Heureux comme un Algérien en Tunisie
La Tunisie est devenue une annexe territoriale de l'Algérie.
Les femmes peuvent se baigner en maillot de bain et la vie nocturne bat son
plein.
À
quelques kilomètres d'Aïn Draham, dans le nord-ouest de la Tunisie, une route serpente,
escaladant la montagne. Les arbres offrent un festin de verdure aux voyageurs.
Fiché au-dessus de Tabarka, ville en bord de mer, on trouve un important
poste-frontière avec l'Algérie.
Depuis 2014, des travaux ont été entrepris afin d'accélérer les procédures
douanières. Mais le succès a un prix.Début août, au point de passage de Melloula, les autorités devaient gérer jusqu'à 10 000 véhicules par jour. Une gageure. Si, des deux côtés de la frontière, on a fait des efforts pour abréger l'attente, quand des files d'automobiles s'alignent, le temps peut sembler longuet en plein soleil. Quatre-cinq heures. Mais peu importe ! Si les Algériens sont si nombreux (plus de 2 millions cette année) à se ruer sur la voisine Tunisie, les raisons sont multiples.
Saïd Boukhelifa, ex-conseiller de quatre ministres algériens du Tourisme, déroule son argumentaire : « La Tunisie est devenue une annexe territoriale de l'Algérie pour tout ce qui est vacances, car on y trouve une vie nocturne, les femmes peuvent s'y baigner dans le maillot de leur choix et se promener à 2 heures à matin », ce qui est plus compliqué du côté algérien. Outre l'aspect festif qu'offrent la Tunisie et sa kyrielle de festivals qui ponctuent l'été, son infrastructure hôtelière est « d'un excellent rapport qualité-prix », remarque Boukhelifa. Une situation qui contraste avec celle des années 1970, lorsque les Tunisiens venaient étudier le tourisme en Algérie.
Aujourd'hui, dans les 3 et 4-étoiles de Sousse, Yasmine, Hammamet, Carthage ou Nabeul, des groupes d'Algériens font la fête. On fait la ola dans les piscines, on profite des boîtes de nuit pendant que les femmes peuvent se dorer au soleil si elles le veulent. Sur les plages, maillots une-pièce tutoient burkinis ou, plus rarement, deux-pièces. Heureux comme un Algérien en Tunisie…
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Car
enfermée par une caste totalitaire d'un socialisme borné qui ne profite qu'a
une élite de ses dirigeants bornés jusqu'à maintenant avec son président
BOUTEFLIKA diminué physiquement par la
maladie, mais qui dirige son pays comme un autocrate avec une poignée de ses
fidèles !
Et
ce malgré que ce pays soit riche de par ses ressources gazières et pétrolières
qui ne profitent pas au peuple qui continue à émigrer pour beaucoup vers la
France !
Et
de plus avec un parti issu de l’après-guerre le FLN toujours au pouvoir qui
muselle la parole du peuple jeune qui grossit les rangs des chômeurs et après
les risques d’islamisation extrémiste avec le FIS qui a failli prendre le
pouvoir dans les années 1990 et dont les élections de cette époque avaient été
annulée !
(Une tentative de démocratisation, à la
suite notamment des événements du 5 octobre 1988. Cette ouverture s'accompagne en juin 1990
de l'entrée des islamistes du Front
islamique du salut (FIS) dans le champ
politique, qui remportent des élections municipales
algériennes du 21 juin 1990. Cette
évolution entraîne l'Algérie dans une vague de violence et de terrorisme qui
durera une décennie de guerre civile algérienne. Ce conflit coûta la vie à, selon les estimations entre
60 000 personnes et 200 000 personnes avec
des milliers de disparus et un million de personnes déplacées.)
L'Algérie compte plus de 40 partis politiques
en activité :
Mais, ces mêmes partis ne peuvent en vertu de
l'article 42 de la Constitution « être
fondés sur une base religieuse, linguistique, raciale, de sexe, corporatiste ou
régionale », ils doivent aussi recevoir l'agrément du
ministère de l'Intérieur et des collectivités locales !?
Jdeclef 19/11/2017 09h57LP
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