mardi 10 mai 2016

L’épouvantail dictateur de la Corée du nord continue à montrer sa pseudo force communiste totalitaire d’un autre temps !

Kim Jong-un, le 22 juin 2015 un bon gros bébé joufflu déjanté
Monde

Cinq faits d’armes qui montrent que Kim Jong-un est un redoutable dirigeant


COREE DU NORD Le leader nord-coréen, arrivé au pouvoir en 2011, a réussi à s'imposer comme un leader craint et crédible en l'espace d'un quiquennat...
Tout comme François Hollande, Kim Jong-un arrive à la fin de son (premier) quinquennat. Initialement présenté comme trop jeune et faible pour gérer le legs de son père, Kim Jong-un est aujourd’hui craint et respecté de tous en Corée du Nord. 20 Minutes revient sur les décisions politiques qui ont permis au leader suprême d’asseoir son autorité dans le nord de la Péninsule coréenne.
Pourquoi Kim Jong-Un convoque un congrès du parti unique

Il s’est débarrassé des dirigeants qui lui faisaient de l’ombre

Quand il accède au pouvoir juste après le décès de son père, Kim Jong-il, le 8 octobre 2011, Kim Jong-un n’a que 28 ans et est loin d’être aussi connu que son prédécesseur. Pour sortir de l’ombre de son père, Kim Jong-un procède à un écartement progressif – principalement par la violence - de membres de l’entourage politique de Kim Jong-il restés en poste après le décès de ce dernier. Ainsi, en 2013, Kim Jong-un a fait exécuter son oncle et ancien mentor, Chang Song-taek - il l’aurait fait dévorer par des chiens bien que l’information reste invérifiable -, un temps pressenti pour succéder à Kim Jong-il avant que celui-ci ne désigne finalement son fils cadet à la place. Il est donc plus probable qu’il s’agisse d’un coup politique à la Game of Thrones que d’une peine appliquée pour corruption et trahison, comme l’avancent les sources officielles. Outre son mentor, Kim Jong-un aurait fait exécuter plusieurs ministres, vice-ministres et autres hauts représentants pour asseoir son autorité, à tel point qu’aujourd’hui, il n’y a plus grand monde pour rire du despote en Corée du Nord.

Il a intensifié la politique nucléaire agressive de son pays

Le dirigeant nord-coréen a profité du congrès du parti unique pour faire le point sur l’avancée de la politique nucléaire du pays et saluer ses chercheurs, à l’origine d’un « événement miraculeux en faisant retentir le son magnifique et grisant de la première bombe H de notre république », le 6 janvier 2016. Si l’on est en mesure de douter de la nature de la bombe – des experts estiment que l’énergie libérée par la bombe lors de l’essai était trop faible pour qu’il puisse s’agir d’une bombe H -, l’avancée de l’Etat communiste en matière nucléaire s’avère incontestable. Le jeune tyran se défend toutefois de s’armer à des fins bellicistes. « Le renforcement de notre dissuasion nucléaire est un exercice légitime de nos droits à l’autodéfense, qui continuera aussi longtemps que se poursuivra la politique américaine hostile », a ainsi avancé le ministère des affaires étrangères. Une déclaration qui confirme que Kim Jong-un a bien l’intention de se munir d’un arsenal nucléaire d’envergure.
Corée du Nord: Kim Jong-un assied encore un peu plus son pouvoir

Il s’est positionné en faveur de la réunification des deux Corées

S’il est vrai que les relations entre les deux Corées relève parfois de la schizophrénie, il semblerait, du moins en apparence, que le « Grand Soleil du XXIe siècle » soit motivé à changer de cap concernant les relations avec le Sud. En 2014, la presse faisait état de contacts officieux entre le numéro deux du régime Hwang Pyong-so et Ryoo Kihl-jae ministre de l’unification sud-coréen, dans le cadre de la cérémonie de clôture des jeux asiatiques à Incheon. « Tous les efforts possibles devraient être déployés pour une réunification pacifique car nous ne voulons pas qu’une guerre éclate sur le sol coréen et que la nation coréenne soit de nouveau touchée par la flamme de guerre », a dit ce week-end Kim Jong-un, cité par le quotidien Rodong Sinmun. Des déclarations relativisées par les tensions nucléaires quasi annuelles entre les deux camps, la dernière en date remontant à août 2015, quand la Corée du Nord avait tiré un obus sur la ville de Yeoncheon.

Il a ouvert le secteur privé coréen aux marchés étrangers

L’URSS a eu la Perestroïka. La Corée du Nord a, depuis le début de règne du cadet de Kim Jong-il, le « byungjin », à savoir le développement simultané du nucléaire et de l’économie du pays. Aussi surprenant que cela puisse paraître, Kim Jong-un a ouvert le marché privé nord-coréen à l’extérieur dans le but d’enrichir son pays, avec un petit succès. Ainsi, d’après un rapport détaillé du chercheur russe Andreï Lankov, le secteur privé génère aujourd’hui 30 à 50 % du PIB du pays et est à l’origine de la quasi-totalité de sa croissance. Mais cette timide ouverture freine relativement une croissance qui prendra bien plus de temps que si le pays s’ouvrait totalement à l’extérieur.
>> A lire aussi : La Corée du Nord n'utilisera l'arme nucléaire qu'en cas d'agression, selon Kim

Il a repositionné le parti unique au centre de la vie politique nord-coréenne

Kim Jong-un a été élu président du parti des travailleurs de Corée, lundi 9 mai, à l’occasion du congrès du même parti dont il était déjà premier secrétaire. Un acte plus symbolique qu’effectif, puisque le dirigeant disposait déjà des pleins pouvoirs, mais qui permet de remettre le parti des travailleurs au centre de la vie politique coréenne, au détriment du corps militaire, dont les pouvoirs avaient été accentués lors des deux dernières décennies par Kim Jong-il. Le but avéré de la démarche est de redonner à la Corée du Nord une vie institutionnelle similaire à celle des années 1970.
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Ce dictateur se comporte comme tel en menaçant sans cesse, mais il faut retenir quand même une dernière phrase qu’il a dite : « si l’on attaque mon pays la Corée du nord, j’utiliserais l’arme nucléaire » !

Une réaction que d’autre pays occidentaux ou autres et civilisés possédant l’arme nucléaire qui feraient peut être de même, s’ils étaient confrontés à ce choix dans le même cas !

Donc à part le « surveiller comme le lait sur le feu » que peut-on faire (l’éliminer ou frapper les 1ers, totalement utopique inconcevable) il aurait fallu supprimer cette dynastie des Kim Jong Il avant, du temps de son père (depuis 1953 et le cesser le feu et cet armistice fragile avec la Corée du sud et surtout les américains soit disant rempart contre le communiste, cet état de guerre est toujours présent !)

Avec en arrière-plan bien sur la Chine et même la Russie…
En ce qui concerne les USA impliqués dans ce conflit, on se rappelle le Vietnam qui a été réunifié après une guerre avec le résultat d’une défaite US (alors KIM JONG UN veut aussi la réunification des deux Corées, même si la Corée du sud riche et sous perfusion US ne le désire pas !)

Ce n’est que le peuple de Corée du nord à faire sa révolution pour obtenir sa liberté et tenter de renverser son dictateur, mais ce n’est pas fait (on n’est pas comme dans les pays moyens orientaux et pas avec la même culture !)

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