jeudi 29 octobre 2020

E.MACRON forcé par la situation sanitaire de revenir à la case départ !?

 

Coignard – Covid : Macron et le deuil des illusions

CHRONIQUE. Souvent théâtral, le président a choisi, cette fois, de parler sans fard du reconfinement. Quitte à jeter aux oubliettes les vérités d'hier.

Dans ses précédentes interventions sur l'épidémie de Covid-19, Emmanuel Macron s'était fait tour à tour allusif en annonçant un confinement sans jamais prononcer le mot, lyrique lorsqu'il annonçait, avec la perspective du déconfinement, le retour des « jours heureux », martial quand il assurait, le 14 juillet, qu'en cas de deuxième vague, « nous serons prêts ». Ce mercredi soir, il a renoncé au moindre artifice pour demander aux Français de retourner à la case départ, celle du confinement. Un mot clairement énoncé, cette fois.

Un tableau clinique catastrophique, des stratégies qui se révèlent inopérantes, une urgence à agir pour éviter le raz-de-marée sur les hôpitaux… Le chef de l'État n'a rien caché de tout cela. « Nous sommes débordés par une seconde vague qui sera sans doute plus dure et meurtrière que la première », a-t-il exposé. « Débordés », un terme qui d'ordinaire ne fait pas partie de son vocabulaire.

Reconfinement : Emmanuel Macron, chef de guerre en déroute

L'adieu aux certitudes

Conséquence de ce « débordement », le président a dû abandonner toutes les certitudes d'hier. Il nous recommandait d'apprendre à « vivre avec le virus ». La déferlante des contaminations a eu raison de cette cohabitation.

Il célébrait, avec la nomination de Jean Castex à Matignon, le couple maire-préfet. Cette union n'aura pas résisté à l'automne meurtrier. Certes, Emmanuel Macron a eu quelques mots aimables pour les élus de terrain, dont il a salué la mobilisation. Mais quelle marge d'initiative restera-t-il aux maires, à partir de vendredi zéro heure, sinon celle de faire la chasse aux contrevenants ?

Foin de dentelle et de sur-mesure. Les promesses girondines se sont envolées. Pas une oreille de Français confiné ne doit dépasser, que celui-ci réside dans l'Indre, la Manche, l'Orne, derniers départements métropolitains en situation de vulnérabilité dite « modérée », ou qu'il vive dans une métropole où le taux d'incidence tourne autour de 1 000 personnes infectées pour 100 000 habitants, proportion alarmante.

Les discours sur la « riposte graduée » ont vécu aussi, puisque « chaque heure compte » dans le déploiement de l'arme fatale, celle du confinement. Un confinement qu'Emmanuel Macron qualifiait fin août, devant la presse présidentielle, de « mesure la plus fruste pour lutter contre un virus, la chose la plus simple que l'on a faite depuis le Moyen Âge ». Et qui devient désormais la solution ultime. Les promesses se sont envolées aussi. Le président a dit garder « espoir de célébrer en famille Noël et les fêtes de fin d'année », mais sans engagement ferme. Les illusions, comme les « jours heureux », ont fait long feu…

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« qui se sent morveux se mouche » !?

Il n'a pas palabré trop longtemps 20 min tant mieux, car il n'avait aucune nouveauté à annoncer par rapport au début de la pandémie en mars et qui remontait à avant d'ailleurs et comme d'habitude, où il avait perdu du temps à tergiverser typiquement le défaut qui nous avons nous les français !

Pour le reste, les français qui ont un emploi doivent s’accrocher à celui-ci, car le patronat ne va pas embaucher et avec des salaires moindres, en gardant si possible ceux existant, et en disant aux salariés « vous avez du boulot ne vous plaignez pas » !

Cette crise sanitaire dont certains n’ont pas voulu voir le coté économique va devenir désastreuse pour le commerce en général et nous y sommes dès le 30/10 ou les petits ou moyens commerces vont tomber comme dans un champ comme des fruits murs et vont pourrir que l’on ne ramassera pas !

Cela fait beaucoup de salariés que l’état ne soutiendra pas éternellement ne rêvons pas le coté économique est bien plus dévastateur que la crise sanitaire car il va mettre une catégorie importante de français dans la misère, cela, c’est déjà vu avec la crise de 1929 que l’on a oubliée, comme nos guerres mondiales où la peste noire du moyen âge qui tuait bien plus et bien plus vite       

Peut-être est-ce dû à mère nature qui procède à une régulation de l’espèce humaine devenant trop nombreuse et invasive par ces virus que l’être humain malgré son intelligence n’arrive pas à éradiquer ?!

Ce qui fait dire à certains scientifiques jusqu’à un dernier à la télé ce matin membre de l’académie de médecine, qu’il faut vivre avec le virus et s’habituer à porter un masque en permanence même après la fin de cette pandémie, comme le font déjà les populations chinoises et asiatiques depuis longtemps !

Pour nos dirigeants et gouvernements leur inefficacité est hélas confirmée, ils ne feront pas de miracle !

Jdeclef 29/10/2020 10h02LP


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