jeudi 23 mars 2023

Faire confiance à un seul homme en lui donnant trop de pouvoir jusqu’à le réélire sans réfléchir çà donne la situation actuelle de la politique de la France !?

 

Emmanuel Macron, de l’isolement à l’impuissance

RÉCIT. Acculé par le 49.3 et le résultat de la motion de censure transpartisane, le chef de l’État se retrouve, moins d’un an après sa réélection, enlisé. Retraité à 45 ans ?

Notre président est comme un hamster qui coure dans un tourniquet dans sa cage sans but !

Laurent Berger est fou de rage. Un parlementaire macroniste vient de prévenir le patron de la CFDT qu'Emmanuel Macron a décidé de dégainer le 49.3 sur les retraites. « Mais vous êtes dingues ! » lui textote le leader syndical en retour, abasourdi. Funeste épilogue pour une réforme dès le départ mal engagée… « Le plus terrible, c'est qu'on nous reproche plus d'avoir menti que d'avoir voulu faire passer cette réforme », se désole-t-on au gouvernement. Il faudra un jour s'attarder sur les erreurs et les ratages qui ont, depuis trois mois au moins, rythmé le cheminement de cette maudite loi, sur fond d'hostilité populaire et de mobilisation syndicale : l'étrange stratégie (lâcher un maximum de concessions avant même le débat parlementaire), le choix des mots inadapté (un projet financier vendu comme « de justice »), la mise en scène politique surjouée (l'accord précaire entre Élisabeth Borne et Éric Ciotti), la faiblesse de l'incarnation (Olivier Dussopt, pris pour cible et fragilisé), les carences techniques (sur les 1 200 euros, le sort des femmes)…

Mais les acteurs n'ont pas le cœur à rejouer le film. Depuis une semaine, les protagonistes sont suspendus au spectacle accablant des poubelles incendiées et des dégradations dans les grandes villes. Des rassemblements sauvages jaillissent ici ou là, à l'initiative de manifestants certes minoritaires mais animés par l'envie d'en découdre et de renverser le régime. « L'ambiance est insurrectionnelle. Une étincelle, et ça part », s'affole un élu Marcheur. Les oppositions, surtout du côté de la gauche radicale, sont déchaînées. À l'Assemblée, il n'a d'ailleurs manqué que neuf petites voix pour provoquer la chute du gouvernement. Ce jour-là, dans l'hémicycle, la désertion des élus de la majorité a frappé les esprits. Comme un symbole de la faillite d'un pouvoir et d'un chef lâché par ses troupes. « Ça fait six mois qu'on aurait eu besoin du président. Il est aux abonnés absents », rugit un député Renaissance. Certains menacent de faire sécession. D'autres demandent l'abandon de la réforme.

« Tout le monde sort groggy ». Certes, l'équilibre institutionnel tient encore, bien plus qu'au moment du CPE (contrat première embauche) sous Chirac en 2006 ou de Mai 68. Et le 49.3 a été activé par le passé pour des lois non moins importantes comme celles sur la dissuasion nucléaire ou la création de la CSG sous Rocard, dédramatise en privé le ministre des Armées, Sébastien Lecornu. Moins d'un an après la réélection du chef de l'État, la macronie se retrouve plongée dans une profonde tétanie. Un climat de « censure larvée », selon les mots de François Patriat, président du groupe Renaissance au Sénat, qui n'imagine pas d'autre issue à moyen terme qu'une dissolution de l'Assemblée.

« La situation de l'opinion est dégradée, un peu comme au moment des Gilets jaunes. Beaucoup de Français n'ont pas compris pourquoi il fallait faire une réforme des retraites. On ne leur a jamais donné les vrais chiffres. De surcroît, ils n'ont pas compris la méthode, au moins dans sa dernière étape parlementaire. Cette incompréhension est génératrice de rancœurs », s'alarme auprès du Point le haut-commissaire au Plan et patron du MoDem François Bayrou, que ses proches disent « en colère, inquiet et fâché ». Le maire de Pau, disent-ils, avait « vu venirl'iceberg » et n'a pas cessé d'alerter en « haut lieu comme en bas lieu ». L'élu centriste appelle désormais à une « nouvelle étape ».« Tout le monde sort groggy, concède la cheffe de file des députés Renaissance, Aurore Bergé. Nous n'avons pas eu le débat que nous méritions. La question, maintenant, c'est celle du rebond. Il faut désormais se remettre en marche et se projeter. » Les parlementaires n'ont pu que constater, dans leur circonscription, les effets désastreux du 49.3 dans l'opinion. Certains étaient attendus à la gare par une escorte policière, d'autres ont vu leur permanence vandalisée.

Pancartes. Les députés de gauche vent debout après le rejet, à 9 voix près, de la motion de censure transpartisane déposée par le groupe LIOT (Libertés, Indépendants Outre-mer et Territoires), à l’Assemblée nationale, le 20 mars.

Dos rond. « Comment on sort ? » s'interroge-t-on en boucle et nerveusement au cœur du pouvoir. Deux lignes se sont fait face dans l'équipe du président : les partisans d'une prise de parole rapide pour calmer le jeu et les autres, qui préconisent de « faire le dos rond » en attendant de voir comment évolue le climat social. Emmanuel Macron a opté pour les deux, nouvel avatar du « en même temps », refusant comme toujours d'agir sous la pression. Réfugié comme chaque week-end à la Lanterne, la résidence présidentielle attenante au château de Versailles, le chef de l'État, « toujours serein », est passé en mode « wait and see », selon son entourage. Emmanuel Macron s'est construit l'image d'un gouvernant combatif, volontaire et optimiste en toutes circonstances. Fébrilité interdite. Ce n'est pas un 49.3 et deux motions de censure rejetées qui vont le faire flancher. Voire… Les commentaires au vitriol de la presse étrangère, relayés par les Insoumis, ont dû, a minima, assombrir l'humeur de celui qui a pris soin, depuis 2017, de soigner sa stature internationale… « C'est le pire pour lui », souffle un visiteur du soir. Voilà le président solaire et révolutionnaire réduit à sa condition de gestionnaire impuissant et contesté.

A-t-il seulement conscience de l'ampleur de la crise, de la gravité du moment ? Autour de lui, ils sont de plus en plus nombreux à s'inquiéter d'un « isolement croissant », d'une forme de « déni », préoccupés de le voir évoluer « dans un monde parallèle ». « Comme s'il avait la clé, qu'il détenait la vérité… », persifle un fidèle. « Il va finir tout seul avec Brigitte. Il y a de l'usure… Le rétrécissement de la portée présidentielle est voulu, il a réduit le nombre de ses interlocuteurs. Il n'est pas mécontent d'avoir un peu moins d'emmerdeurs autour de lui, mais le résultat c'est qu'il n'a pas de capteurs et qu'il se prend le mur. » Des parlementaires avouent avoir même plaidé sciemment pour un vote en sachant qu'il serait défavorable, dans le seul but de voir Emmanuel Macron mis en minorité. « Il a besoin d'une bonne baffe pour redescendre sur terre, ça lui fera le plus grand bien », pouvait-on entendre dans les travées des rangs de la majorité, avant le coup fatal du 49.3. « La crise politique résulte de son choix, sermonne un habitué du Château. Il fallait voter, assumer son risque pour ainsi rester raccord avec son positionnement, son slogan de campagne "Avec vous", rester maître du jeu et garder la puissance d'un récit cohérent. »

Seul responsable. Aux yeux de plusieurs compagnons de route, Emmanuel Macron serait donc l'unique responsable de la situation. En s'étant mis les corps intermédiaires à dos durant le premier quinquennat, en escamotant la campagne présidentielle, en renonçant à fixer un cap et une vision clairs pour son second mandat, en organisant la faiblesse de son dispositif politique. Mais combien sont-ils à oser le lui dire ? « Le président doit se remanier lui-même, se remettre en question. On est dans l'ornière depuis sa réélection », tempête un proche. « Le Macron de 2017 aurait-il déclenché le 49.3 ? » s'interroge un historique.

Juste avant de trancher, Emmanuel Macron a dû vérifier par lui-même les tableaux Excel recensant le comptage des votes des députés LR. Ce jeudi 16 mars, jour de la décision, des ministres venus de la droite comme Sébastien Lecornu ont été sollicités en ultime recours par Matignon pour passer des coups de fil… Trop tard. Inutile de préciser la nature du jugement qu'a porté le président à ce moment-là sur le fonctionnement de son exécutif. « Pour Macron, dans ce genre de moments, c'est toujours la faute des autres », note un ancien conseiller. « Dans son for intérieur, il a dû se dire qu'il avait eu raison de vouloir passer les retraites en septembre par un amendement au budget de la Sécurité sociale et qu'il n'aurait pas dû écouter ceux qui l'en ont dissuadé », décrypte un ministre. Conséquence, selon plusieurs proches du chef de l'État, « les relations sont désormais dégradées » entre les deux têtes de l'exécutif.

« Vous n'avez pas voulu de Catherine Vautrin, vous m'avez vendu Élisabeth Borne comme la perle rare, et voilà où on en est ! » se serait emporté le président dans le huis clos des discussions avec sa garde rapprochée, entre le 49.3 et la motion de censure. En mai, la présidente de la métropole de Reims, ex-LR et ancienne ministre de Jacques Chirac, avait été approchée pour Matignon. L'aile gauche de la macronie avait alors fait barrage, au motif qu'une ancienne partisane de la Manif pour tous n'avait rien à faire à la tête d'une majorité progressiste. Élisabeth Borne s'est donc imposée, jusqu'à conserver son poste à l'issue des législatives en dépit de la majorité relative. « Pour la première fois, avec les retraites, le président a laissé faire sa Première ministre et son gouvernement sans mettre beaucoup d'énergie dans la machine. Il a fait confiance, et ça n'a pas marché. La leçon de tout cela, c'est qu'il n'est pas possible de confier les rênes d'un pays à un technicien. La copie de Borne n'était même pas propre ! Le gouvernement a échoué, c'est une vraie défaite politique. Élisabeth Borne est finie, elle n'a pas pris la dimension politique de son rôle et n'est pas une cheffe d'équipe. Le même texte avec des gens plus habiles, ce serait passé », cingle un lieutenant. « Il faut que le président et le gouvernement trouvent le leadership nécessaire pour conduire des choses aussi profondes », abonde François Bayrou.

Embrasement. Des syndicalistes brûlent des mannequins à l’effigie d’Olivier Véran, d’Emmanuel Macron, d’Élisabeth Borne et d’Olivier Dussopt, place de la République, à Dijon, le 16 mars.

« Armée mexicaine ». Plus qu'un remplacement de la Première ministre, qui ne semble pas à l'ordre du jour des prochaines semaines - Édith Cresson était restée en poste dix mois, impossible donc de se séparer d'Élisabeth Borne moins d'un an après sa nomination -, l'avenir de ce gouvernement pléthorique semble suspendu. « Des pans entiers des politiques publiques ne sont pas incarnés », se lamente un cadre de la majorité. « Il y a de la marge pour remanier sans tout changer ni montrer un aveu d'échec », estime un conseiller de l'exécutif. « Le président doit comprendre que c'est le grand retour de la politique. Sinon, c'est la fin de son quinquennat. L'expert d'un domaine ne fait pas un bon ministre ! La société est tendue, ce qui nécessite des dirigeants qui ont de la surface politique. Là, on a une armée mexicaine qui se tire dans les pattes », presse un stratège.

