samedi 24 juin 2017

BAYROU s’enferre dans ses mensonges et recommence ses péroraisons habituelles !

«Bayrou ment»: Trois questions pour comprendre les nouvelles révélations sur le MoDem

EMPLOI FICTIF L’homme a travaillé cinq ans à Bruxelles, entre 2004 et 2009, comme assistant parlementaire d’un europdéputé centriste. Et il assure que la pratique des emplois fictifs était courante au sein du MoDem...

« J’ai vu que des parlementaires, à plusieurs, finançaient des temps partiels d’assistants parlementaires qui ne fournissaient aucun travail pour le député. »
L’étau se resserre sur François Bayrou et le MoDem ce vendredi alors que franceinfo publie le témoignage anonyme d’un ancien attaché parlementaire d’un eurodéputé centriste. Depuis le 9 juin, le parti est l’objet d’ une enquête préliminaire pour « abus de confiance et recel », soupçonné d’avoir détourné des fonds européens au profit de son parti.

Que reproche-t-on au MoDem ?

Le parti fondé par François Bayrou à la suite de l’élection présidentielle de 2007, est soupçonné de s’être servi de fonds de l’Union européenne en 2009, normalement alloués à la rémunération d’assistants parlementaires européens, pour financer le fonctionnement du parti politique. Le MoDem se remettait alors difficilement d’un mauvais score aux législatives 2007. Seuls trois députés Modem sont alors élus à l’Assemblée nationale, faisant fondre la dotation politique, explique Le Monde. En 2009, le MoDem profite d’une éclaircie en décrochant six sièges d’eurodéputés.
Des avenants sont alors signés pour faire basculer des permanents du MoDem sur des postes d’attachés parlementaires européens. Le Monde évoque une quinzaine de contrats litigieux.

Que dit le témoin qui s’est confié à franceinfo ?

Son récit est embarrassant pour François Bayrou. Cet ancien assistant parlementaire d’un eurodéputé centriste de 2004 à 2009 ne donne pas son identité, mais se dit prêt à livrer son témoignage à la justice.
Il explique avoir vu « des parlementaires, à plusieurs, financer des temps partiels d’assistants parlementaires qui ne fournissaient aucun travail pour le député. » Ces personnes, employées donc sur des fonds européens, auraient en réalité travaillé au siège du MoDem, à sa création en 2007, poursuit le témoin. Ils étaient, selon le témoin, des communicants, de jeunes militants ou des cadres du parti centriste.
« Les temps partiels qui étaient financés par l’Europe servaient les ambitions de François Bayrou, assure le témoin. (…) François Bayrou ment quand il dit le contraire. »
« Les parlementaires, conscients du risque juridique, réclamaient avec beaucoup de difficultés que l’assistant, de temps en temps, se manifeste, transmette une note sommaire sur un sujet ou une petite revue de presse, qui permettrait d’apporter une preuve qu’un travail a bien été effectué, au cas où il y aurait des contrôles. », poursuit-il. L’ancien assistant parlementaire précise que certains eurodéputés centristes se plaignaient de ne pas pouvoir disposer de ces assistants qui étaient pourtant censés être à leur service. Mais il était difficile de s’opposer à ce système sous peine de ne pas être investis aux prochaines élections, raconte-t-il.

Commet se défend François Bayrou ?

L’ex Garde des sceaux s’est exprimé sur l’affaire dans le journal Sud-Ouest ce vendredi. François Bayrou rejette les soupçons d’emplois fictifs d’assistants de députés européens du MoDem.
Il explique juste que « dans une période de mauvaise passe comme toutes les formations politiques en ont connu, vous cherchez à recaser un maximum de salariés, des gens de confiance. Il se trouve que les parlementaires européens recherchaient des assistants locaux. On leur a recommandé ces gens-là. »
François Bayrou réitère alors ses doutes sur la tenue d’un complot pour faire capoter sa loi sur la moralisation de la vie publique. « Je pense que tout cela ne vient pas par hasard. Un certain nombre de forces, de puissances qui détestent l’idée d’une loi sur la moralisation de la vie publique. »
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Ce spécialiste des discours alambiqués de « professeur je sais tout donneur de leçon » a maintenant tout le temps pour essayer de se justifier ce Mr :« franc comme un âne qui recule » !

Mais c’est trop tard, le président MACRON n’a pas attendu et a fait son dernier ménage gouvernemental !

Mais en fait plus personne ne le croyait, après l’affaire FILLON et tous ces anciens politiciens pas nets et leurs affaires douteuses, les français sont enfin échaudés sur la probité de leurs élus, raisons en partie pour lesquelles, ils s’en sont débarrassés aux élections législatives et ont choisi la nouveauté et le renouvellement de cette ancienne classe politique sclérosée ainsi que de leurs anciens présidents de la république !

Que ce « jésuite » bien-pensant de BAYROU reste à PAU sa mairie et se fasse oublier, on l’a déjà trop entendu !

Il y a des choses nettement plus importantes pour la France et les français que ce personnage à égo démesuré comme bien d’autres qui ont perdurés depuis des décennies !


DJMAI 24/06/17 à 09h43

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