mercredi 28 novembre 2018

Ce n'est pas une surprise « le droit dans ses bottes » et le cap à maintenir on ne sait pas jusqu'où ?!


Philippe confirme la hausse de la taxe sur le carburant au 1er janvier

Invité de BFM TV, le Premier ministre a calqué ses annonces sur celles d'Emmanuel Macron : pas de changement de cap !


Le Premier ministre Édouard Philippe a confirmé mercredi la hausse de la taxe sur le carburant au 1er janvier avec un système destiné à en limiter l'impact, comme annoncé la veille par Emmanuel Macron pour répondre au mouvement des Gilets jaunes.
« Si, au cours de l'année, il y a un envol du prix de la matière première, alors on pourra revenir au niveau de la taxe fixé au 1er janvier », a expliqué le chef du gouvernement, sur RMC-BFM TV, précisant : « Si le prix monte à cause de phénomènes que nous ne maîtrisons pas, alors nous n'ajouterons pas de taxes supplémentaires. »

Prêt à recevoir les Gilets jaunes

Édouard Philippe s'est également dit prêt à recevoir une « délégation représentative » de Gilets jaunes, souhaitant également que le mouvement participe à la future concertation sur la transition écologique annoncée par Emmanuel Macron. « Dans ce qu'ils formulent, il y a beaucoup de choses très légitimes qui doivent être entendues », a-t-il estimé.
Enfin, il a affirmé qu'il n'y «  aurait pas de coup de pouce supplémentaire  » pour le salaire minimum le 1er janvier, mais seulement une «  revalorisation légale  ». «  Notre politique, c'est pas de faire des coups de pouce au smic, notre politique c'est de faire en sorte que le travail paye (...) Il y aura une revalorisation, la revalorisation légale (...) Il n'y aura pas de coup de pouce supplémentaire  », a déclaré le Premier ministre, rappelant que les salaires nets ont augmenté en octobre avec la baisse des cotisations salariales. L'État n'a plus accordé de coup de pouce au smic depuis juillet 2012, au lendemain de l'élection de François Hollande.
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Avec une inégalité confirmée entre les pauvres et basses classes moyennes pour les efforts demandés !

Quant aux gilets jaunes, cet épiphénomène, ils continueront jusqu’à épuisement ou pourrissement, mais qui ne supprimera pas la colère accumulée d’une majorité de français qui n'ont pas enfilé de gilet jaune !

E.MACRON a bien compris les français, mais pour autant c'est lui le chef qui décide et qui croit avoir raison avec son arrogance qu'il a essayé de dissimuler lors de son discours alambiqué habituel !

Après celui-ci il fallait qu'il jette du lest, mais bien sûr il aurait un peu perdu la face et aurait un peu écorné son égo (inhérent à d'autres présidents avant lui !)

Et son 1er ministre en bon collaborateur servile lui emboîte le pas en toute logique (il est presque plus rigide que lui, un beau couple de cet exécutif que l'on devrait plutôt appeler exécuteurs !)

D’ailleurs ces beaux messieurs ne sont même pas capables de supprimer le désordre et violences qui perdurent partout et aussi dans les zones sensibles dites de non droit depuis le début de ce quinquennat et même avant bien sûr avec leurs prédécesseurs en empêchant pas notre pays de glisser vers l’anarchie désolé de le dire !

Alors s’ils préfèrent cela, on arrive à s’en poser la question car cela ne va pas s’améliorer ?!

Les français voulaient du changement c’est raté, il faudra qu’ils recommencent dans les urnes sans oublier qu’E.MACRON le parvenu par défaut est là jusqu’en 2022 et indéboulonnable avec cette constitution pseudo monarchique qui n’en n’est pas une vraie, plutôt un ersatz de début de démocrature qui ne veut pas dire son nom !

D’ailleurs ce défaut de gouvernance rigide touche beaucoup de démocraties de pays civilisés modernes aisés, car le monde change, mais pas en faveur des peuples lambda qui sont grugés par leurs dirigeants, bien qu’élus démocratiquement, ce qui n’augure rien de bon !

Jdeclef 28/11/2018 10h11LP

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