Reste qu'un changement de têtes, alors qu'un grand nombre de ministres demeurent de parfaits inconnus aux yeux des Français, aurait des effets limités dans l'opinion et ne suffirait pas à susciter un nouvel élan. En attendant de trouver la martingale, le camp du président s'emploie à passer ses nerfs sur Les Républicains, considérés comme les coupables de ce fiasco. « Emmanuel Macron n'est pas mécontent que cet épisode enfonce un peu plus la droite », glisse avec gourmandise un proche influent. « Les LR ont calé sur la réforme qu'ils ont eux-mêmes portée, et depuis toujours ! Quel est encore le sens de ce parti après ça ? » interroge à dessein Aurore Bergé. Son collègue Charles Sitzensthul enfonce le clou, accusant les « députés frondeurs des LR » d'être « les idiots utiles du Rassemblement national ». « Étant donné l'attitude qu'ils ont eue, il n'y a plus aucun deal, contrat ou négociation possible avec eux : ce parti est mort », achève un cadre du groupe majoritaire. Qui avoue : « Le seul gain politique de cette période, c'est de tuer définitivement les LR. » 

Cohabitation. Depuis les législatives, une guerre d'influence larvée oppose l'aile droite de la macronie, favorable à une coalition avec les LR, à certains Marcheurs historiques jusqu'à l'aile gauche, qui appellent à constituer des majorités de projet sur chaque texte, tantôt avec la droite, tantôt avec la gauche. Le dénouement sur les retraites cristallise ce clivage, au risque de tourner au règlement de comptes. « Le président s'est laissé lanterner par Lecornu, Solère et Darmanin qui lui ont fait croire qu'ils maîtrisaient les LR », maugrée un ténor du camp présidentiel. « Les 40 députés LR de l'opposition qui n'ont pas voté la censure représentent un petit capital politique pas négligeable pour la suite », veut croire un conseiller. Après tout, Rachida Dati et Jean-François Copé appellent bien à un accord de gouvernement…

Référendum, dissolution… Toutes ces options restent étudiées en haut lieu, sauf un retrait de la réforme, mais aucune ne semble de nature à apaiser le pays. Le président les a donc exclues à court terme. « Quand un dentiste arrache une dent sans anesthésie, c'est compliqué ensuite de retrouver le patient… », convient un grognard de la macronie, féru de métaphores. Les plus imaginatifs se surprennent à envisager une cohabitation avec le RN à la suite d'élections législatives anticipées, voire une démission du président. « Si Le Pen est majoritaire, allons-y, et ça la crame ensuite pour 2027 », phosphore ce compagnon de route du chef de l'État.

« Ambiance crépusculaire ». Une chose est sûre, l'agenda parlementaire et le programme des réformes vont être remis à plat. L'Élysée évalue l'opportunité de poursuivre l'examen de la loi Immigration de Gérald Darmanin, sujet inflammable et pas vraiment de conquête qui risque de déboucher sur un énième 49.3. La généralisation, voire l'obligation du service national universel (SNU), qui devait être annoncée sous peu, fait craindre au pouvoir une encore plus forte révolte de la jeunesse. Emmanuel Macron, qui prévoyait plusieurs déplacements avant son voyage en Chine début avril, est aussi censé livrer ses conclusions du Conseil national de la refondation, s'exprimer à l'issue de la Convention citoyenne sur la fin de vie. « Il faut vite en finir avec les retraites, car ce n'est pas sûr qu'on arrive à passer d'autres réformes structurantes », admet un conseiller ministériel.

Des membres du gouvernement l'incitent à se concentrer sur des sujets feel good, à préparer les Jeux olympiques et à œuvrer à l'unité de la nation, au rayonnement de la France à l'étranger… au risque de quatre années de surplace. Des parlementaires appellent quant à eux à pousser les feux sur le partage de la valeur, sur l'écologie. « Le président a de toute façon placé son mandat sous le signe de l'école, de la santé et de l'écologie. L'équipe est sur le terrain, et on continue le match ! Le cap est tenu malgré les vents contraires. Le capitaine va seulement nous dire comment on joue, maintenant », se rassure un ministre de premier plan, amateur de rugby. Signe de l'état d'extrême tension au sein du pouvoir, l'annonce (par Le Point) du départ du directeur de cabinet d'Élisabeth Borne, Aurélien Rousseau, a provoqué un psychodrame. Le bras droit de la Première ministre, qui a fait part de son souhait de quitter prochainement ses fonctions, a préféré nier plutôt que d'assumer, de peur de fragiliser sa patronne. « Ça sent la fin de l'histoire », achève un député macroniste. « Ambiance crépusculaire », note un autre. Et pourtant, le quinquennat ne fait que commencer…

La campagne de Matignon est ouverte

« Les jours d’Élisabeth Borneà Matignon sont comptés », croit savoir un élu proche d’Emmanuel Macron. « Elle remplissait la fiche de poste, c’est-à-dire ne pas exister. Mais elle s’est cramée sur les retraites. Il lui reste deux, trois mois tout au plus. » Dans l’entourage du président, nombreux sont ceux qui plaident pour un changement radical de profil à la tête du gouvernement. « Il faut un taulier, pas une technicienne de service avec un air austère, ça ne fonctionne pas », tranche un stratège. Les prétendants à la succession n’ont pas attendu pour se faire connaître. Le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire, « est clairement en campagne », observe-t-on avec amusement au sein de l’exécutif. Le transfuge des Républicains a multiplié les interventions médiatiques, appelant au « rassemblement » et à « l’ouverture » tout en assurant Élisabeth Borne de son soutien. Gérald Darmanin, issu de la même famille politique, lorgne aussi la rue de Varenne. Le ministre de l’Intérieur a plaidé jusqu’au bout pour passer au vote, mettant en garde contre « le ressentiment antidémocratique » engendré par l’usage du 49.3. « Il a demandé aussi ce qu’impliquerait un vote négatif. Comme pour pousser le président à dire qu’il virerait Élisabeth Borne dans un tel scénario », raconte un ministre. L’intéressée a beau « assumer être un fusible », elle a peu apprécié. Autre profil, toujours venu de la droite : Sébastien Lecornu, le ministre des Armées, jugé « très en cour » à l’Élysée. D’autres citent François Bayrou, Richard Ferrand, Bernard Cazeneuve… « La réalité, c’est que personne ne se dit qu’avec quelqu’un d’autre, la réforme se serait mieux passée », balaie un proche d’Élisabeth Borne. « Elle a montré sa dignité, sa résilience, son courage », soutient Aurore Berg駠M. S. 

Notre président ne sais pas il va mais et ne le savait déjà pas à la fin de son 1er quinquennat ou il a été réélu par défaut à cause de ce système électoral à 2 tours de cette Vème république obsolète usée et monarchique qui met face à face deux concurrents mais qui au final ne reporte pas l’adhésion d’une vraie majorité pour être président de la république qui soit supérieure à 50% et à cette élection on est loin de çà car les français on voté contre M.LE PEN et surtout cette extrême droite car RN (ex FN) qu’ils ne veulent pas depuis toujours !?

Le résultat ne sait pas fait attendre le président sortant a été réélu il ne s’est même pas forcé à faire campagne pour sa réélection !?

Car ce servant après de cette alibi de reforme des retraite par points qu’il n’a pas pu faire à cause de la COVID il en remet une autre classique par répartition en allongeant la date de départ des salariés à 64 ans avec la raison qui prime parce qu’il n’y a plus d’argent dans les caisses leitmotiv qui remonte déjà bien avant à ses prédécesseurs et aussi aux chèques en blancs de ceux qui se sont transformés en « quoi qu’il en coute » qu’il a fait et avec la peur déjà évoqué par F.FILLON d’un pays en faillite !?

Mais notre petit bourgeois bienpensant donneur de leçon bavard s’écoutant parler qui dédaigne ces français naïfs pas de son monde souvent issus de cette classe dite moyenne qui l’ont réélu faux monarque sans couronne il panique en fait car ne sait plus quoi faire et s’entête et s’enfonce dans une ornière qui se creuse chaque jour (il ferait mieux de changer de gouvernement en dissolvant l’assemblée nationale pour essayer de remettre les pendules à l’heure car étant là jusqu’en 2027 mais même cela n’est pas gagné pour la suite…)

La France va mal mais le monde aussi à l’international alors il ne faut pas en rajouter chez nous si possible !?

Jdeclef 23/03/2023 12h27LP

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