Curieusement cet attentat n'avait pas fait la une des médias car l'assaillant c'était laissé arrêter très facilement !

 

Une caméra a filmé l'attaque au hachoir près des anciens locaux de « Charlie Hebdo »

Une caméra de surveillance permet de mieux saisir le déroulé de l'attaque à l'arme blanche menée le 25 septembre, raconte « Le Journal du dimanche ».

Les faits avaient replongé la France dans l'effroi. Nous sommes le 25 septembre 2020. Alors que le procès des attentats de janvier 2015 se tient devant la cour d'assises spéciale à Paris, une nouvelle attaque se produit rue Nicolas-Appert, là où se trouvaient auparavant les locaux de Charlie Hebdo. L'agression au tranchoir de boucher fait deux blessés. Or, comme le rapporte Le Journal du dimanche, le 18 octobre, les enquêteurs disposent d'images, celles de la caméra de surveillance de l'immeuble qui a enregistré la scène. Elles permettent de mieux comprendre le déroulé et le contexte de l'attaque.

Les faits se déroulent dans la matinée. Deux membres de l'équipe de production de Premières Lignes fument une cigarette devant le bâtiment. Zaheer Hassan Mahmoud, l'auteur présumé des faits, qui a reconnu être âgé de 25 ans et non de 18 ans, passe devant eux une première fois, selon ces images. Puis, avec ses baskets rouges, il fait demi-tour. C'est à ce moment-là qu'il attaque le duo. Au même moment, une femme passe à vélo. L'assaillant va tenter de la poursuivre, mais sans y parvenir, raconte le JDD. Selon les enquêteurs de la section antiterroriste de la brigade criminelle, c'est à ce moment-là qu'il perd son arme.

Un sourire qui a tout déclenché

Inculpé pour « tentatives d'assassinat » terroristes et « association de malfaiteurs terroriste », l'auteur présumé des faits a été écroué mardi 29 septembre à l'issue de quatre jours de garde à vue. Il avait détaillé vouloir protester contre la republication des caricatures du prophète Mahomet et pensait que les deux victimes travaillaient pour le journal. En passant devant le couple, il les a vus sourire. Ce geste innocent, en cet endroit, l'aurait exaspéré. « En arrivant devant la rue, et en apercevant les victimes, il a pensé que ces dernières travaillaient pour [Charlie Hebdo] et a décidé de les attaquer […] subitement », avait ainsi expliqué Jean-François Ricard, le procureur national antiterroriste. Le matin même, l'homme avait aussi acheté un marteau et des bouteilles de white spirit. Son projet initial aurait été d'entrer dans les locaux et de les incendier.

« Cet acte horrible est la dernière chose capable de faire réagir les lâches »

Si la thèse d'un acte isolé semble se dégager à l'heure actuelle, les enquêteurs continuent de travailler sur l'existence d'éventuelles complicités. Les corésidents de Zaheer Hassan Mahmoud, dont certains avaient été placés en garde à vue, ont été mis hors de cause.

D'ailleurs notre président n'avait pas réagi immédiatement et ne s'était pas déplacé, peut-être parce que c'était encore un acte isolé (de plus) donc devenant banal (à minimiser...) ?!

Pourtant ce terroriste était pakistanais et comme le Pakistan avait brulé le drapeau français lors de cette publication des caricatures du prophète et du procès des attentats de 2015 !

Serait-ce une réminiscence du politiquement correct hypocrite déplorable de nos dirigeants bienpensant pour ne pas irriter un pays extrémiste détestant la France abritant notamment les talibans qui reviennent en Afghanistan !?

Et en plus aucune nouvelle des victimes de cet individu !

Cela montre l’attitude ambiguë de notre président qui en fait, a semble-t-il peut être peur de ses terroristes islamistes au point de ne pas vouloir déclencher leurs vengeances ou colères, pourtant cela n’évite pas le danger, et il faut vraiment les combattre avec fermeté et rigueur !

Donc bien sur avec l’attentat barbare et horrible de ce professeur qui n’a fait que défendre la liberté d’expression, seul bien que possède les français lambda (quand on ne la censure pas), il s’est déplacé accompagné de ses ministres dédiés à ce problème de ce nouvel attentat terroriste islamique, il ne pouvait faire moins !

Là, il est au pied du mur et on attend son action rapide contre ce fléau qui n’a que trop duré, ainsi que pour le 1^er ministre et son gouvernement !?

Jdeclef 18/10/2020 16h35