Le ménage de fin d'année ou un remaniement ministériel est-il en préparation !?

Bruno Le Maire est-il sur un siège éjectable ?

Le ministre de l'Économie n'aurait plus les faveurs d'Emmanuel Macron, notamment en raison de l'affaire de la taxe à 10 milliards d'euros.

Il était l'une des belles prises (LR) d'Emmanuel Macron. Bruno Le Maire est-il devenu un problème pour le président de la République, au point de fragiliser sérieusement la position du ministre de l'Économie ? Dans son édition du jour, Le Parisien le laisse entendre. La cause ? L'affaire de la taxe sur les dividendes. L'ardoise de 10 milliards d'euros laissée par la précédente majorité pourrait revenir comme un boomerang vers le chef de l'État, avec la remise vendredi d'un rapport de l'Inspection générale des finances, commandé par Bruno Le Maire.
Le patron de Bercy avait réclamé ce rapport mi-octobre sans avoir au préalable prévenu l'Élysée et Matignon. Le document vise à démontrer la responsabilité de l'équipe de François Hollande dans cette erreur à 10 milliards, datant de 2012. À l'époque, Emmanuel Macron était secrétaire général adjoint de l'Élysée et proche conseiller du président. « C'est un traître intégral. Un jour, il dira à Macron : Je ne suis pas ton obligé ! » estime un proche du président, cité dans Le Parisien .

Candidat à la présidence de l'Eurogroupe ?

Si les échanges sont cordiaux et fréquents entre les deux hommes, Emmanuel Macron surveillerait Bruno Le Maire du coin de l'œil. « Emmanuel s'en méfie. Il sait que Le Maire n'a pas renoncé à ses ambitions élyséennes », souffle un membre de l'entourage du chef de l'État. « Macron s'en méfie, mais il sait que le type est solide, capable de tenir une boutique comme Bercy », tempère un proche du ministre de l'Économie.

D'après Le Parisien, Bruno Le Maire serait intéressé par la présidence de l'Eurogroupe, vacante à partir du 4 décembre. Mais il dément souhaiter briguer le poste. « Comme vous le savez, je suis ministre des Finances mais aussi de l'Économie. Je suis chargé de la transformation de l'économie française (...) et de sa compétitivité, a-t-il déclaré lors d'une rencontre avec la presse à Berlin. C'est déjà une très lourde charge. »

LE MAIRE « l’arriviste » va peut-être en faire les frais, mais il n'y aura pas que lui se serait étonnant!

Cette affaire de 10 milliards € est dur à digérer pour E.MACRON, mais aussi par les français !

Et s’il faut des têtes à trancher, quand on connait le président semble-t-il, il ne va pas faire dans la dentelle… (Il n’en donne pas l’impression..!)

Et le fait pour LE MAIRE d’avoir manqué de psychologie et de n’avoir pas tout de suite informé E.MACRON est une faute impardonnable !

Parallèlement, N.HULOT sur un autre registre prendrait peut être le même chemin de la sortie ?

Car il ne va pas dans le sens du président et est trop écolo utopiste !

Et le droit à l’erreur ne semble pas être bien toléré par le président ?!

Jdeclef 09/11/2017 16h01LP