Val-d'Oise :
deux policiers désarmés et touchés par des tirs à Herblay
Les deux
agents ont été pris en embuscade alors qu'ils étaient en planque. Le pronostic
vital de l'une des victimes est engagé, détaille BFM TV.
L'agression a tout l'air d'un guet-apens. Deux policiers, qui
menaient une opération de surveillance à Herblay, dans le Val-d'Oise, ont été
touchés mercredi soir par des tirs de leurs propres armes subtilisées au cours
d'une bagarre avec trois individus, rapporte BFM TV. Pourtant en civil, les
deux agents ont été reconnus par leurs agresseurs. Le pronostic vital de l'une
des victimes est engagé. Il est 22 h 30, lorsque les deux
policiers, en planque dans un véhicule garé dans une zone industrielle de cette
commune de 30 000 habitants, sont pris à partie par trois hommes qui parviennent
à se saisir de leurs armes de service.
Ces derniers tirent alors plusieurs balles. Quatre dans le genou,
la fesse et la cuisse d'un des policiers. Puis deux autres dans le genou de son
collègue, précise Le Parisien.
« Les policiers étaient en planque et en civil (…) Non seulement on leur a
tiré dessus, mais y a eu une bagarre et les coups ont été terribles », a
détaillé auprès de BFM TV le maire d'Herblay, Philippe Rouleau. Les trois
individus auraient fui à pied tout en gardant les armes avec eux. Une enquête,
confiée à la brigade criminelle de Versailles, a été ouverte.
Le motif n'est pas encore connu
Les deux blessés ont rapidement été transportés à l'hôpital.
« Nous éprouvons les plus vives inquiétudes, car il a été frappé avec une
rare violence par avant d'être blessé par balle », indique une source au Parisien à propos du blessé le plus
durement touché. Les forces de police ont déployé d'importants moyens pour
retrouver les auteurs. « Un vague signalement a été diffusé dans tous les
départements voisins », indique une autre source au Parisien.
La préfecture de police fragilise la sécurité des policiers
Pour l'heure, les raisons de cette agression soudaine ne sont pas
connues. D'après Europe 1, les policiers ont révélé leurs fonctions à leurs
agresseurs, mais la nouvelle n'a fait qu'empirer la confrontation. Sur Twitter,
Gérald Darmanin a réagi jeudi matin. « Soutien total à nos 2
policiers violemment attaqués cette nuit dans le Val-d'Oise durant leur
service. Ces actes – des tirs à l'arme à feu sur nos forces de l'ordre – sont
d'une violence inouïe. Tout est mis en œuvre pour retrouver leurs
auteurs », écrit le ministre de l'Intérieur.
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Car c'est un fait acquit les
malfrats de tous poils ne craignent plus la police et utilise des violences
criminelles pour tuer sans hésitation !
Seuls ces policiers qui se
sont annoncés pour leur malheur faisant leur travail de surveillance, mais ont
été semble-t-il découvert lors de celle-ci par les malfaiteurs qui peut être
sous la menace leur ont subtilisé leurs armes que ces criminels n’ont pas
hésité à utiliser contre eux pour délibérément les tuer pour ne pas être
reconnu étant donné le nombre de coups de feu important !
Il faut espérer que ces deux
fonctionnaires s’en sortent, car quand on voit la justice laxiste et la réflexion
« connue » de son ministre ont peut se poser des questions que les
voyous de tous poils ne se posent pas, car ils n’ont pas peur d’elle et des
sanctions induites, si on les arrête ?!
Il faut en plus espérer que
l’IGPN ne reprochera pas à ses deux policiers de terrains pas officiers de s’être
fait voler leurs armes !?
Une escalade dans la
violence et l’insécurité dans la vie quotidienne de notre société française dirigé
par des bien-pensants donneurs de leçons qui croient encore que l’on vit dans
un monde de « bisounours » !?
Si on ne défend ou ne protège
pas assez les fonctionnaires de nos polices nationales ou municipales, on trouvera
de moins en moins de candidat pour faire carrière, car notre société est
violente et cela augmente, les faits divers quotidiens le confirme partout en France !
Jdeclef 08/10/2020 09h40
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