samedi 25 mars 2023

Quand on tire trop sur une ficelle déjà usée elle casse et çà notre président fat que nous subissons ne veut pas le comprendre et çà c’est très préoccupant !?

 

Kiosques attaqués et incendiés : la tristesse et la honte

ÉDITO. Des journaux ont brûlé, et avec eux les gagne-pains de gens qui travaillent entre 10 et 12 heures par jour. Joli symbole pour la liberté et la justice sociale.

LA COLERE ENJANDREE PAR UN PRESIDENT A QUI ON A DONNE TROP DE POUVOIR NE PEUT QU’ABOUTIR A DES COLERES OU DERAPAGES VIOLENTS QUAND LES FRANCAIS NE VOIENT PAS D’ISSUE A LEURS RECLAMATIONS ?!

Il y a des jours où la colère le dispute au chagrin. La peine, d'abord, pour un homme, gérant de kiosque à journaux, qui, nous confie-t-il, n'a pu dormir que deux heures cette nuit. Son outil de travail se trouve – ou plutôt se trouvait – près de l'Opéra, à Paris. Une odeur de brûlé, âcre, tenace, s'en dégage encore. « J'ai à peine dormi, raconte-t-il. Hier soir, je suis parti à 3 heures, mais il n'y avait rien à faire. Tout est noir. Tout est cendres. Même les bouteilles d'eau dans le frigo sont noires. »

La marchandise est fichue, le kiosque aussi. Au nom de quelle « justice sociale » s'en prend-on à un homme qui travaille entre dix et douze heures par jour, le plus souvent debout, et doit compter sur des amis pour venir tenir son commerce afin d'aller aux toilettes ? Car, non, il n'y en a pas dans le kiosque.

12 kiosques pris pour cible à Paris

Voici un travailleur qui ne gagne pas lourd et ne bénéficie pas vraiment d'un « régime spécial ». Mais il peut attendre longtemps avant que de grandes consciences sociales ne se soucient de son sort. Il ne l'attend pas, d'ailleurs. Il nous fait part de sa « grande fatigue physique et morale ». Durant la crise des Gilets jaunes, son kiosque avait été vandalisé à trois reprises, « mais jamais quelque chose d'aussi grave », dit-il.

Dette et réformette des retraites : la France est-elle devenue folle ?

Au total, douze kiosques ont été pris pour cible à Paris. Vitres cassées, portes éventrées. Deux, donc, ont été incendiés. Douze commerçants qui devront espérer que les assurances prennent suffisamment en charge les dégâts, afin de pouvoir racheter les marchandises (souvenirs, boissons, etc.) qui constituent une part significative de leur chiffre d'affaires. Douze marchands de journaux qui auront perdu, quoi qu'il arrive, des revenus, et qui continueront à en perdre lors de prochaines manifestations, car ils seront fermés. Leurs outils de travail seront fort heureusement remplacés d'ici à une semaine par la société Mediakiosk, qui gère les kiosques parisiens, et qui s'active pour les aider. Mais lors des prochaines manifestations, aucun d'entre eux ne sera rassuré.

Sentinelles de la liberté de la presse

Dans quel pays vit-on pour qu'un marchand de journaux ait d'aussi bonnes raisons d'avoir peur ? Et dans quelle époque vit-on pour que l'on puisse brûler des piles de journaux sans que cela émeuve grand monde ? Car les kiosquiers sont aussi les sentinelles de la liberté de la presse, de la liberté d'expression. S'attaquer à un kiosque n'est pas anodin. Douze encore moins. D'autant qu'il y a des précédents.

Retraites : la débâcle de la raison

Au Point, nous nous souvenons qu'en 2018, après la sortie d'un numéro sur le président turc Recep Tayyip Erdogan, les partisans de ce dernier en France avaient menacé des marchands de journaux. Au Pontet, dans le département de Vaucluse, l'un d'entre eux avait dû retirer l'affiche représentant notre une sous la pression de manifestants qui promettaient de « brûler » son kiosque.

Lors des manifestations de Gilets jaunes, des militants d'ultragauche avaient déjà incendié un kiosque sur les Champs-Élysées. D'autres avaient été dégradés, ou cassés.

S'habituerait-on ? Le quasi-silence qui a suivi ces dernières attaques de kiosques à Paris, notamment dans les sphères politiques et syndicales, est assez terrifiant.

Si le président reste droit dans ses bottes en ignorant les Français de tous bords par son entêtement et ne mettant pas de l’eau dans son vin cela ne peut qu’empirer !?

Car les protestations et manifestations diverses touchent toutes les villes et mêmes régions de province sur bien de sujets importants autant que différents car les réformes des retraites n’étaient déjà qu’une bombe à retardement qui ne demandait qu’à éclater et se rependre dans toute France servant indirectement de détonateurs pour d’autres problèmes sérieux agréger d’autres manifestants à réagir comme par exemple : l’affaires des bassines et ses agriculteurs manquant d’eau pour leurs cultures ou animaux !?

Notre gouvernement est dépassé en tout et le président n’a rien fait de concret depuis 2018 malgré des manifestations et grèves déjà présentes dès son 1er quinquennat n’a pas agi avec ses précédents gouvernements et vient de repasser le bebe à Mme BORDE sa 1ere ministre servile qui a de la constance de devoir supporter cela !?

Et bien sûr il a en plus fait un discours habituel qui n’a fait qu’attiser la colère car s’en est devenue une vraie des Français après cet échec et rejet massif des français de cette énième reforme des retraites dont ils ne veulent pas sous cette forme en les dédaignant pire qu’un monarque de l’ancien régime qui a transformé la France en champ de bataille nous mettant au banc des pays occidentaux libres démocratiques internationaux qui ne nous comprennent plus jusqu’à reporter le voyage prévu des monarques anglais une honte de plus à mettre au débit de notre président !?

Les Français lambda ne veulent plus baisser la tête car cela fait trop longtemps que nos dirigeants politiciens médiocres de tous bords se moquent trop ouvertement d’eux depuis + 40 ans !?

JDeclef 25/03/2023 12h22

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