lundi 12 novembre 2018

Après le corporatisme d'un autre âge de ces enseignants qui font de la politique au lieu d'enseigner font perdre du temps aux français !


Éducation nationale : appel à la grève ce lundi dans les écoles, collèges et lycées

Tous les syndicats de personnel de l'Éducation nationale appellent à la grève ce lundi pour dénoncer les suppressions de postes.


La journée pourrait être très perturbée dans les écoles, collèges et lycées. Tous les syndicats des personnels de l'Éducation nationale appellent à la grève ce lundi pour dénoncer les suppressions de postes. Des manifestations sont prévues dans les grandes villes. À Paris, un cortège s'élancera à 14 heures pour rallier le ministère. Le budget 2019, dont le volet Éducation nationale sera discuté en plénière mardi à l'Assemblée nationale, prévoit de supprimer 2 650 postes dans les collèges et lycées publics, 550 dans le privé et 400 dans l'administration.
Quelque 1 800 postes seront créés au primaire, en vertu de « la priorité au primaire » voulue par le ministre de l'Éducation Jean-Michel Blanquer. Les syndicats des fédérations FSU, CFDT et Unsa, dans le primaire (écoles maternelles et élémentaires) et le secondaire (collèges et lycées) ont appelé à la grève, dans le public et le privé, pour réclamer l'annulation de ces suppressions de postes. Les syndicats Éducation nationale d'autres fédérations (CGT, Sud, FO) ont eux aussi lancé un appel à la grève, contre les suppressions de postes, mais aussi contre la réforme de l'enseignement professionnel, la réforme du lycée et plus largement contre « la casse du statut général de la fonction publique ».
Enfin, le syndicat Snalc s'est associé, lui, aux deux plate-formes. « Ce sont deux appels distincts mais au final, tous les syndicats appellent à la grève », avec comme dénominateur commun l'opposition à la suppression de postes dans l'Éducation nationale, résume à l'Agence France-Presse Catherine Nave-Bekhti, secrétaire générale du Sgen-CFDT. Selon Stéphane Crochet, à la tête du SE-Unsa, c'est la première fois depuis 2011 qu'un appel à la grève sur une thématique éducation rassemble toutes les organisations syndicales, de la maternelle au lycée, dans le public et dans le privé. En 2011, les enseignants s'étaient mobilisés contre une réforme des carrières et de l'évaluation des professeurs, mesure qui avait ensuite été supprimée après la victoire de François Hollande à la présidentielle.

40 000 élèves à chaque rentrée

Les personnels « ne comprennent pas » les réductions d'effectifs dans le secondaire, au regard de la poussée démographique attendue en collège et lycée, souligne Catherine Nave-Bekhti. L'agence des statistiques du ministère de l'Éducation, la Depp, prévoit une hausse de 40 000 élèves à chaque rentrée entre 2019 et 2021. Et ces suppressions annoncées passent d'autant moins après le mouvement #PasdeVague suscité par le braquage, avec une arme factice, d'une enseignante par un lycéen, au sein d'un établissement de Créteil en octobre, ajoute Frédérique Rolet, secrétaire générale du Snes-FSU, premier syndicat dans le secondaire. Les témoignages d'enseignants, publiés sur les réseaux sociaux avec le mot-clé #PasdeVague, vont dans le sens d'un renforcement des équipes pédagogiques (enseignants, conseillers principaux d'éducation, mais aussi psychologues, médecins, infirmiers de l'Éducation nationale), et non d'un affaiblissement, avance-t-elle.
Enfin, le nombre des suppressions de postes peut paraître faible par rapport à la totalité des agents de l'Éducation nationale (environ un million), mais les syndicats s'attendent à ce qu'elles soient suivies d'autres réductions d'effectifs. Emmanuel Macron a indiqué vouloir supprimer 50 000 postes dans la fonction publique d'État d'ici 2022. L'Éducation nationale, qui représente la moitié des effectifs de cette branche de la fonction publique, risque d'être largement mise à contribution, souligne Frédérique Rolet.
Le Snuipp-FSU, premier syndicat dans le primaire, qui a lui aussi appelé à la grève, s'agace d'« une pseudo-priorité » donnée au primaire, affirmant que les postes créés sont loin de couvrir les besoins nés du dédoublement des classes de CP et CE1 en zone d'éducation prioritaire. Plus généralement, le syndicat critique la politique de Jean-Michel Blanquer, qui donne « le tournis » et crée « une école de la défiance », à l'encontre de « l'école de la confiance » voulue par le ministre.
------------------------------------------------------------------------------------------------------------
En bons fonctionnaires bornés (hélas) pour certains !

Ils ne peuvent se passer de leurs mauvaises habitudes par leurs grèves à répétition !

(En oubliant les enfants qu'ils ont à éduquer et par là même les parents aussi indirectement !)

Il faut enfin que Mr MACRON le « grand réformateur » dans la liste des corporatismes obsolète désuets d’après-guerre de ces fonctionnaires bornés passe un grand coup de balai chez les enseignants trop protégés qui ne font plus leurs tâches correctement d’un beau métier pourtant qu’ils ont laissé se décomposer, se déliter, pourrir, au fil des gouvernements par la valse des ministres de l’éducation politiciens inutiles, car ne faisant que de la politique, sans rien connaitre au monde enseignant !

Car sclérosé par de la politique politicienne depuis trente ans, il faut enfin qu’ils enseignent comme on leur demande et rien d’autre en laissant leurs syndicats vieillots d’un autre âge de côté leur dicter ce qu’ils ont à faire !

Les enseignants se plaignent quelque fois à juste titre, car on ne les respecte plus c’est vrai, mais en partie de leur faute, car c’est à eux de montrer qu’ils sont là des adultes pour enseigner et notamment à de jeunes élèves adolescents car cette classe d’âge est difficile qu’ils ont besoin d’être éduqués fermement, car souvent pas soutenu par leurs parents !

Pour autant le nouveau ministre de l’éducation nationale semble bien connaitre son sujet, donc cela devrait s’améliorer, mais il faut le soutenir et il faut absolument cesser de jouer aux frondeurs ou alors qu’ils fassent un autre métier, car ils devraient comprendre que la qualité de l’enseignement de notre pays libre et laïque a baissé et que certains parents de plus en plus pour ceux qui le peuvent se tournent vers le privé pour leurs enfants !

Il faut que l’école publique redevienne un creuset protégé de l’extérieur pour protéger enseignants, élèves et même certains parents qui en ont besoin !

Jdeclef 12/11/2018 10h31LP

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire