– Attentat
à Conflans : ce sera eux ou nous !
ÉDITO. Le
drame de Conflans-Sainte-Honorine remet la lutte contre l'islamisme radical au
centre des enjeux. Cessons les mots, place aux actes.
Chacun se
rappelle où il était quand il a appris l'attentat contre les tours du World
Trade Center, le 11 septembre 2001. Tout le monde se remémore comment il a
entendu l'annonce du massacre de Charlie Hebdo, le 7 janvier 2015. Personne
n'oubliera où il était et ce qu'il faisait en cette fin d'après-midi du
vendredi 16 octobre 2020. L'Histoire retiendra qu'à quelques heures d'être
restreints par un couvre-feu de plusieurs semaines, 19 millions de
Français ont dû estomper leurs sourires, refréner leur insouciance et mesurer
leurs élans du cœur car, dans les Yvelines, un professeur d'histoire
venait d'être décapité – oui, décapité – par un gamin de 18 ans.
L'émotion et
la colère n'ont pas encore diminué que l'on entend déjà des questions
illégitimes. Un prof qui montre des caricatures de Mahomet à ses élèves ?
Un acte isolé qu'il ne faut pas dissocier de son contexte ? La nécessaire
expertise psychologique qu'il faudra attendre afin de mieux cerner la
personnalité de ce jeune homme ? Et ce monsieur qui, samedi matin à la
radio, reprochait aux forces de sécurité d'avoir abattu le meurtrier dans la
rue sous les yeux, dit-il, de ses enfants… Non, non, non et non. Face à la
barbarie, rien de tout cela ne tient.
Zineb El
Rhazoui : « Si on applique les textes islamiques, cela donne un
totalitarisme absolu et liberticide »
Munichois de
salon
Si une
partie des musulmans tire du Coran un projet politique visant à substituer à
nos institutions démocratiques une autre forme d'organisation, ils devront
quitter le territoire. Si des écoles enseignent autre chose qu'un programme
visé et approuvé par l'Éducation nationale, elles devront être fermées.
Quiconque remettra en cause les racines et le ciment de la France devra être
durement sanctionné. Aucun dieu ni prophète ne peuvent prétendre dicter un
comportement différent de ceux qu'autorisent la loi et la République. Les
arrangements tacites, les accommodements raisonnables, les « pas
d'amalgames » ou les propos complaisants de Munichois de salon ne sont plus
tolérables.
Jean-Pierre
Chevènement : « Contre la violence, l'angélisme ne protège pas »
Au printemps
dernier, Emmanuel Macron a déclaré que la France était en guerre contre le
coronavirus. Des mots qui lui furent souvent reprochés. Six mois plus tard, la
victoire est encore incertaine et le vocabulaire a changé. Ces mots grégaires
ne doivent désormais être réservés qu'à un seul sujet : la lutte contre
l'islamisme radical. C'est lui ou nous. Il faudra donc que ce soit nous. Il ne
suffira pas d'avoir les yeux humides quand on évoquera la tragédie de Conflans-Sainte-Honorine ni
de s'indigner contre les milliers de tweets qui fleurissent déjà pour glorifier
le terroriste. Il faudra passer aux actes.
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En tendant l'autre joue
comme dans la religion catholique chrétienne ?!
Mais hélas, le
multiculturalisme ne marche pas, quand une autre religion hégémonique
intolérante veut imposer ses dogmes moyenâgeux, cet islam extrémistes
salafistes ou autres qui veut prendre le pouvoir sur la culture occidentale de
plus de 2000 ans dans nos pays démocratiques et laïques alors que leur religion
à 700 de retard totalitaire avilissant l’être humain par des pratiques qui ne
peuvent être faites dans des pays de libertés, laïcs et notamment la France !
Donc c’est simple, ces extrémistes
religieux utilisent la terreur pour arriver à leur fin et on a commis l’erreur
de lâcher du lest et tolérer certaines dérogations pour leurs pratiques
religieuses, la première en 1989 avec le port du voile à l’école et depuis cela
n’a plus cessé et les passe-droits ont augmentés dans la vie publique de notre
pays !
Mais c’est surtout en 2001 après
cet attentat aux USA et à NEW-YORK et après avec la venue de DAESH E.I. en 2013
suivis des attentats de 2015 à PARIS et nos guerres moyen-orientales pour ces
printemps arabes dont il ne fallait pas aux occidentaux de se mêler, que ce n’a
fait qu’empirer !
A cause des mauvais choix de
tous nos dirigeants occidentaux, la France y compris, donc maintenant, c’est
vraiment une guerre et il ne faut plus rien tolérer de cet islam extrémiste et sévir
en conséquence pour éviter une anarchie et guerre civile, on n’a plus le
choix et espérer que le président Macron agira dans ce sens, mais sans trop y
croire hélas...
Car il n’a pas les épaules
pour le faire semble-t-il ?!
Il faut changer notre V eme
république obsolète en ne donnant PAS trop de pouvoir à un seul homme...
Jdeclef 18/10/2020 13h44
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