme ils lui en avaient fait la demande dans un courrier solennel jeudi. « Triste mépris des travailleurs et de la démocratie sociale », a-t-il tweeté.

Laurent Berger, et si c'était son heure ?

« Quand des millions de personnes sont dans la rue […], quand il y a des grèves et qu'en face il n'y a rien, silence, les gens se disent “qu'est-ce qu'il faut faire de plus pour être entendu ?” », a déploré vendredi le secrétaire général de la CGT, Philippe Martinez.

« On pense qu'il y aura du monde encore très largement dans la rue parce que la fin de non-recevoir de Macron au courrier de l'intersyndicale, le fait d'accélérer la procédure de vote au Sénat, ça donne quand même le signe d'une espèce de fuite en avant de ce gouvernement. On pense que ça va plutôt attiser la colère qu'autre chose », a commenté auprès de l'AFP Murielle Guilbert, co-déléguée générale de Solidaires.

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Les syndicalistes que ce soit MARTINEZ le patron de La CGT (d'ailleurs déjà en préretraite prochaine) ou Laurent BERGER leader de la CFDT ils croient au père NOËL ce n'est plus la saison E.MACRON a été réélu jusqu'en 2027 donc à l'abri par l'erreur de certains Français en nombre assez suffisant car ne pouvant être réélu une 3 eme fois n'a rien à perdre !?

Quant aux syndicats bloquer le pays il faudrait que les français lambda suivent mais beaucoup ne le pourront pas déjà bien touchés par cette inflation et l'augmentation des denrées alimentaires ils faut bien qu'ils nourrissent leurs familles et savaient bien que la réforme des retraites avortée « aux points » du président à cause de la COVID reviendrait sur le tapis là les Français se sont fait piéger bêtement en le réélisant en lui ouvrant une nouvelle porte car ne sachant pas voter pour des dirigeants et gouvernements qui les protègent et soient de leur monde et surtout pas de celui des donneurs de leçons bienpensant hypocrites !?

Donc à moins d'un miracle ils attendrons 64 ans avec moult décisions qui n’amélioreront pas leur vie future et qu'ils ne se plaignent pas car c'était 65 ans au départ de prévu !?

Si dans le futur les électeurs de tous bords apprenaient à voter pour des dirigeants qui leur ressemblent cela aura servi à quelle que chose !

Qu'ils se souviennent que c'est MITTERRAND qui les bien roulé pour se faire élire et qu'ils ont réélu en plus malgré des septennats ratés avec ces 60 ans d’âge ce départ (car on était habitué à 65 ans !) Moi qui aie connu çà je m'en souviens je n'en croyais pas mes oreilles j'en ai profité mais là je comprends ceux que l'on remet à la case départ de 64 ans après 62 ans espérés pour certains déjà usés c'est de la malhonnêteté gouvernementale !?

Les Français ont un défaut depuis 40 ans ne pas savoir choisir leurs politiciens et donc leurs dirigeants et gouvernements en 2023 ils paient l'addition avec la macronie c'est pitoyable pauvre France et Français si naïfs !?

Jdeclef 11/03/2023 15h49

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