Le changement climatique, cadet des soucis de Donald Trump
Le président a décidé de sortir les États-Unis de l'Accord de
Paris. Cette décision ne faisait guère de mystère tant Trump a multiplié les
sorties dans ce sens.
Il
l'avait promis, il l'a fait. L'Accord de Paris, entré en vigueur
le 4 novembre dernier, prévoit notamment une lutte renforcée contre
le réchauffement climatique. Depuis la campagne présidentielle, Donald Trump a toujours
relégué l'écologie au second plan. La preuve en trois sorties médiatiques.
« Des
restrictions qui tuent nos emplois »
« On
a appelé ça le réchauffement de la planète, le changement climatique.
Maintenant, ils appellent ça une météo extrême, c'est nouveau, car la météo
semble être un peu plus extrême. » C'est ainsi que le magnat de
l'immobilier, encore candidat aux primaires républicaines, a affirmé ne pas
croire au changement climatique, sur CNN
en septembre 2015. Il est même allé plus loin en insinuant que c'était une pure
invention de la Chine afin de
nuire à l'Occident. Comble de ce négativisme : une fois élu, Donald Trump
a nommé Scott Pruitt au poste d'administrateur de l'Agence américaine de
protection de l'environnement. Pour cet ancien procureur général, critiqué pour
ses liens avec l'industrie pétrolière, le CO2 n'est « pas le premier
responsable du réchauffement climatique que l'on constate ».Deux semaines après son élection, le 22 novembre 2016, Donald Trump poste une vidéo de plus de deux minutes sur Twitter. Pas officiellement investi, le milliardaire annonce les mesures phares qu'il prendra dès les premiers jours de son mandat. Pour « rendre sa grandeur à l'Amérique » – son slogan de campagne –, le républicain annonce qu'il s'apprête à revenir sur les engagements pris sur le climat : « Je vais annuler ces restrictions qui tuent nos emplois dans la production notamment dans les secteurs du gaz de schiste et du charbon propre », a-t-il précisé.
Début 2017, la relance par décret de deux projets d'oléoducs, suspendus par Barack Obama, fait partie des premières mesures que le président prend théâtralement, mettant en scène la signature des textes dans son bureau. Il annonce également un allègement des normes antipollution des voitures pour libérer les constructeurs automobiles de normes qu'il juge « trop contraignantes ».
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Car c'est lui qui se croit le chef du monde avec son égo démesuré et son égocentrisme maladif!
Non content d'être mal élevé, ce chef d’état d’un des plus grands états du monde est fantasque et imprévisible donc dangereux par ses réactions inconsidérées par un protectionniste à outrance des USA !
Car il va à l’encontre de la parole des Etats Unis donné par un président précédent et de la signature des USA malgré l’accord commun des 196 pays présents à l’accord de PARIS !
Que vaut alors la parole des USA envers le reste du monde, c’est ça qui est grave comment faire confiance à un tel président ?!
D’autres dirigeants dans l’histoire du monde n’ont pas respecté leur parole et signature sur d’autres sujets, on a vu ce que cela donné après, cet homme n’est pas fiable il faudra hélas s’en méfier heureusement que les institutions démocratiques américaines sont pour l’instant des gardes fous encore surs!
Jdeclef 02/06/2017 09h23
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