Attaque du Louvre : le suspect affirme ne pas être
téléguidé par l'EI
Abdallah el-Hamahmy a assuré durant sa garde à vue ne pas
avoir agi sous les ordres de Daech. Une version peu crédible, selon les
policiers.
L'Égyptien
de 29 ans qui a attaqué vendredi des militaires au Carrousel du Louvre à Paris a affirmé lors de son
audition lundi avoir agi « sans être commandité par le groupe État
islamique (EI) », a-t-on appris mercredi de source proche de l'enquête.
Abdallah el-Hamahmy a expliqué avoir « agi de son plein gré »,
« sans avoir été commandité par le groupe État islamique », lorsqu'il a pénétré dans le Carrousel du Louvre pour, selon lui, mener une action symbolique
contre la France, qui était de
dégrader des oeuvres du musée.
Une version totalement contradictoire avec son arrivée sur les lieux vendredi matin, une machette dans chaque main, fonçant vers les militaires en patrouille en criant « Allah akbar ». Aux yeux des enquêteurs, « il assume une certaine adhésion aux thèses de l'EI », selon la source. Dans ses déclarations, le suspect a expliqué vouloir « s'attaquer à un symbole de la France en réaction aux frappes de la coalition internationale qui touchent les frères en Syrie », selon la même source.
Motivations inconnues
Au
début muet, l'homme, grièvement blessé au ventre par des tirs de riposte des
militaires lors de son attaque dans la galerie marchande, avait commencé à
parler aux enquêteurs lundi, lors d'une troisième audition, à l'hôpital
Georges-Pompidou à Paris, où il est soigné. Mais sa garde à vue a été levée
mardi du fait de la dégradation de son état de santé. Les enquêteurs
poursuivent leurs investigations pour déterminer le parcours et les motivations
de ce cadre commercial aux Émirats arabes unis, entré comme touriste en France
le 26 janvier en provenance de Dubaï.
Une version totalement contradictoire avec son arrivée sur les lieux vendredi matin, une machette dans chaque main, fonçant vers les militaires en patrouille en criant « Allah akbar ». Aux yeux des enquêteurs, « il assume une certaine adhésion aux thèses de l'EI », selon la source. Dans ses déclarations, le suspect a expliqué vouloir « s'attaquer à un symbole de la France en réaction aux frappes de la coalition internationale qui touchent les frères en Syrie », selon la même source.
Motivations inconnues
Au
début muet, l'homme, grièvement blessé au ventre par des tirs de riposte des
militaires lors de son attaque dans la galerie marchande, avait commencé à
parler aux enquêteurs lundi, lors d'une troisième audition, à l'hôpital
Georges-Pompidou à Paris, où il est soigné. Mais sa garde à vue a été levée
mardi du fait de la dégradation de son état de santé. Les enquêteurs
poursuivent leurs investigations pour déterminer le parcours et les motivations
de ce cadre commercial aux Émirats arabes unis, entré comme touriste en France
le 26 janvier en provenance de Dubaï.
Aucune revendication n'a été émise
à ce stade pour cette attaque et aucune allégeance à un groupe djihadiste n'a
été trouvée lors de la perquisition dans l'appartement qu'il avait loué à
Paris. Mais les enquêteurs s'interrogent sur un tweet émis peu avant l'attaque
reprenant un extrait d'un discours d'Abou Mohammed al-Adnani, le porte-parole
du groupe djihadiste EI, tué par une frappe de la coalition anti-djihadiste le
30 août en Syrie.
Sans être cynique ce criminel
s’attaquant aux soldats en criant « Allah Akbar ».deux machettes à la
main blessant l’un deux, va être peut être baptisé terroriste islamique
« déséquilibré » illuminé !
L’EI DAESH n’a pas revendiqué
l’attentat, car il a raté son coup, les médecins l’ont sauvé tant pis pour
nous, tant mieux pour lui, il ira en prison comme bien d’autres ne parlera pas,
et sera bien traité !
Grand merci aux soldats de l’avoir
stoppé (mais qu’ils visent mieux si
possible à l’avenir çà permettrait d’avoir un malfaisant de moins à gérer
après !)
Car dans notre pays on se pose déjà trop
de questions sur le sort de ces barbares lâches !
Jdeclef 09/02/2017 11h40
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire